Quand nos chemins déraillent
On se r'trouve sur des quais de gare
Les mains vides
Sans aucun adieux à donner
Avant,
Avant, on buvait notre café le rire aux lèvres
On regardait les gens s'affoler dans les rues encombrées
On se caressait la main avec l'envie d'aller plus loin
Avant,
C'était l'attente de l'autre, l'envie de tout
Des projets à n'en plus finir, l'amour sur nos lèvres
Avant...
Maintenant, je suis dans cette gare
Le train ferme ses portes sur un autre regard
Celui dans lequel on ne lit que le vide
Un regard ou la lune s'est endormie.
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22 December 2006 - 10:02 AM
Il Est Déjà Bien Trop Tard
22 December 2006 - 09:54 AM
Je vois bien que tu t'éloignes
Mais dis moi pourquoi
Parfois je me sens seule
Même quand tu es là
Je vois bien que tu t'éloignes
Tes gestes pendent dans le vide
Tu m'en donnes des crampes dans le bide
Des heures de peine dans tes silences
Mais jamais d'orage
J'aimerai que l'on danse
Encore à nos âges...
Ton regard me fuit
Mais je voudrais savoir
Jamais rien, tu me dis
Et je devrais te croire
Je vois bien que tu t'éloignes
Tu me laisses dans la boue
Dans ce putain de cafard
Je n'ai plus goût
Et le teint blafard
Je vois bien que t'éloignes
je dors dans les bras de mon oreiller
Mon ours en peluche au creux de mon coeur
Mes larmes cherchent ton odeur
Je vois bien que tu t'es éloigné
Je tombe sans cesse sur ton répondeur
Tu pretextes des rendez-vous à point d'heure
Je ne veux pas te surveiller,
Alors...
Je te laisse t'éloigner...
Mais dis moi pourquoi
Parfois je me sens seule
Même quand tu es là
Je vois bien que tu t'éloignes
Tes gestes pendent dans le vide
Tu m'en donnes des crampes dans le bide
Des heures de peine dans tes silences
Mais jamais d'orage
J'aimerai que l'on danse
Encore à nos âges...
Ton regard me fuit
Mais je voudrais savoir
Jamais rien, tu me dis
Et je devrais te croire
Je vois bien que tu t'éloignes
Tu me laisses dans la boue
Dans ce putain de cafard
Je n'ai plus goût
Et le teint blafard
Je vois bien que t'éloignes
je dors dans les bras de mon oreiller
Mon ours en peluche au creux de mon coeur
Mes larmes cherchent ton odeur
Je vois bien que tu t'es éloigné
Je tombe sans cesse sur ton répondeur
Tu pretextes des rendez-vous à point d'heure
Je ne veux pas te surveiller,
Alors...
Je te laisse t'éloigner...
On Meurt Desfois Pour Une Connerie
07 December 2006 - 01:26 PM
L'escalier était caché dans la pénombre
Il était en haut de cet escalier.
Au pied, je gisais
Il venait de faire tomber sa friteuse
L'huile avait tout éclaboussé
L'orage avait fait sauter les plombs
Maintenant, c'est les mains tremblantes
Les jambes flageollantes
Qu'il me regarde étalée vingt marches plus bas
Les yeux ouverts
Une rigole de sang sur la bouche
Les bras en croix....
Il était en haut de cet escalier.
Au pied, je gisais
Il venait de faire tomber sa friteuse
L'huile avait tout éclaboussé
L'orage avait fait sauter les plombs
Maintenant, c'est les mains tremblantes
Les jambes flageollantes
Qu'il me regarde étalée vingt marches plus bas
Les yeux ouverts
Une rigole de sang sur la bouche
Les bras en croix....
Pensée Simple
03 December 2006 - 01:09 AM
Le café refroidit
Ma cigarette se consume
J’ai été frappée par ta lassitude
Tes mains qui tremblaient
Ton sourire timide
Ton dos voûté.
Les arbres pleurent
Mes rêves se meurent
Tu semblais vouloir me dire
Mes tes mots se sont éteints
Par crainte?
Tu t’es détourné
Comme si je n’étais plus là.
Mon café est froid
Ma cigarette cendres,
J’attendrais ce soir
Que tu rentres
Et, peut-être saurais-je
Ce que tu voulais me dire…
Ma cigarette se consume
J’ai été frappée par ta lassitude
Tes mains qui tremblaient
Ton sourire timide
Ton dos voûté.
Les arbres pleurent
Mes rêves se meurent
Tu semblais vouloir me dire
Mes tes mots se sont éteints
Par crainte?
Tu t’es détourné
Comme si je n’étais plus là.
Mon café est froid
Ma cigarette cendres,
J’attendrais ce soir
Que tu rentres
Et, peut-être saurais-je
Ce que tu voulais me dire…
Pensées D'amour
30 November 2006 - 10:32 PM
Le monde s'endort lentement
Je ne peux te quitter, non je ne peux
.............. Les lumières déclinent sournoisement
Je sais ce qu'est l'instant précieux
..................... Quand deux corps se soudent….
..........................Les papillons entourent l'air de mes mains
Et c'est dans mon corps que je fouillerai
Lorsque l'aube du destin me piétinera
Les anges décousent la larve qui clos mes yeux
Ils recueillent mes larmes ravalées
Et, de leurs ailes abattent mes murs de ronces
Que le temps avait engendré
Je ne peux te quitter, non je ne peux
.............. Les lumières déclinent sournoisement
Je sais ce qu'est l'instant précieux
..................... Quand deux corps se soudent….
..........................Les papillons entourent l'air de mes mains
Et c'est dans mon corps que je fouillerai
Lorsque l'aube du destin me piétinera
Les anges décousent la larve qui clos mes yeux
Ils recueillent mes larmes ravalées
Et, de leurs ailes abattent mes murs de ronces
Que le temps avait engendré
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