Le vent qui souffle ici, m'a porté la missive
d'un souvenir lointain, lorsque nous guerroyons
plus fiers et arrogants que tous les fanfarons
joutant à qui mieux mieux sur la toile jouissive
Hélas de grands desseins me tinrent éloigné
du chateau, de la reine et de tous ses sujets
je passais, amené par le vent sur vos terres
me voici reparti, jusqu'à loin, je me terre.
..............
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#308317 La joute...
Posted by
on 23 March 2006 - 04:14 PM
in
Salon de publication principal
#276134 Que s'est-il passé ?
Posted by
on 09 December 2005 - 09:54 AM
in
Salon de publication principal
Je voudrais revenir au pays des poètes
et gratter la guitare en simple troubadour
mais le coeur n'y est plus, depuis ces derniers jours
où l'écrit anonyme a effacé les têtes.
J'en use voyez-vous, c'est manière bien piètre
je suis un renégat, comme d'autres peut-être
mais quand les mots son las, et ne veulent plus naître
il faut se refermer et cacher son mal être.
Tes mots sont réconfort en ces lieux mal famés
et font du bien au coeur de ceux qui ont quitté
le doux sein d'un forum qu'on nomme TLP
et qui fût dans le temps, un éden apprécié.
Merci à toi anonyme de la part d'un anonyme quel désenchantement !
et gratter la guitare en simple troubadour
mais le coeur n'y est plus, depuis ces derniers jours
où l'écrit anonyme a effacé les têtes.
J'en use voyez-vous, c'est manière bien piètre
je suis un renégat, comme d'autres peut-être
mais quand les mots son las, et ne veulent plus naître
il faut se refermer et cacher son mal être.
Tes mots sont réconfort en ces lieux mal famés
et font du bien au coeur de ceux qui ont quitté
le doux sein d'un forum qu'on nomme TLP
et qui fût dans le temps, un éden apprécié.
Merci à toi anonyme de la part d'un anonyme quel désenchantement !
#275772 Le ciel.
Posted by
on 08 December 2005 - 12:47 PM
in
Salon de publication principal
Un passage en ces lieux et je vois que le temps
n'a rien fait oublier à l'homme que vous êtes
et ce plaisir des sens pour la femme peut être
que vous aimez hauteur, est un plaisir tentant.
n'a rien fait oublier à l'homme que vous êtes
et ce plaisir des sens pour la femme peut être
que vous aimez hauteur, est un plaisir tentant.
#275769 Un soir à Bordeaux
Posted by
on 08 December 2005 - 12:34 PM
in
Salon de publication principal
J'avais écrit celà à la suite d'une visite dans une étrange librairie ancienne, rue du chai des farines à Bordeaux, j'y avais passé l'après-midi entier ...
Merci d'avoir fait vivre ce soir là à Bordeaux, les quais ont retrouvé une vie depuis les ravalements
des façades ... belle ville que la nôtre ...
Petite rue piétonne un jour de grand marché,
Promeneurs et chineurs musardent sans chercher
Les rues portent ces noms de nos anciens métiers
Rue du Chai des Farines rue des Minotiers.
---
Au milieu des rumeurs des rues endimanchées
Une enseigne rouillée grince au mur accrochée
Comme pour appeler les âmes au grenier
Dans l’antique bazar de l’ancien chiffonnier.
---
J’ai senti cet appel des beaux meubles d’antan
Et en poussant son huis, j’ai arrêté le temps.
La pièce était très sombre et sentait la lavande
Vieillie par les années aux armoires normandes.
---
Au fond de la boutique, un vieil homme voûté
D'un inaudible ton, tant sa voix tremblotait
Dans un sourire dit, l’œil pétillant d’émoi
« Ici les vieilleries sont plus jeunes que moi »
---
Fouillez, ma chère enfant, dans mes tiroirs secrets
Et faites souvenirs de ces objets sacrés
Prenez tout votre temps, le mien n’est plus compté
A l’horloge du cœur l’aiguille est arrêtée.
---
Chacun de ses tiroirs j’ai ouvert tour à tour
Entre chiffons et lins, habits et beaux atours
J’ai cru me retrouver dans un rêve oublié
Comme un Ali Baba : un trésor à ses pieds.
---
Les yeux écarquillés, les mains à fureter
Je sentais ce destin qu’il ne faut pas rater
Et j’ai ouvert enfin cet étonnant tiroir
Dans l’armoire du fond, derrière le miroir.
---
Un livre enluminé, tout couvert de poussière
Une larme a coulé, battement de paupière,
Les pages étaient fanées par le temps les années
Mais je l’ai reconnu, il m’était destiné.
---
Il m’avait appelée du fond de la ruelle
Je savais à présent pourquoi j’avais suivi
Ces pages doucement me devenaient réelles
Il était simplement, l’histoire de ma vie.
---
J’ai posé cet ouvrage au rebord d’une table
Je me suis retournée pour demander le prix
Le vieil homme voûté m’a dit d’un ton aimable
« Je vous en fait cadeau la vie n’a pas de prix ».
Merci d'avoir fait vivre ce soir là à Bordeaux, les quais ont retrouvé une vie depuis les ravalements
des façades ... belle ville que la nôtre ...
Petite rue piétonne un jour de grand marché,
Promeneurs et chineurs musardent sans chercher
Les rues portent ces noms de nos anciens métiers
Rue du Chai des Farines rue des Minotiers.
---
Au milieu des rumeurs des rues endimanchées
Une enseigne rouillée grince au mur accrochée
Comme pour appeler les âmes au grenier
Dans l’antique bazar de l’ancien chiffonnier.
---
J’ai senti cet appel des beaux meubles d’antan
Et en poussant son huis, j’ai arrêté le temps.
La pièce était très sombre et sentait la lavande
Vieillie par les années aux armoires normandes.
---
Au fond de la boutique, un vieil homme voûté
D'un inaudible ton, tant sa voix tremblotait
Dans un sourire dit, l’œil pétillant d’émoi
« Ici les vieilleries sont plus jeunes que moi »
---
Fouillez, ma chère enfant, dans mes tiroirs secrets
Et faites souvenirs de ces objets sacrés
Prenez tout votre temps, le mien n’est plus compté
A l’horloge du cœur l’aiguille est arrêtée.
---
Chacun de ses tiroirs j’ai ouvert tour à tour
Entre chiffons et lins, habits et beaux atours
J’ai cru me retrouver dans un rêve oublié
Comme un Ali Baba : un trésor à ses pieds.
---
Les yeux écarquillés, les mains à fureter
Je sentais ce destin qu’il ne faut pas rater
Et j’ai ouvert enfin cet étonnant tiroir
Dans l’armoire du fond, derrière le miroir.
---
Un livre enluminé, tout couvert de poussière
Une larme a coulé, battement de paupière,
Les pages étaient fanées par le temps les années
Mais je l’ai reconnu, il m’était destiné.
---
Il m’avait appelée du fond de la ruelle
Je savais à présent pourquoi j’avais suivi
Ces pages doucement me devenaient réelles
Il était simplement, l’histoire de ma vie.
---
J’ai posé cet ouvrage au rebord d’une table
Je me suis retournée pour demander le prix
Le vieil homme voûté m’a dit d’un ton aimable
« Je vous en fait cadeau la vie n’a pas de prix ».
#269810 C'est à toi que je pense
Posted by
on 16 November 2005 - 04:56 PM
in
Salon de publication principal
Citation
Quel plaisir de te lire ici... Ton bref passage me ravit et tu sais où tu peux le prolonger 
Bises du jardinier
Quercus
Bises du jardinier
Quercus
Je passe de temps en temps lire Quercus ... même si je n'écris plus
Bisous je sais oui ....
A bientôt
#268996 C'est à toi que je pense
Posted by
on 14 November 2005 - 05:25 PM
in
Salon de publication principal
Juste un passage et je m'arrête dans ton jardin
bisous d'une fleur au poète chantant ...
bisous d'une fleur au poète chantant ...
#268384 juste quelques mots
Posted by
on 05 November 2005 - 06:55 PM
in
Salon de publication principal
Merci Lacape à toi aussi
Amitié Quercus à bientôt
Bohémia si je revenais ce serait sous ce même pseudo, à quoi sert de se cacher ? de changer ? c'est ne se mentir qu'à soi-même
Bisous Cher Condor ... oui je pars.
Lisabelle, faut-il une raison pour partir ?
Amitié Quercus à bientôt
Bohémia si je revenais ce serait sous ce même pseudo, à quoi sert de se cacher ? de changer ? c'est ne se mentir qu'à soi-même
Bisous Cher Condor ... oui je pars.
Lisabelle, faut-il une raison pour partir ?
#268190 juste quelques mots
Posted by
on 04 November 2005 - 10:48 PM
in
Salon de publication principal
le temps est venu de vous dire bonne chance et adieu
tout passe, tout change
bonne route sur les chemins de la poésie
tout passe, tout change
bonne route sur les chemins de la poésie
#268113 Rêves
Posted by
on 04 November 2005 - 06:54 PM
in
Salon de publication principal
Des souvenirs accrochés à mes rêves
Quand la nuit n'est plus vraiment la nuit
Que l'esprit se réveille et reprend vie
Dans les limbes les mots se lèvent.
Embruns venus d'ailleurs
D'une mer solitude
Et lente servitude
D'une vie sans meilleur.
Frappent les mots à la porte des songes
Et les laisser sortir de leur gangue étroite
Exploser naissant pour limer ce qui ronge
Donner un sens, dévier la ligne droite.
Nuit sans fin des regards intérieurs
Aux lueurs fugitives insaisissables
Passant trop pressé le rêve se meurt
Lente agonie, je lur coupe le câble.
Plus de lien le souvenir s'efface
Première lueur, dernier effluve
Le songe s'enfuit, légère trace
La lumière éteint la nuit, furtive.
Quand la nuit n'est plus vraiment la nuit
Que l'esprit se réveille et reprend vie
Dans les limbes les mots se lèvent.
Embruns venus d'ailleurs
D'une mer solitude
Et lente servitude
D'une vie sans meilleur.
Frappent les mots à la porte des songes
Et les laisser sortir de leur gangue étroite
Exploser naissant pour limer ce qui ronge
Donner un sens, dévier la ligne droite.
Nuit sans fin des regards intérieurs
Aux lueurs fugitives insaisissables
Passant trop pressé le rêve se meurt
Lente agonie, je lur coupe le câble.
Plus de lien le souvenir s'efface
Première lueur, dernier effluve
Le songe s'enfuit, légère trace
La lumière éteint la nuit, furtive.
#265219 La joute...
Posted by
on 24 October 2005 - 01:29 PM
in
Salon de publication principal
Au pied du cyprès, la Reine divague en aparté
Pourquoi toujours devoir cacher ses sentiments
Une Reine se doit de montrer son courage
Jamais larme salée ravine son visage
Pour mener son pays elle assume son rang
Je suis lasse de tout l’anonymat me tente
Je me dois d’épouser celui qu’on me dédit
Alors que je voudrais que mon cœur soit épris
Aimer encore aimer, être femme et amante.
Depuis bien trop de jours mon carrosse me mène
Au delà des vallons dans d’arides contrées
Y trouver le mari que mon père voudrait
Moi je veux un amant qui en oublie la Reine
Assise au pied des monts je ne sais plus que faire
Le château tout là-bas est en de bonnes mains
Erre et Hauteur je sais seront mariés demain
Et tous mes Chevaliers ont le cœur en affaire.
Qui donc voudra m’aimer sans briguer le pouvoir
Qui saura me donner l’amour sans l’intérêt
Il me faudrait cacher ma vrai identité
Et que la Reine en moi aucun ne sache voir.
Préparons un billet que la Mère Supérieure du couvent écrira et que l’on devra lire en place publique….
Oyez ! Oyez ! Des nouvelles de la Reine
Chevalier Hauteur, Dame Erre
Chevaliers Blanc, OliveNancy,
Trémaouézan, Michel
Dames Isabeau, Ballila
A tous les sujets
La Reine a perdu la mémoire ainsi que la raison
Elle est en de bonnes mains cachée dans un couvent
Il serait bon en attendant sa guérison que tous les
Précités soient dignes de sa mansuétude
Elle guérira Dieu la protège.
Au matin une jeune inconnue entre au chateau vêtue de haillons...
Pourquoi toujours devoir cacher ses sentiments
Une Reine se doit de montrer son courage
Jamais larme salée ravine son visage
Pour mener son pays elle assume son rang
Je suis lasse de tout l’anonymat me tente
Je me dois d’épouser celui qu’on me dédit
Alors que je voudrais que mon cœur soit épris
Aimer encore aimer, être femme et amante.
Depuis bien trop de jours mon carrosse me mène
Au delà des vallons dans d’arides contrées
Y trouver le mari que mon père voudrait
Moi je veux un amant qui en oublie la Reine
Assise au pied des monts je ne sais plus que faire
Le château tout là-bas est en de bonnes mains
Erre et Hauteur je sais seront mariés demain
Et tous mes Chevaliers ont le cœur en affaire.
Qui donc voudra m’aimer sans briguer le pouvoir
Qui saura me donner l’amour sans l’intérêt
Il me faudrait cacher ma vrai identité
Et que la Reine en moi aucun ne sache voir.
Préparons un billet que la Mère Supérieure du couvent écrira et que l’on devra lire en place publique….
Oyez ! Oyez ! Des nouvelles de la Reine
Chevalier Hauteur, Dame Erre
Chevaliers Blanc, OliveNancy,
Trémaouézan, Michel
Dames Isabeau, Ballila
A tous les sujets
La Reine a perdu la mémoire ainsi que la raison
Elle est en de bonnes mains cachée dans un couvent
Il serait bon en attendant sa guérison que tous les
Précités soient dignes de sa mansuétude
Elle guérira Dieu la protège.
Au matin une jeune inconnue entre au chateau vêtue de haillons...
#264968 La joute...
Posted by
on 23 October 2005 - 09:06 AM
in
Salon de publication principal
La reine est allongée à l'orée d'une forêt de Haute Savoie ....
Je me suis endormie à l'ombre d'un cyprès
la tête me fait mal mon esprit embrumé
je vois dans les hauteurs la montagne très noire
qui suis-je je ne sais, j'ai perdu la mémoire.
Je me suis endormie à l'ombre d'un cyprès
la tête me fait mal mon esprit embrumé
je vois dans les hauteurs la montagne très noire
qui suis-je je ne sais, j'ai perdu la mémoire.
#264534 La joute...
Posted by
on 15 October 2005 - 08:26 PM
in
Salon de publication principal
Surprise ! Dame Violaine la Reine sur la route trouve asile chez son amie Dame de Carcassonne dîte Na Loba, elle reçoit une missive d'un coursier venant du château .. l'ayant ouvert, elle répond ceci.
J'apprends avec stupeur que notre Dame Erre
à qui j'avais confié la garde du château
est toujours confinée par un godelureau
Chevaliers en mon nom, préparez vos rapières
et pourfendez ce gueux, sans répit, traquez-le,
impuissante je suis, loin de vous malheureux.
J'apprends également l'arrivée sans manière
d'un Chevalier masqué nommé Trémaouézan
qui vient pour dépecer dit-il notre tyran
méfions nous mes amis car moi je n'aime guère
ceux qui se cachent ainsi sans dire leur vrai nom
qui arrivent vainqueurs jouant les fanfarons
La Reine est courroucée. Mais revenons à Erre..
....
Retrouvez la ! j’ai dit ! et votre Suzeraine
Ne veut à son retour voir des âmes en peine
au Chevalier Hauteur Erre est dame promise
je ne mets un point d'honneur que par mon entremise
à mon retour céans, ces deux seront mariés
et pour cadeau nuptial, le château est dédié.
J'ai dit !
Message privé :
A mon chevalier blanc ami de tant d'années
je confie le pays, vôtre âge est votre allié
je ne sais quand encor', je pourrais vous écrire
alors soyez patient, je reviendrais au pire
le 23 de ce mois, nous aurons la jouissance
de rire et de marier, et de faire bombance...
.
J'apprends avec stupeur que notre Dame Erre
à qui j'avais confié la garde du château
est toujours confinée par un godelureau
Chevaliers en mon nom, préparez vos rapières
et pourfendez ce gueux, sans répit, traquez-le,
impuissante je suis, loin de vous malheureux.
J'apprends également l'arrivée sans manière
d'un Chevalier masqué nommé Trémaouézan
qui vient pour dépecer dit-il notre tyran
méfions nous mes amis car moi je n'aime guère
ceux qui se cachent ainsi sans dire leur vrai nom
qui arrivent vainqueurs jouant les fanfarons
La Reine est courroucée. Mais revenons à Erre..
....
Retrouvez la ! j’ai dit ! et votre Suzeraine
Ne veut à son retour voir des âmes en peine
au Chevalier Hauteur Erre est dame promise
je ne mets un point d'honneur que par mon entremise
à mon retour céans, ces deux seront mariés
et pour cadeau nuptial, le château est dédié.
J'ai dit !
Message privé :
A mon chevalier blanc ami de tant d'années
je confie le pays, vôtre âge est votre allié
je ne sais quand encor', je pourrais vous écrire
alors soyez patient, je reviendrais au pire
le 23 de ce mois, nous aurons la jouissance
de rire et de marier, et de faire bombance...
.
#263637 La joute...
Posted by
on 12 October 2005 - 01:58 PM
in
Salon de publication principal
aparté :
(il y a dejà des problèmes de chronologie si maintenant Oliv joue dans l'anachronie on est perdu :wink: :wink:)
la reine est en voyage "d'affaires" elle écrit un billet au Chateau
"Sur les chemins boueux, mon carrosse arrêté
je vous envoie séant par coursier un billet
j'ai ouïe dire au matin, que votre dulcinée
Dame Erre a disparu ! J'en suis fort chagrinée
Prenez donc avec vous, pour hâter les recherches
tous les gens du château, que rien ne vous empêche
de vite retrouver l'âme de votre vie
je vous souhaite courage à vous tous mes amis.
Veuillez je vous en prie saluer mes sujets
Je serai de retour, fin de mois je promets,
Entre temps j'écrirai pour donner des nouvelles
pensez à m'informer du bon sort de la belle."
aparté :
"la Reine sera absente jusqu'au 23 octobre"
(il y a dejà des problèmes de chronologie si maintenant Oliv joue dans l'anachronie on est perdu :wink: :wink:)
la reine est en voyage "d'affaires" elle écrit un billet au Chateau
"Sur les chemins boueux, mon carrosse arrêté
je vous envoie séant par coursier un billet
j'ai ouïe dire au matin, que votre dulcinée
Dame Erre a disparu ! J'en suis fort chagrinée
Prenez donc avec vous, pour hâter les recherches
tous les gens du château, que rien ne vous empêche
de vite retrouver l'âme de votre vie
je vous souhaite courage à vous tous mes amis.
Veuillez je vous en prie saluer mes sujets
Je serai de retour, fin de mois je promets,
Entre temps j'écrirai pour donner des nouvelles
pensez à m'informer du bon sort de la belle."
aparté :
"la Reine sera absente jusqu'au 23 octobre"
#263605 La joute...
Posted by
on 12 October 2005 - 12:39 PM
in
Salon de publication principal
Voila que je ne peux libérer mes entrailles
sans qu'on me surveillât ! là j'y vois un outrage
chevalier au boulot, reprenez votre ouvrage
préparez au chateau nos folles retrouvailles...
a bientôt ...
sans qu'on me surveillât ! là j'y vois un outrage
chevalier au boulot, reprenez votre ouvrage
préparez au chateau nos folles retrouvailles...
a bientôt ...
#263601 Violaine voulait me souffleter ! .. en hommage à l'amie.
Posted by
on 12 October 2005 - 12:32 PM
in
Salon de publication principal
Internet n'en étant pas très éloigné (de la rue) voilà qui nous conforte à user et abuser de la rimaille...
#263599 Il était une fois ...
Posted by
on 12 October 2005 - 12:25 PM
in
Salon de publication principal
Oui Roseau Max me manque à moi aussi ...
mais c'est ainsi la vie ...
:?
mais c'est ainsi la vie ...
:?
#263596 Violaine a plus d'un galant..
Posted by
on 12 October 2005 - 12:22 PM
in
Salon de publication principal
:oops: :oops: :oops: :oops: m'enfin !
Comment ça j'ai plus d'un galant ? m'enfin ! Roseau ! quelle réputation !
boudiou ! en plus je l'avoue fièrement ! rhooooo !!! :oops: :oops:
Ben suis toute retournée moi ....
Merci Roseau je vous embrasse, la seule fierté que je peux avoir c'est d'être votre amie.
Comment ça j'ai plus d'un galant ? m'enfin ! Roseau ! quelle réputation !
boudiou ! en plus je l'avoue fièrement ! rhooooo !!! :oops: :oops:
Ben suis toute retournée moi ....
Merci Roseau je vous embrasse, la seule fierté que je peux avoir c'est d'être votre amie.
#263454 Il était une fois ...
Posted by
on 11 October 2005 - 01:25 PM
in
Salon de publication principal
C'était une erreur d'envoi, je ne voulais pas le mettre dans la joute mais bien à part ... rapide toi mais pas assez ... :wink:
A plus
mais pas assez ... :wink:
A plus
#263445 La joute...
Posted by
on 11 October 2005 - 12:33 PM
in
Salon de publication principal
aparté
Et si nous reprenions la joute ?
Et si nous reprenions la joute ?
#263440 Il était une fois ...
Posted by
on 11 October 2005 - 12:27 PM
in
Salon de publication principal
Merci pour tes respects Olive et pour ton commentaire judicieux
:wink:
:wink:
#263417 La joute...
Posted by
on 11 October 2005 - 11:02 AM
in
Salon de publication principal
Chère Nath
Si c'est un grand champs de bataille théatral, je nous vois mal mettre tout ça en scene tu as peut être raison quand à créer un topic à part, mais pourquoi scinder deux choses qui sont si proches ?
Nous lirais-tu mieux si nous étions à part ? je n'en vois pas la raison ... mais bon toute idée est bonne à prendre ...
:wink: Violaine
Si c'est un grand champs de bataille théatral, je nous vois mal mettre tout ça en scene
tu as peut être raison quand à créer un topic à part, mais pourquoi scinder deux choses qui sont si proches ?
Nous lirais-tu mieux si nous étions à part ? je n'en vois pas la raison ... mais bon toute idée est bonne à prendre ...
:wink: Violaine
#263415 Il était une fois ...
Posted by
on 11 October 2005 - 10:47 AM
in
Salon de publication principal
Il était une fois, c'est ainsi qu'autrefois
commençaient les récits, qui faisaient notre joie
moi je dirais plutôt ; il était un forum
où m'avait invitée mon ami Maxi-môme.
Une antre de versets, poèmes et rimailles
chacun à sa façon engage sa bataille
on aime, on n'aime pas, qu'importe c’est bien bon
de lire les écrits lancés sur tous les tons.
Un instant de répit, deux vers sur le clavier
un moment de passion, pour un joli sonnet
parfois un commentaire est tant soit peu critique
un autre bien trop doux d'un ami empathique.
Le forum est si grand qu’on ne peut vraiment lire
Tous les textes écrits, jamais le temps n’étire
Ses minutes et ses jours pour qu’on fasse le tour
Alors par ci par là, des groupes voient le jour.
Là un poète dit ce que dicte son cœur
La prosodie est loin, au diable la rigueur
Ce qui compte en ses mots, c’est l’idée qui chemine
Nous fait rire ou pleurer, émoi qui nous anime.
Ici c’est un sonnet bien fait et sans rature
Qu’un autre à concocté, merveilleuse nature
Applaudit sans excès on lui dit nos bravos
A ses accents divins, qu'il sait jouer des mots
J’aime à jouter ici, échanger, et sourire
Quand le mot vient tout seul, un fil des écritures
On me dit tolérante et souvent trop gentille
Mais il y a des cas ou je sors mes aiguilles.
Car voilà trop souvent quand tout va sans manière
Il y a des vautours sortant de leur tanière
Et qui viennent roder cherchant une charogne
A grignoter railleurs, ici passent leur rogne.
C’est virtuel dit-on ? Non ! Pareil à la vie !
Un jeu ? Mais allons donc ! C’est une ignominie
Les amis d’un seul cri, consolent l’âme en peine
Qui s’en va mais revient, se jeter dans l’arène,
Et qui tourne le dos à ses amis d’antan
Même pas un merci à ceux qui là pourtant
Avaient pris son parti , supplié qu’elle reste
Pour rejoindre alanguie le clan des pures pestes.
C’est son droit le plus strict, liberté est chérie
Chacun choisit son camp embrasse son parti
Mais alors s’il vous plait, restez où ça vous plaît
Et laissez donc en paix notre nid si douillet.
Vous qui avez tourné plusieurs fois votre veste
Sans vous importuner faîtes donc un beau geste
Et restez loin de moi près de vos amis chers
Tout ira pour le mieux, sans heurt et sans revers
commençaient les récits, qui faisaient notre joie
moi je dirais plutôt ; il était un forum
où m'avait invitée mon ami Maxi-môme.
Une antre de versets, poèmes et rimailles
chacun à sa façon engage sa bataille
on aime, on n'aime pas, qu'importe c’est bien bon
de lire les écrits lancés sur tous les tons.
Un instant de répit, deux vers sur le clavier
un moment de passion, pour un joli sonnet
parfois un commentaire est tant soit peu critique
un autre bien trop doux d'un ami empathique.
Le forum est si grand qu’on ne peut vraiment lire
Tous les textes écrits, jamais le temps n’étire
Ses minutes et ses jours pour qu’on fasse le tour
Alors par ci par là, des groupes voient le jour.
Là un poète dit ce que dicte son cœur
La prosodie est loin, au diable la rigueur
Ce qui compte en ses mots, c’est l’idée qui chemine
Nous fait rire ou pleurer, émoi qui nous anime.
Ici c’est un sonnet bien fait et sans rature
Qu’un autre à concocté, merveilleuse nature
Applaudit sans excès on lui dit nos bravos
A ses accents divins, qu'il sait jouer des mots
J’aime à jouter ici, échanger, et sourire
Quand le mot vient tout seul, un fil des écritures
On me dit tolérante et souvent trop gentille
Mais il y a des cas ou je sors mes aiguilles.
Car voilà trop souvent quand tout va sans manière
Il y a des vautours sortant de leur tanière
Et qui viennent roder cherchant une charogne
A grignoter railleurs, ici passent leur rogne.
C’est virtuel dit-on ? Non ! Pareil à la vie !
Un jeu ? Mais allons donc ! C’est une ignominie
Les amis d’un seul cri, consolent l’âme en peine
Qui s’en va mais revient, se jeter dans l’arène,
Et qui tourne le dos à ses amis d’antan
Même pas un merci à ceux qui là pourtant
Avaient pris son parti , supplié qu’elle reste
Pour rejoindre alanguie le clan des pures pestes.
C’est son droit le plus strict, liberté est chérie
Chacun choisit son camp embrasse son parti
Mais alors s’il vous plait, restez où ça vous plaît
Et laissez donc en paix notre nid si douillet.
Vous qui avez tourné plusieurs fois votre veste
Sans vous importuner faîtes donc un beau geste
Et restez loin de moi près de vos amis chers
Tout ira pour le mieux, sans heurt et sans revers
#263384 Violaine voulait me souffleter ! .. en hommage à l'amie.
Posted by
on 11 October 2005 - 08:51 AM
in
Salon de publication principal
Voila qui pourrait être une bonne idée, plutot qu'un atelier d'écriture un atelier théâtre ...
Mais chère Nath, la différence entre le théâtre est la poésie est si mince, c'est juste une question de localisation non ?
sourire amusé....
#263281 La joute...
Posted by
on 10 October 2005 - 10:48 PM
in
Salon de publication principal
Vous Chevalier Hauteur, Dame Erre est au chateau
cachée dans le jardin, vous la trouverez bien
elle n'attend que vous, allez ! faites vous beau
dans le bassin là-bas, voyez elle est au bain.
quant à moi je me dois de partir quelques jours
je vous confie Michel, Roseau, et Isabeau
et tous nos fiers archers Chevaliers de retour
la fête m'attendra, attelez mes chevaux.
Amitié à vous ...
Violaine
cachée dans le jardin, vous la trouverez bien
elle n'attend que vous, allez ! faites vous beau
dans le bassin là-bas, voyez elle est au bain.
quant à moi je me dois de partir quelques jours
je vous confie Michel, Roseau, et Isabeau
et tous nos fiers archers Chevaliers de retour
la fête m'attendra, attelez mes chevaux.
Amitié à vous ...
Violaine
#263279 La joute...
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on 10 October 2005 - 10:42 PM
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Salon de publication principal
Citation (michel)
Voyez preux chevaliers qu'une messe soit dite
La perte de Violaine est incommensurable
Maudit soit l'audacieux cet enlèvement suscite
Châtiment exemplaire c'est intolérable
O douce châtelaine arrêtez que vos pas
Ne suivent ceux d'un autre il est fort à montrer
Qu'un coeur trop vite épris n'est point trop assurer
D'avoir conquis le bon s'il vous mérite pas
Michel
La perte de Violaine est incommensurable
Maudit soit l'audacieux cet enlèvement suscite
Châtiment exemplaire c'est intolérable
O douce châtelaine arrêtez que vos pas
Ne suivent ceux d'un autre il est fort à montrer
Qu'un coeur trop vite épris n'est point trop assurer
D'avoir conquis le bon s'il vous mérite pas
Michel
Fidèle chevalier, je saurai en son temps
me souvenir toujours de votre loyauté
et je vous reviendrai, bien avant le printemps
protégez le chateau de tous les vanupieds !
