tu parles de pics quand tes yeux collent la bande-passante
toujours inclinée vers la maladie
l'impureté.
tu parles dans le vide au nom de tous
chaque fois que tu colles aux poussières de la langue
qui t'ont frappé l'esprit
bien avant toi.
la suite :
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09 December 2006 - 12:45 PM
A L'intérieur Une Ville A Disparu
16 November 2006 - 02:51 PM
Un rituel innerve le cours de la journée, extrait la narration gelée
Un recul reptilien élève le cours des choses à la mesure exacte d'une image vierge chargée de désespoir EFFICIENT.
Et l'image ne s'aventure pas sur le monde, elle le comprend pour le soumettre à son efflorescence qui passe invisible
Elle a mené son sabbat en couloirs, sans prendre haleine
ou une
défie l'indéfini que les blessures aiguisent.
tourne, prend de l'allure quand ils n'osent lui dire
avec le corps.
Tout est perdu le jour des naissances mitoyennes.
Il faudrait une pause terrible.
Un recul reptilien élève le cours des choses à la mesure exacte d'une image vierge chargée de désespoir EFFICIENT.
Et l'image ne s'aventure pas sur le monde, elle le comprend pour le soumettre à son efflorescence qui passe invisible
Elle a mené son sabbat en couloirs, sans prendre haleine
ou une
défie l'indéfini que les blessures aiguisent.
tourne, prend de l'allure quand ils n'osent lui dire
avec le corps.
Tout est perdu le jour des naissances mitoyennes.
Il faudrait une pause terrible.
Des Trucs
16 November 2006 - 02:43 PM
On vient de m’envoyer par avion le ticket d’entrée pour la chambre rose alors que mes yeux passent une fenêtre mettre un clocher en souvenir.
Dans ce souk tiède la terre battue revenir, une fois passée par le feu cherche son écorce.
Sur le tapis de la chambre au pied du lit, des lampes d’hotêl ivres peignent les mots Il était une fois qui donnent chemin à un fleuve d’épaves.
Plusieurs fois les taies meublées envahies de corridors se confondent avec le soleil dans un luxe infini d’ascension.
Tout dodeline en un carême acidulé
C’est le cœur vous en-dit énoncé pour la première fois
Prêt à lever un mystère
Qui se retourne – n’en trouvant pas
Sur des escaliers noirs.
Causeries pour les soirs de fête
On vit passer un diable en apparât, qui fût rapidement intégré aux convives
Ce soir la terre est à nouveau plate,
Ses limites masquées
D’allées de tilleuls ; il fait doux
En même temps que flottent les brandons de vieux bals,
Ce soir les malles de fer-blanc sont en perce, éperonnées par les jeux d’enfants.
La terre a des dimensions de place de village et les bonnets de nuit font du sur-place dans le ciel, maintenus par les rares fumées de cheminées.
Le peu de temps passé alentour vos yeux le profilent à exercer la venue mi-close de rideaux d’arbres
Et campés au fusain.
On entreprend un charme général qui vient se détacher peu à peu hors l’ombre des visages
Un désordre distant ouvre ses bras à l’attention
A la même heure au chant du coq
Tous les gens suivent et se mettent à parler.
Dans ce souk tiède la terre battue revenir, une fois passée par le feu cherche son écorce.
Sur le tapis de la chambre au pied du lit, des lampes d’hotêl ivres peignent les mots Il était une fois qui donnent chemin à un fleuve d’épaves.
Plusieurs fois les taies meublées envahies de corridors se confondent avec le soleil dans un luxe infini d’ascension.
Tout dodeline en un carême acidulé
C’est le cœur vous en-dit énoncé pour la première fois
Prêt à lever un mystère
Qui se retourne – n’en trouvant pas
Sur des escaliers noirs.
Causeries pour les soirs de fête
On vit passer un diable en apparât, qui fût rapidement intégré aux convives
Ce soir la terre est à nouveau plate,
Ses limites masquées
D’allées de tilleuls ; il fait doux
En même temps que flottent les brandons de vieux bals,
Ce soir les malles de fer-blanc sont en perce, éperonnées par les jeux d’enfants.
La terre a des dimensions de place de village et les bonnets de nuit font du sur-place dans le ciel, maintenus par les rares fumées de cheminées.
Le peu de temps passé alentour vos yeux le profilent à exercer la venue mi-close de rideaux d’arbres
Et campés au fusain.
On entreprend un charme général qui vient se détacher peu à peu hors l’ombre des visages
Un désordre distant ouvre ses bras à l’attention
A la même heure au chant du coq
Tous les gens suivent et se mettent à parler.
Légendes
13 November 2006 - 12:23 PM
Medium child's absence print
Size 21.10 x 27.40 cm, km
une fougère se suicide à la grande ourse
par le biais des vapeurs
derrière l'ardoise la présence
qui projette un huit-clos grand comme le monde
le temps de disparaître
au milieu.
c'est l'abstinence qui se sert de la vie
comme reflet inconnu
par habitude.
il neige dans mon dos et je l'enlève sur la carrelingue.
Un tertre vient de se former en un instant
à pleins poumons
aimantés aux meilleures apparences du soleil
redevable.
mon dieu
faites qu'il n'aille pas tremper
Crèves-lieux
20 September 2006 - 05:11 PM
Pour unique chandelle rongée des deux côtés :
[ne bouges plus d'un pouce,
le jour est un coupe-gorge]
Un soupirail tampon dans le ciel un jour de pluie noire
l'immense plage ...
déposés dans l'oeil des décimations
réduits au motif des lentes girations du mutisme
nous attendions
Ciel de l'esprit sans ciel, la Veille-pleureuse
[ne bouges plus d'un pouce,
le jour est un coupe-gorge]
Un soupirail tampon dans le ciel un jour de pluie noire
Barriolée immobile
l'immense plage ...
déposés dans l'oeil des décimations
réduits au motif des lentes girations du mutisme
nous attendions
Ciel de l'esprit sans ciel, la Veille-pleureuse
heurt en mains
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