smoke

et pour ce soir,
une fugue pour Turland ...

De ce texte, comme d'habitude, pour moi, émane un sentiment d'irrémédiable solitude et tristesse. . Celle qui donne envie de pleurer.
Pleurer ? Non plus seulement. Envie de paix aussi. Envie que tu trouves la paix Ariel.
Je repense à Bleiben à ton univers.
J'ai appris la relativité de tout y compris du malheur.
Je sais que tout dérive sans cesse, Tout craque. Que même le bleu le plus bleu, le bleu le plus intense se délave et part en fumée.

Les mots de ce texte, comme les autres fois, m'attirent et me poussent à les fuir (et non seulement fuguer) pour m'éloigner à grandes enjambées de ce :
"vivre ne sera plus qu’une plaie où s’accrocher au rebord de la douleur "

Très belle phrase Ariel . Faut-il avoir autant souffert, ou encore autant souffrir, pour savoir si bien l'écrire ?
Je t'embrasse

WOuahouhhhh !!!!!! Contente d'avoir participé à relancer ce texte au sommet des publications de TLP !!!!! C'est vrai que ça aurait été dommage qu'il ne tombe trop rapidement dans les oubliettes...




Bonjour Pritos ! Contente de voir qu'il y a quelqu'un de "normal" comme moi sur cette publication. T'as lu la réponse d'Ariel. Bon alors tu as du comprendre rapidement que ... sauf à ... je ne sais pas dire quoi... il est impossible de savoir comme ça, rapidement, facilement, sSIMPLEMENT ce qu'il y a (sûrement) à comprendre.
La façon de donner les clés est si enigmatique qu'il te reste à te flinguer les neurones pour trouver le trésor caché ou à passer à d'autres lectures plus simples (ou basiques si tu préfères.
Paradigme . Au risque de passer pour une cinglée , j'observe que pour passer d' Alien à Ariel ou inversement ... il suffit de secouer un peu et de déformer l'R en N ou l'R en N. ... Je ne peux m'empêcher d'y voir un, même deux, signe-s ...

J'étais tellement au bord (de l'ahurissement ) à la lecture du texte d'Ariel que j'en suis tombée par terre...... Dans le genre ...je vous en délivre un de
Jeanpyer Pöels s'adressant à Mandiargues intitulé "statue". A lire. Ca fixe pour un bout de temps...

"Prostituée ocellée sur les flancs, une grive suspecte sur le dos de la main gauche osseuse sous le mica, la statue, privée de l'avant-goût d'une saignée, rôde à la merci d'une affre théâtrale.

Même coloriée de s'être traînée dans le fossé des étamines de l'éclipse, même aspergée pour la consolation, sur un velours de louves immolées, la statue suspectée n'entraîne l'isolé qu'au pont levis du temps imparfait".

PS J'espère que tu ne te vexeras pas Ariel de ce qui pourrait être considéré comme une sorte d'impertinence de ma part. Je ne suis pas du tout com' ça.... Tu sais que les grands poètes ont toujours été des incompris. J'avoue qu'à part Sérioscal, je me demande qui peut comprendre ce que tu as écrit. Les hermétiques réveillez-vous ! Il se passe p'têt bien qq chose ici .....

J'ai compris pour les anciens textes. (le blog effiloché).  Décidement on est un certain nombre  à faire la même chose ....  Perso je le regrette. Il y a des textes que je ne retrouverai jamais. Mais ça fait partie de la "thérapie poétique, la maïeutique, and so so ... Devant l'ampleur du travail de recherches, et la faible probabilité de succès, j'ai rapidement abandonné l'idée de courir après ce que j'avais peu de chance de retrouver. Il aurait fallu que certains les copint collent et les gardent dans un coin de leur mémoire informatique par exemple. Dis à propos Ariel, t'aurais pas fait ça avec un poème que j'avais écrit sur un noir affalé dans une cour et qui laissait son regard courir au-dessu des toits... UN des rares où tu m'as fait un compliment . Celui là, puisqu'i létait presque parfait, j'aimerais bien le récupérer. Sinon tant pis ....
Dominique