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riz(remo)mot

Member Since 04 Oct 2006
Offline Last Active Oct 21 2006 11:06 PM
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Posts I've Made

In Topic: Liquidation émotive!

20 October 2006 - 02:56 AM

Citation (Tyi @ Oct 8 2006, 06:37 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Pire,
Tu es sympathique!


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In Topic: Fragments Poétiques

20 October 2006 - 02:51 AM

Fragment 43

Votre bave bouillonnante est un prodige,
Emanant de l’intimité des absences !
Aussi, avec votre coiffure d’épine
L’univers s’en réjouira.
Et l'orchidée n'enfantera plus guère
La lune de vos yeux!

Pour mon cheval céleste!
à cause de vos pommettes en pierre
L’essence restera une barbarie objective !

Votre opium monsieur est pourri
Tout comme votre ivresse ancestrale !
L’offrande reste donc impossible !
Le silence ne vous écoutera point
Il est sourd vous savez,
Tout comme vous amies fées !
L’effluve de l’iceberg est aveugle
Et n’envahira point vos frissons.

Votre bave bouillonnante est un prodige
Posée là, pour mon cheval !
Soyez honnête monsieur!
Et ne touchez plus aux lueurs des songes
Avalez donc une mélodie ou deux
Puis buvez le noir de la nuit
Soyez propre l’ami, soyez bon!
Et lavez vous les mains
Avec le sang des fleurs endormies.

In Topic: Les Catacombes De L'âme Homerienne

19 October 2006 - 08:03 PM

Jeudi 23 juin 2005

Dans l’amour de l’autre, l’amour que l'on a vis à vis des autres, l'amour consacré à son entourage et à sa famille, dans cette forme globale de l'amour dans toutes ses variations changeantes, il faut impérativement entendre l’amour de soi comme seule perspective personnelle!
L'amour, c'est donc nécessairement penser à soi, s’aimer en autrui pour soi, exister dans ceux et celles qu’on désigne souvent par (les autres)!!
À soi, oui, il faut y penser bien avant toute l'humanité réunie, et là se confirme en réalité l'indéniable prouve de l’égocentrisme chez le genre humain, espèce démunie par nature et assez stupide ma foi, qui peut certainement beaucoup plus se prédéfinir à travers l’identité que l'on s’attribue d'avantage, qu'à travers celle concédée par ses différents acteurs.
L'identité est acquise pour le sujet à travers ses différentes fusions relationnelles et autres approchements pouvant se constituer à partir de ce qu'il est lui même, et d'avantage sans doute à partir de ce qu'autrui représente pour lui.
L’expérience empirique démontre de façon évidente qu’il est impossible que l’amour entre deux être humains soit vraiment pour soi même, or si l’un aime une qualité chez l’autre, son amour pour celle-ci n’est tout simplement que parce qu’il déteste son opposé! Ce qui revient encore à cet attachement lié avant tout à soi-même, bien avant ladite qualité pour laquelle il estime aimer son prochain !
Il faut comprendre que l'on aime bien parce que on veut être aimé, ce qui revient relativement toujours à cette étroitesse de l'esprit affamé d'estime, de l'esprit affamé d’être, logique machinale et rétreinte, qui pousse le sujet à tout vouloir, à tout espérer sans raison, et parfois même à tout abandonner par amour ou par haine d’ailleurs, or si tu ne m’aimes pas, moi non plus je ne t’aime pas ! Et parce qu’aussi tu m’offres ça, alors de même, en échange, je te proposes ça! Je t’aime de plus en plus, parce que mon ennemi est autant le tien, et ma sympathie vis-à-vis de toi, doit toujours- et ne peut d'ailleurs en aucun cas- que se limiter à nos seules antipathies communes.
Selon moi, seule une analyse adéquate et méticuleuse de la structure globale de la prime nature, pourrait éventuellement nous illuminer sur cet individualisme plein d’égoïsme, très proche de la haine…individualisme égocentrique, que vous et moi, nous ne pourrons vraiment feindre, et cela malgré notre alliance civile, et tout autres familiarités hypocrites, qui tissent la plupart de nos valeurs animales.
Ceci dit, vu qu’il n’y a pas encore de chirurgiens spécialisés pour prévenir les incartades de l’âme, habiles pour cartographier ces nombreux mécanismes optionnels liés à son essence matricielle, alors, je n’ai - dans ce cas - qu’à vous suggérer d’aimer, et aimez s’il vous plait ceux qui vous aiment. Surtout ceux là !
Pour avoir plus de respect, plus d’amour pour vous-même, soyez brillants, intelligents, et détestez à fond la caisse, mais n’aimez guère ceux détestant ce que vous aimez !
C’est là, mes chers amis, la plus digne des définitions que l'on peut accorder à l'amour, à partir de là, les ennemis de mes ennemis deviennent mes meilleurs amis, et c'est cela la seule vraie détermination, celle de l’amour, de mon amour pur !
Là, chers frères sont mes valeurs! La vraie paix de l'amour, el l'aisance globale de tout mon être! En raison de cette vision de l’amour, autrui essaye déjà de feindre la vérité, il cherche à l'amour d'autres explications, et peu à peu l’odeur de l’hypocrisie, l’exhalaison impure de la vanité, deviennent son mode d'expression, mais il sait toutefois qu'il est inutile de s'affaire à gloser sur un tel sujet.
Cette vision de l'amour est constante dans notre vie, elle concerne toute l'humanité, à l'exception cependant de l’amour entre le divin et son esclave !

In Topic: Fragments Poétiques

19 October 2006 - 02:41 AM

fragment 42

Savoir, c’est décrypter le qualificatif
Des six sillions solaires !
Savoir c’est être pendu sous le vide de l’étang
L'étang vide de l’absurdité !
Savoir c’est traire le nectar de six collets!
Six collets jonchés là
Ou ici sur l’épave corporelle du babiroussa !!
Savoir c’est oublier les livides fractions
Les six bissectassions niées.
Manifestation inutile du sens saccadé,
Du non sens casé
Du sens dans la pénombre du doute !
Savoir c’est l’infernale huronne,
Qui sculpte et peint la raison
Aux six couleurs de regrets !
Savoir!
Le sentiment, c’est savoir et ne plus rien voir !
Savoir!
Etat sombre du délaissement
Enterré dans le grain de la connaissance !

In Topic: Fragments Poétiques

18 October 2006 - 09:54 AM

fragment (41)

Dévorez la dépouille de cet androïde !
Et vous ne vous égarerez point.
Dans les lisières de mon esprit!
Faites ce que je vous dis
Et soyez digne de votre
Ipséité de princesse!


À partir de l’orée de ma dépouille !
L’ordre univoque est toujours extraordinaire !
L’allumette y a le baiser muet.
Libérée de son devenir, tel l’automate
Qui avance vers l’inconnu !

Sciez le chemin que la corde
Esquisse vers mon destin !
Et cet autre être de regret
Que vos soupirs ont soufflés
Que vos idées ont isolé
Sur le front de ma dépouille !

Ensuite,
Devra être l’offrande l’automate!
La déesse du dénuement !
S’en sustentera pour soigner son appétit !

Alors guère vous ne reculerez
Devant l’arbre des ténèbres
Et point vous n’effacerez
Les commandements du peuple lapins
Jamais vous n’aurez à purifier
La corrosion des îles mouches!
Et pour toujours, l’essentiel
vous sera guide dans l’éther compressé !
Le troupeau des atomes bleus,
vous pourrez sacrifier pour traire
Les mamelles de l’étoile.