ImNothing

J'ai pleuré dans mon café.

Cet amour soluble,
dilué d'un nuage de regret,
sucré d'un morceau d'illusion;
je l'ai trop mélangé,
il s'est refroidi.

Un goût amer dans la bouche.

Je n'ai pas d'avenir
et bien ainsi soit-il!
Car t'avoir me suffit
à réver, vivre et rire.

Si un jour tu m'oublie,
loin d'être qu'un souvenir,
puis-je être un de tes rires
et celà me suffit.

Je n'ai pas la prétention d'être
l'unique amour de ta vie,
mais le souhaiteras'tu peut-être?

Car un seul regard m'a permis
de comprendre, que tout ton être
ensoleilleras toute ma vie!

Je n'ai pas d'avenir
et bien ainsi soit-il!
Car t'avoir me suffit
à réver, vivre et rire.

Si un jour tu m'oublie,
loin d'être qu'un souvenir,
puis-je être un de tes rires
et celà me suffit.

Je n'ai pas la prétention d'être
l'unique amour de ta vie,
mais le souhaiteras'tu peut-être?

Car un seul regard m'a permis
de comprendre, que tout ton être
ensoleilleras toute ma vie!

Saisissant chaque signes
qu'elle m'envoie inconsciemment,
ces signes suintant
l'amour, la mort, mon sort,
à mon tour, je sors dehors,
les six sens en transe
je me plonge dans l'aurore,
transit, je repense
a ses insensées avances.

Elle m'attire, je veux fuir,
je fuis à tire d'ailes, elle me tire vers elle,
je reste pour son sourire inceste,
mes sentiments se manifeste
sous formes d'infimes paroles
elle le sait, lui plait, les volent.

Mon amour pour elle pourris mes ailes
elle se dit martyr, je la sais satyre.
Je m'approche de cet être
mes mains, ses reins,
ma joue, sa main,
elle reproche ma façon d'être,
mes caresses l'offense
elle veut mener la danse,
je la laisse faire.

Lassé de satisfaire
son ego, j'agonise si tôt
qu'elle avoue m'aimer seulement,
pour ma souffrance, mes maux,
la pitié qu'elle ressent.

Elle me ménage
je la dégage,
mais je mens
je l'aime évidemment.

Ecumant inlassablement
Les recoins de la poésie,
Les petits chefs, ces grands savants,
Savent ce qu'est de la poésie, car ce sont eux les vrais génie.

Mais même si ils sont les plus grands
De TouteLaPoésie, ils sont
Que de simples passant ignorant
De toute la poésie et de ce qu'est une vraie passion.

Petits chefs profité au mieux
De ces instants de pseudo-gloires,
Car la Poésie n'a pas de mémoires pour vos exploits d'un soir.

Petits chefs, vous qui êtes soucieux
Des répliques que vous vomissez,
J'attends vos mots d'esprits, voici le papier pour vous essuyer.