Enlève cette peau
et tes veines
Le béton murmure
Tes racines
Tes racines
Entends-tu
Enlève cette carnèle
Prolonge-nous fonds
La pierre encore
Tu n’as jamais dit
Jamais combien
Pardon
L’armée blanche
Soupirante
Combien nous ne serons
Jamais l’influence de la jeune polonaise
Musique, Maman-chérie
Le lit sang aux pourtours
La faim comme mort
Enfant dit encore des mois séparent
Sans savoir, sans savoir
Fallait-il
Musique, maman chérie
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Topics I've Started
Un Ave Maria Pour Kountsevo
18 December 2006 - 11:23 PM
Taxis Parisiens
05 December 2006 - 03:42 PM
A la Concorde, le crêpe noir soulève
D’une rive à l’autre – l’œil
A quai pour deux
..........................-sec
Ne me dis pas la déconstruction
Elle enjambe au prix d’une heure
La lumière, l’odeur d’un sapin
.............................................-sous
./.
.../.
...../.
......./.
Asphyyyyyyyyyyxie
...................../.
.................../.
................./.
Point
Des retours, des algues marines
Nos cheveux s'étirent, le fleuve
................................................./.
D’une rive à l’autre – l’œil
A quai pour deux
..........................-sec
Ne me dis pas la déconstruction
Elle enjambe au prix d’une heure
La lumière, l’odeur d’un sapin
.............................................-sous
./.
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Asphyyyyyyyyyyxie
...................../.
.................../.
................./.
Point
Des retours, des algues marines
Nos cheveux s'étirent, le fleuve
................................................./.
Revient à grande respiration
Le cœur malade
Le cœur malade
Lectures
30 November 2006 - 02:46 PM
Depuis bien longtemps,
Je me suis étendue
Libre
Encore de n’être qu’à toi
Tu ne me diras pas ;
Je sais. Tes silences,
La langue inversée
Les ponts entre-deux
Depuis longtemps
Je me suis étendue
La fenêtre est close
Un arrière fort
Le parcours des idoles
J’ai bien l’attirance
Des regards que j’efface
Des folies, un asile tranquille
Et mon cœur soulève
De l’espace des siècles en entrelacs
Aux controverses d’appétits illégaux.
Je me suis étendue
Libre
Encore de n’être qu’à toi
- A l’ombre des treilles
Tu ne me diras pas ;
Je sais. Tes silences,
La langue inversée
Les ponts entre-deux
- Ma mémoire
Depuis longtemps
Je me suis étendue
La fenêtre est close
- Loin derrière
Un arrière fort
Le parcours des idoles
- Sans poursuite.
Mes rêves ont toujours
Le goût de ces envoûtements
Hiéroglyphiques
Et la confiture composée
Défaire le parchemin
Une farine d’ennui
- Autant que je m’en souvienne
Le goût de ces envoûtements
Hiéroglyphiques
Et la confiture composée
- Ce que je suis
Défaire le parchemin
Une farine d’ennui
- -dé.
J’ai bien l’attirance
Des regards que j’efface
Des folies, un asile tranquille
Et mon cœur soulève
- L’affaissement
De l’espace des siècles en entrelacs
Aux controverses d’appétits illégaux.
Cher Enfant
29 November 2006 - 02:08 PM
Nous flatterons nos mains vierges
A la noce du feu
*
Pourrons-nous jamais enjamber
Cet espace qui nous tend,
Désosser la distance,
L’âge à faire mal
-Déjà
Cette presque décennie ?
*
Et l’autre, masqué à la promesse de nos pages
Saura–t’il un jour combien nous fûmes sages?
Nous n’aurons pas de vipères, nos sangs
Seront la confusion de l’argile naissant
Pétrirons de nos rires, l’effervescence,
De tes mots à mes mots
-La différence
*
L’aurore tissée de fils blancs...
Attends! Non, attends !
Comment pourrions-nous ré-enfanter nos corps
- Encor ?
A la noce du feu
*
Pourrons-nous jamais enjamber
Cet espace qui nous tend,
Désosser la distance,
L’âge à faire mal
-Déjà
Cette presque décennie ?
*
Et l’autre, masqué à la promesse de nos pages
Saura–t’il un jour combien nous fûmes sages?
Nous n’aurons pas de vipères, nos sangs
Seront la confusion de l’argile naissant
Pétrirons de nos rires, l’effervescence,
De tes mots à mes mots
-La différence
*
L’aurore tissée de fils blancs...
Attends! Non, attends !
Comment pourrions-nous ré-enfanter nos corps
- Encor ?
Marina
25 November 2006 - 03:52 PM
Je ne saurais donner
Au silence et au pire
Nos abandons
-L’eau déverse toujours
Ses goulags de chagrins
Se suffire et plus
-------------------Rien
Pendre du bout des doigts
L’insuffisance, des amours in
-traduits
Des blocs de soi – surface lisse
Des chagrins de l’exil
Nos sans toits, toutes ces vies
Que l’on brûle à la peau
De nos douleurs.
Nos corps, ce que l’on cache
Nos servitudes hasardeuses
Par-dessus ! Par-dessus !
Brisent ; se brisent, grand
------------------------------Vacarme
Au silence et au pire
Nos abandons
-L’eau déverse toujours
Ses goulags de chagrins
Se suffire et plus
-------------------Rien
Pendre du bout des doigts
L’insuffisance, des amours in
-traduits
Des blocs de soi – surface lisse
Des chagrins de l’exil
Nos sans toits, toutes ces vies
Que l’on brûle à la peau
De nos douleurs.
Nos corps, ce que l’on cache
Nos servitudes hasardeuses
Par-dessus ! Par-dessus !
Brisent ; se brisent, grand
------------------------------Vacarme
Au sol gît une corde,
Toi et mon ventre
-détachés.
Toi et mon ventre
-détachés.
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