JE SERAI LE PREMIER MA DAME
Je viendrai bousculer l’ennui
Qui remplit ce cœur de femme
Pour chahuter vos interdits
Je serai le premier Ma dame.
Sans regret et sans amalgame
Dans ma course vers l’infini
Dans vos nuits je le proclame
Je viendrai bousculer l’ennui.
En vous caressant l’envie
Sans goûter a ces mélodrames
Je chasserai tout ce souci
Qui rempli ce cœur de femme.
Je ne prierai pas Notre Dame
Pour les assouvir mes envies
J’approcherai de vous ma dame
Pour chahuter vos interdits.
Jamais nous connaîtrons l’oubli
Sur les chemins jusqu'à Bergame
Je serai là mais chaque nuit
Je serai le premier, Madame.
De nos amours en filigrane
Sur des lignes papier jauni
Je t’enverrai un télégramme
Avec la passion tout est permis
Je viendrai bousculer l’ennui.
jc blondel
- Poésie - Archives de Toute La Poésie - 2005 - 2006
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Je Serai Le Pemier Madame
13 December 2006 - 09:51 PM
Alfred L'epouvantail
13 December 2006 - 09:46 PM
ALFRED L’EPOUVANTAIL
Il passe Ses printemps dans le milieu des prés
Solide dans le vent imposant sa stature
Repoussant les oiseaux tentés par l’aventure
De venir picorer quelques graines de blé.
Il reste là l’été protégeant de son ombre
Les épis ballottés par tous les vents marins
Qui venaient de la mer par un autre chemin
Lorsque l’horizon gris dépêche sa pénombre.
Mais l’automne déjà s’avance dans le noir
Les moissons l’ont enfin relevé de sa garde
Et dès le soir venu dans le soleil qui tarde
Il envie les saisons qui distillent l’espoir.
La neige a recouvert de son triste éventail
Tous les arides prés qui faisaient sa mission
Sous l’arbre de noël il trouve une maison
Un endroit pour Alfred, Alfred l’épouvantail.
jc blondel
Il passe Ses printemps dans le milieu des prés
Solide dans le vent imposant sa stature
Repoussant les oiseaux tentés par l’aventure
De venir picorer quelques graines de blé.
Il reste là l’été protégeant de son ombre
Les épis ballottés par tous les vents marins
Qui venaient de la mer par un autre chemin
Lorsque l’horizon gris dépêche sa pénombre.
Mais l’automne déjà s’avance dans le noir
Les moissons l’ont enfin relevé de sa garde
Et dès le soir venu dans le soleil qui tarde
Il envie les saisons qui distillent l’espoir.
La neige a recouvert de son triste éventail
Tous les arides prés qui faisaient sa mission
Sous l’arbre de noël il trouve une maison
Un endroit pour Alfred, Alfred l’épouvantail.
jc blondel
Vielles Blessures
08 December 2006 - 07:24 PM
VIEILLES BLESSURES
L’amour fait quelquefois de vilaines blessures
Il marque à tout jamais nos petits cœurs meurtris
A braver les humeurs de tristes interdits
Qui laissent sur nos corps de sordides morsures.
L’âme ne retient pas les anciennes cassures
Qui cicatriseront dans le noir de nos nuits
Nos rêves désormais s’estomperont sans bruit
En espérant déjà, qu’au jour, ils nous rassurent.
Amours des temps anciens ne venez pas ouvrir
Le livre du malheur, des mornes souvenirs,
Pour cacher le soleil par de sombres nuages.
Fissures calfeutrées d’un songe éparpillé
Ne venez pas ternir le plus beau des présages
Car l’amour reviendra dans mon cœur délaissé.
jc-blondel
L’amour fait quelquefois de vilaines blessures
Il marque à tout jamais nos petits cœurs meurtris
A braver les humeurs de tristes interdits
Qui laissent sur nos corps de sordides morsures.
L’âme ne retient pas les anciennes cassures
Qui cicatriseront dans le noir de nos nuits
Nos rêves désormais s’estomperont sans bruit
En espérant déjà, qu’au jour, ils nous rassurent.
Amours des temps anciens ne venez pas ouvrir
Le livre du malheur, des mornes souvenirs,
Pour cacher le soleil par de sombres nuages.
Fissures calfeutrées d’un songe éparpillé
Ne venez pas ternir le plus beau des présages
Car l’amour reviendra dans mon cœur délaissé.
jc-blondel
Quelque Part
08 December 2006 - 07:19 PM
QUELQUE PART
Quelque part il existe au fond de ma mémoire
Un jardinet secret, drôle de territoire
Où vont se chamailler dans la langueur des nuits
Mes rêves d’autrefois et mes vieilles amours.
Restera-t-il debout au fil de mon histoire
Ce vieux château branlant futile et dérisoire
Où ces belles venaient à la tombée du jour
Ecoutez mes chansons de triste troubadour.
La brune aux yeux marrons, la blonde au regard vert
Resteront à jamais dans mes songes d’hier
Occupant sans regret dans un coin de ma tête
L’espace réservé des rendez-vous de fête.
Amour d’un seul matin, colère d’un jour noir
Dans mon âme il y a toujours un peu l’espoir
De trouver le chemin qui mène à la tendresse
La maison du bonheur où se niche ma princesse.
Quelque part il existe au fond de ma mémoire
Un jardinet secret, drôle de territoire
Où se sont réunis lorsque la nuit chancelle
Mes amours d’autrefois et ma reine si belle.
jc-blondel
Quelque part il existe au fond de ma mémoire
Un jardinet secret, drôle de territoire
Où vont se chamailler dans la langueur des nuits
Mes rêves d’autrefois et mes vieilles amours.
Restera-t-il debout au fil de mon histoire
Ce vieux château branlant futile et dérisoire
Où ces belles venaient à la tombée du jour
Ecoutez mes chansons de triste troubadour.
La brune aux yeux marrons, la blonde au regard vert
Resteront à jamais dans mes songes d’hier
Occupant sans regret dans un coin de ma tête
L’espace réservé des rendez-vous de fête.
Amour d’un seul matin, colère d’un jour noir
Dans mon âme il y a toujours un peu l’espoir
De trouver le chemin qui mène à la tendresse
La maison du bonheur où se niche ma princesse.
Quelque part il existe au fond de ma mémoire
Un jardinet secret, drôle de territoire
Où se sont réunis lorsque la nuit chancelle
Mes amours d’autrefois et ma reine si belle.
jc-blondel
Amertume
03 December 2006 - 09:39 PM
AMERTUME
Dans l'espace incongru quand trône le naufrage
Le plaisir est parfois le risque que l'on prend
Dans l'ombre de ces soirs où personne n'attend
De vivre dans un lit cet unique voyage.
Ô belle sans amour, ô belle sans image
Qu'il est bon de jouer sur vos rivage doux
Votre corps, vos appas nous seront les plus fous
Quand apparaît la nuit votre charmant visage.
Ô soleil ravagé des espoirs trop volages
Vous faîtes des printemps ce sordide terrain
Où le plaisir se perdra dans d'horribles destins
Quand le désir se meurt pour faute de partage.
Silences camouflés revenus d'un autre âge
Ces sublimes passions, ces bonheurs sans répit
Que l'amour délaissa dans le gouffre à soucis
Car il ne saura plus vous rendre cet hommage.
Tendresses d'autrefois, ô caresses d'hier
Vous semblez désertées notre douce aventure
Princesse vous avez dans votre chevelure
Le pavillon trop noir de nos rêves d'enfer.
jc blondel
Dans l'espace incongru quand trône le naufrage
Le plaisir est parfois le risque que l'on prend
Dans l'ombre de ces soirs où personne n'attend
De vivre dans un lit cet unique voyage.
Ô belle sans amour, ô belle sans image
Qu'il est bon de jouer sur vos rivage doux
Votre corps, vos appas nous seront les plus fous
Quand apparaît la nuit votre charmant visage.
Ô soleil ravagé des espoirs trop volages
Vous faîtes des printemps ce sordide terrain
Où le plaisir se perdra dans d'horribles destins
Quand le désir se meurt pour faute de partage.
Silences camouflés revenus d'un autre âge
Ces sublimes passions, ces bonheurs sans répit
Que l'amour délaissa dans le gouffre à soucis
Car il ne saura plus vous rendre cet hommage.
Tendresses d'autrefois, ô caresses d'hier
Vous semblez désertées notre douce aventure
Princesse vous avez dans votre chevelure
Le pavillon trop noir de nos rêves d'enfer.
jc blondel
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