Respiration tranquille, les yeux clos, elle dort.
La pendule accrochée sur le mur l'accompagne.
Mais quand je la regarde un brasier me dévore,
Et mes sens appareillent pour un vibrant voyage...
Toujours aussi beau mon ami, tu es d'un grand talent,
Amitiés
Baudelarme
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There have been 185 items by Baudelarme (Search limited from 13-June 23)
#316218 O Mon Amour
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on 17 April 2006 - 09:52 PM
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#311708 Si Tu étais Un Songe
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on 02 April 2006 - 10:44 PM
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Salon de publication principal
Permettez-moi, Madame, de traverser ce songe
Mais sans faire de bruit, sur la pointe des pieds
Pour vous dire que ce texte à l'étrange beauté
D'un livre qu'on finit et qu'en rêve on prolonge...
Baudelarme
Mais sans faire de bruit, sur la pointe des pieds
Pour vous dire que ce texte à l'étrange beauté
D'un livre qu'on finit et qu'en rêve on prolonge...
Baudelarme
#311707 C’était Un Lieu De Paix
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on 02 April 2006 - 10:39 PM
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Salon de publication principal
Révoila le printemps qui tombe sa chemise
Et qui, de par vos mots, se prend de gaillardise
Pour soumettre, à dessein, les faibles volontés
De celles et de ceux à qui la femme plait...
J'ai beaucoup aimé,
Baudelarme
Et qui, de par vos mots, se prend de gaillardise
Pour soumettre, à dessein, les faibles volontés
De celles et de ceux à qui la femme plait...
J'ai beaucoup aimé,
Baudelarme
#311706 Hésitation.
Posted by
on 02 April 2006 - 10:34 PM
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Que voilà donc, Monsieur, des mots bien aiguisés !
Une belle écriture pour cet odieux dédale,
Où la vie et la mort, comme des "fleurs du mal",
Nous transporte au delà, vers l'ailleurs endeuillé...
Baudelarme
Une belle écriture pour cet odieux dédale,
Où la vie et la mort, comme des "fleurs du mal",
Nous transporte au delà, vers l'ailleurs endeuillé...
Baudelarme
#311699 Le Retour Du Printemps
Posted by
on 02 April 2006 - 10:20 PM
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Salon de publication principal
Merci de ton passage, Lacape.
Balila,
L'oiseau qui s'en revient sonne alors le réveil
Et tire la nature soudain de son sommeil.
Il ramène avec lui le revers du soleil,
Cette face cachée pendant que l'hiver veille...
Amitié et merci de ta venue,
Au plaisir,
Baudelarme
Ami Condor,
Il est vrai que le temps est propice aux émois.
Un joli grain de peau peut nous cueillir parfois,
A l'instant anodin où l'on ne pensait pas
Qu'on pourrait à nouveau lui emboitait le pas...
Amitiés
Balila,
L'oiseau qui s'en revient sonne alors le réveil
Et tire la nature soudain de son sommeil.
Il ramène avec lui le revers du soleil,
Cette face cachée pendant que l'hiver veille...
Amitié et merci de ta venue,
Au plaisir,
Baudelarme
Ami Condor,
Il est vrai que le temps est propice aux émois.
Un joli grain de peau peut nous cueillir parfois,
A l'instant anodin où l'on ne pensait pas
Qu'on pourrait à nouveau lui emboitait le pas...
Amitiés
#311455 Venez Tout Contre Moi
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on 01 April 2006 - 11:48 PM
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J'aime particulièrement ce texte...
Amitié
Baudelarme
Amitié
Baudelarme
#311453 Le Parfum Des Asphodèles
Posted by
on 01 April 2006 - 11:45 PM
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Salon de publication principal
C'est beau, émouvant et vrai. On suit naturellement le fil si joliment cousu de tes vers
et on se laisse porter avec toi jusqu'a cette porte que l'on a envie, avec toi,
d'ouvrir et de refermer...
Amitié
Baudelarme
et on se laisse porter avec toi jusqu'a cette porte que l'on a envie, avec toi,
d'ouvrir et de refermer...
Amitié
Baudelarme
#311451 Racontez-moi Encore...
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on 01 April 2006 - 11:41 PM
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Salon de publication principal
Raconte-nous encore sur cette peau sucrée
L'impressionnant élan que toujours tu y mets...
Amitié
Baudelarme
L'impressionnant élan que toujours tu y mets...
Amitié
Baudelarme
#311450 Beauté Fatale
Posted by
on 01 April 2006 - 11:36 PM
in
Salon de publication principal
L'amour à la folie parfois s'est abreuvée
Et comme un feu de paille, il nous consume entier.
La raison est perdue dans des limbes obscures
Où la passion dévore comme une déchirure.
Le monde n'a plus cours, le temps est abolit.
On se traîne le jour, on dérive la nuit.
Et tant que ce venin, d'une grisante ivresse
Nous garde sous son joug, on est dans la faiblesse...
Amitié
Baudelarme
Et comme un feu de paille, il nous consume entier.
La raison est perdue dans des limbes obscures
Où la passion dévore comme une déchirure.
Le monde n'a plus cours, le temps est abolit.
On se traîne le jour, on dérive la nuit.
Et tant que ce venin, d'une grisante ivresse
Nous garde sous son joug, on est dans la faiblesse...
Amitié
Baudelarme
#311449 Ballade En Hauteur
Posted by
on 01 April 2006 - 11:28 PM
in
Salon de publication principal
Rien ne laisse entrevoir de quoi est fait la maille
Dont tu as décousu tous tes "hommes de paille",
Pour donner à tes vers cette étrange émotion
Que l'on peut ressentir à suivre ses maillons...
Trés joli,
Baudelarme
Dont tu as décousu tous tes "hommes de paille",
Pour donner à tes vers cette étrange émotion
Que l'on peut ressentir à suivre ses maillons...
Trés joli,
Baudelarme
#311447 Le Retour Du Printemps
Posted by
on 01 April 2006 - 11:24 PM
in
Salon de publication principal
Un sourire de feuilles agite la forêt.
Un doux frisson s'envole vers le ciel, indécis.
Un oiseau s'est posé en ramenant la vie
Qui chaque mois de mars, par le printemps, renaît.
Le ruisseau que le froid nous a fait oublier
Recommence à chanter en étirant ses plis.
Qu'il est doux à nouveau d'en entendre le bruit
Pendant qu'à notre oreille on rend la liberté.
Les femmes, épanouies, nous montre leur beauté.
Leur peau douce s'éclaire quand tombent leurs habits.
La pudeur, peu à peu, doucement s'abolit
Car leur corps au soleil va sous peu se livrer.
Entendez-vous au loin qu'il arrive, l'été !
La chaleur, trés bientôt va déserter son lit
Pour poser sur le monde l'étrange mélodie
Qui tirera l'humain, un temps, de son foyer.
Baudelarme
Un doux frisson s'envole vers le ciel, indécis.
Un oiseau s'est posé en ramenant la vie
Qui chaque mois de mars, par le printemps, renaît.
Le ruisseau que le froid nous a fait oublier
Recommence à chanter en étirant ses plis.
Qu'il est doux à nouveau d'en entendre le bruit
Pendant qu'à notre oreille on rend la liberté.
Les femmes, épanouies, nous montre leur beauté.
Leur peau douce s'éclaire quand tombent leurs habits.
La pudeur, peu à peu, doucement s'abolit
Car leur corps au soleil va sous peu se livrer.
Entendez-vous au loin qu'il arrive, l'été !
La chaleur, trés bientôt va déserter son lit
Pour poser sur le monde l'étrange mélodie
Qui tirera l'humain, un temps, de son foyer.
Baudelarme
#311446 Madame la lune
Posted by
on 01 April 2006 - 11:13 PM
in
Salon de publication principal
Balila,
Tu me fais grand honneur à remonter ce texte. Merci pour ce geste
tout en douceur...
Amitiés poétiques,
Baudelarme
Tu me fais grand honneur à remonter ce texte. Merci pour ce geste
tout en douceur...
Amitiés poétiques,
Baudelarme
#310051 Beauté Fatale
Posted by
on 28 March 2006 - 11:14 PM
in
Salon de publication principal
Un jour que tu allais pour un chemin étroit
Où le ciel emmuré ne voyait plus le jour,
Tu sentis, à bout touchant, l'espace d'un amour
Perçer la carapace où tu te tenais coi.
Ton sang, innoculé d'une langue de bois,
Bouillait sans plus pouvoir en contenir le cours.
Alors, dans le silence où le monde était sourd
Tu perdis le sommeil en te brisant la voix...
Superbe texte,
Amitié,
Baudelarme
Où le ciel emmuré ne voyait plus le jour,
Tu sentis, à bout touchant, l'espace d'un amour
Perçer la carapace où tu te tenais coi.
Ton sang, innoculé d'une langue de bois,
Bouillait sans plus pouvoir en contenir le cours.
Alors, dans le silence où le monde était sourd
Tu perdis le sommeil en te brisant la voix...
Superbe texte,
Amitié,
Baudelarme
#310018 Oum Kalsoum
Posted by
on 28 March 2006 - 10:25 PM
in
Salon de publication principal
Un monde que je connais pas mais que de tels mots donnent envie de découvrir...
Amitié
Baudelarme
Amitié
Baudelarme
#310011 C'est La Vie!
Posted by
on 28 March 2006 - 10:21 PM
in
Salon de publication principal
La vie...
La vie qui vient, qui va, qui s'échappe et s'enfuit.
La vie qui s'évapore et s'accroche pourtant.
La vie qui dans un souffle s'envole avec le vent
Pour froisser les feuillages, les visages et les lits...
Amitié, grand Voyageur...
Baudelarme
La vie qui vient, qui va, qui s'échappe et s'enfuit.
La vie qui s'évapore et s'accroche pourtant.
La vie qui dans un souffle s'envole avec le vent
Pour froisser les feuillages, les visages et les lits...
Amitié, grand Voyageur...
Baudelarme
#308426 La Maison Du Bonheur
Posted by
on 23 March 2006 - 10:44 PM
in
Salon de publication principal
C'est un plaisir de te revoir ami Voyageur. Comme toujours, tu te montres
généreux dans tes commentaires. Merci !
Baudelarme
généreux dans tes commentaires. Merci !
Baudelarme
#308423 Montagnes Interdites
Posted by
on 23 March 2006 - 10:40 PM
in
Salon de publication principal
Des monts de peaux de pèche,
A croquer !!!!!!!!!!!!!
Bientôt l'été...
Baudelarme
A croquer !!!!!!!!!!!!!
Bientôt l'été...
Baudelarme
#308419 La Recette
Posted by
on 23 March 2006 - 10:35 PM
in
Salon de publication principal
Gaillarde mise en bouche
D'un vin que l'on débouche,
Et que l'on sert frappé !
Ivresse partagée...
Baudelarme
D'un vin que l'on débouche,
Et que l'on sert frappé !
Ivresse partagée...
Baudelarme
#307590 Franchir Le Temps Qui Passe.
Posted by
on 21 March 2006 - 10:40 PM
in
Salon de publication principal
Un texte qui prend aux tripes, surtout les deux dernières strophes.
C'est comme un livre qu'on lit et qu'on referme, le même et
pourtant toujours différent... Le livre de la vie.
Baudelarme
C'est comme un livre qu'on lit et qu'on referme, le même et
pourtant toujours différent... Le livre de la vie.
Baudelarme
#307586 Sans Titre
Posted by
on 21 March 2006 - 10:36 PM
in
Salon de publication principal
Une goutte d'eau prise dans l'océan,
Qui caresse des doigts les étoiles
Et s'évanouit dans le soir...
Trés joli, vraiment.
Baudelarme
Qui caresse des doigts les étoiles
Et s'évanouit dans le soir...
Trés joli, vraiment.
Baudelarme
#307583 La Maison Du Bonheur
Posted by
on 21 March 2006 - 10:30 PM
in
Salon de publication principal
Tu n'es jamais bien loin et c'est un réconfort.
Quand je touche la toile, je te cherche toujours.
Tant de vagues et d'écume en agitent le cours,
Mais tu n'es jamais loin alors j'écris encore.
Merci de ta fidélité à mes modestes mots, et merci d'avoir remis un texte.
Tes vers nous manquaient beaucoup...
Je t'embrasse
Baudelarme
Quand je touche la toile, je te cherche toujours.
Tant de vagues et d'écume en agitent le cours,
Mais tu n'es jamais loin alors j'écris encore.
Merci de ta fidélité à mes modestes mots, et merci d'avoir remis un texte.
Tes vers nous manquaient beaucoup...
Je t'embrasse
Baudelarme
#307577 Réflexion
Posted by
on 21 March 2006 - 10:17 PM
in
Salon de publication principal
Comme une pluie d'automne, le temps toujours s'échappe.
Au gré des gouttes, il poursuit les cours d'eau.
Il s'évanouit en courrant les ruisseaux,
Et gagne les étoiles pour la prochaine étape.
Et pendant qu'il s'enfuit avec le bruit du vent,
Il laisse dans nos paumes un peu de sel.
Mais il suffit que notre coeur ouvre ses aîles
Pour que tout nous revienne. Nous, enfants...
Trés joli, tout en sensibilité.
Je t'embrasse
Baudelarme
Au gré des gouttes, il poursuit les cours d'eau.
Il s'évanouit en courrant les ruisseaux,
Et gagne les étoiles pour la prochaine étape.
Et pendant qu'il s'enfuit avec le bruit du vent,
Il laisse dans nos paumes un peu de sel.
Mais il suffit que notre coeur ouvre ses aîles
Pour que tout nous revienne. Nous, enfants...
Trés joli, tout en sensibilité.
Je t'embrasse
Baudelarme
#307133 La Maison Du Bonheur
Posted by
on 20 March 2006 - 10:59 PM
in
Salon de publication principal
Comme toujours Clochette, tu as dis les bons mots
Ceux que j'avais en moi sans pourtant les trouver.
La plus grande maison sait garder ses secrets,
Mais si on tend l'oreille, on perçoit son echo.
Elle vibre, elle parle, elle bat. Elle murmure et se tait.
C'est une maison belle cachée sous les feuillages,
Que le soleil parfois peint comme un paysage
Où il fait bon sentir que l'on peut être aimé...
Merci infiniment Lucille d'être venue m'apporter un morceau de ton île.
Cela me touche, surtout aprés tant de silence.
Je t'embrasse
Baudelarme
Ceux que j'avais en moi sans pourtant les trouver.
La plus grande maison sait garder ses secrets,
Mais si on tend l'oreille, on perçoit son echo.
Elle vibre, elle parle, elle bat. Elle murmure et se tait.
C'est une maison belle cachée sous les feuillages,
Que le soleil parfois peint comme un paysage
Où il fait bon sentir que l'on peut être aimé...
Merci infiniment Lucille d'être venue m'apporter un morceau de ton île.
Cela me touche, surtout aprés tant de silence.
Je t'embrasse
Baudelarme
#306293 Vingt Ans Volés (nouvelle)
Posted by
on 19 March 2006 - 01:06 AM
in
Salon de publication principal
Une douleur palpable qui se cherche pourtant
Au coin de chaque rue où la vie est partout.
Le regard délavé d'un monde encore vivant
Où tout ce qui n'est plus en a perdu le goût.
Une douleur de braise qui glace le présent
Effilochant les veines qui se tendent à son cou.
Une pas lourd s'amoncelle sur les coprs de ciment
Où cette route étrange ne connait pas de bout.
Et la douleur est là, lancinante. Pourtant,
Ton escarcelle encore est sans dessous dessous.
Se peut-il que le mal s'éteigne avec le temps ?
Et que ce qui crépite puisse encore être doux ?
Amitiés sincères
Baudelarme
Au coin de chaque rue où la vie est partout.
Le regard délavé d'un monde encore vivant
Où tout ce qui n'est plus en a perdu le goût.
Une douleur de braise qui glace le présent
Effilochant les veines qui se tendent à son cou.
Une pas lourd s'amoncelle sur les coprs de ciment
Où cette route étrange ne connait pas de bout.
Et la douleur est là, lancinante. Pourtant,
Ton escarcelle encore est sans dessous dessous.
Se peut-il que le mal s'éteigne avec le temps ?
Et que ce qui crépite puisse encore être doux ?
Amitiés sincères
Baudelarme
#306284 Quand La Peine...
Posted by
on 19 March 2006 - 12:41 AM
in
Salon de publication principal
Une douleur xxl, sans contrefaçon...
Baudelarme
Baudelarme
