La Sauvegarde de la Langue Française.
La langue française ne rendra pas les armes !
J’entends cette phrase résonner sur les cordes vibrantes de la guitare-pays.
Le français reste et restera la seule langue de la diplomatie et du raffinement politique.
Un salon sur un entrelacs d’ondes et de capitaux.
Quelques façons d’articuler le dernier entendement, celui-la sur la sauvegarde de la planète.
La planète chauffe !
La planète brûle !
Mouchez-vous.
La langue française garde l’éclat des matériaux alchimiques.
Or, or, or, gardez votre or et vos scandaisons.
Mais le pétrole ! Ha, le pétrole…
Yacks… Camions… Découpage.
Raccommodez-moi ce bouton, ce matin, ce bouton sur mon veston, ce veston, ce bouton, mon veston, mon matin.
CA n’existe plus !
Donc, les claquements et efforts de gosier.
Salives d’entendements, donc.
Donc.
Donkey-ball.
Envoie tout le courrier.
Ils n’ont plus de président…l’époque change, ils ont étouffé la révolution !
Sur un mur.
Comme les murs de notre petite enfance, lorsque nous voulions chasser les ombres sur les murs, et armés d’un ballon, nous dévisagions les murs.
Démonstration_ ceci
Cela. OK.
Circule plus vite que veines
Vraiment vite lumières
Qu’êtes
Semblances mirages illusions
Cela commence toujours
parlé
éructé
étalé
alarmé
avancé toujours
ho, de poésie, de d’
incroyables,,,. ?
Singeries perpend’--------------------------------------------------------------tramènes.
damien, le mngeur à la cruile d’métra la langue mouve déssoudet
crampo très bien les gos
But the fact IS globalization
Crois que mem l’étoile
Croi encor ?
Comment f
J’ only solut
se perd se per
sauv-t-ç
dessin homologue à NN NN NN
LLLLLLLL /
To sans symboles
Ha tkt ce soir
Ré le unique
Le ma musique vi1
Vien pa seul m’éde stp
Je t’en prie je sais
Ca y est
Débarrassé
C’est bon
C’est bon
C’est bon
Manifestement. Je parle.
- Poésie - Archives de Toute La Poésie - 2005 - 2006
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La Sauvegarde De La Langue Française
08 December 2006 - 01:31 PM
Mes Couilles
07 December 2006 - 11:33 PM
mes couilles chaudes et
le mouvement de mes mains
sur mes couilles chaudes
protégé du reste
entre ces quatre murs
plus important
un attachement
une attente au milieu
du chaos spirituel
un calme
deux mains et mes couilles chaudes
c'est le mouvement la solitude
qu'enfin
enfin
apportent le redoux de ma conscience.
le mouvement de mes mains
sur mes couilles chaudes
protégé du reste
entre ces quatre murs
plus important
un attachement
une attente au milieu
du chaos spirituel
un calme
deux mains et mes couilles chaudes
c'est le mouvement la solitude
qu'enfin
enfin
apportent le redoux de ma conscience.
Faces De Rocs Et Geules De Glaise, Partie 2
06 December 2006 - 01:05 PM
Pour une fois, j’étais dans le rôle de l’homme qui discutait.
Je brassais l’air, je faisais de grands gestes.
Mon interlocuteur, quel était-il, je ne distinguais plus alors qu’un ESPACE de paroles. J’écris sans innocence ESPACE et non espace, car un halo d’attention palpable séparait nos corps de la rue et de ses cris sans fonds.
Même il me semblait que nos pas perdaient tout but ; sans destination autre que la suite d’une vague mouvance, diffuse, diffuse.
Le visage de celui qui écoute n’est plus le visage qui de celui qui regardait le ciel se déployer en sortant du restaurant, tout à l’heure. Ni d’aucun feu rouge. C’est un visage pétri dans une glaise identifiable, la preuve de la notion de création humaine. Ou l’homme défroqué. Etrange, donc, lorsque quelques paroles dénudent l’appareil des corps jetés ici bas. Faces de rocs et gueules de glaises. Dieu est mort, l’homme de seule substance ne l’est peut être pas, mais est-ce bien mieux ?
Comprenez, peut être suis-je malade, parce que trop proche du NU. Et j’écris Nu, etc. La maladie étant un signe de santé mentale lorsqu’elle est clairement diagnostiquée par son sujet, la réalité de mon atmosphère ne me dépasse certainement pas. Je suis convaincu que nous sommes des rocs émergeant à la surface des choses. Et quels rocs ! Je ne pourrai les cacher plus de quelques phrases directes… car je fige la substance de l’homme sur chaque visage d’écoute.
Une chose me fut acquise au croisement d’un carrefour : nous n’avons rien à cacher aux singes.
Je brassais l’air, je faisais de grands gestes.
Mon interlocuteur, quel était-il, je ne distinguais plus alors qu’un ESPACE de paroles. J’écris sans innocence ESPACE et non espace, car un halo d’attention palpable séparait nos corps de la rue et de ses cris sans fonds.
Même il me semblait que nos pas perdaient tout but ; sans destination autre que la suite d’une vague mouvance, diffuse, diffuse.
Le visage de celui qui écoute n’est plus le visage qui de celui qui regardait le ciel se déployer en sortant du restaurant, tout à l’heure. Ni d’aucun feu rouge. C’est un visage pétri dans une glaise identifiable, la preuve de la notion de création humaine. Ou l’homme défroqué. Etrange, donc, lorsque quelques paroles dénudent l’appareil des corps jetés ici bas. Faces de rocs et gueules de glaises. Dieu est mort, l’homme de seule substance ne l’est peut être pas, mais est-ce bien mieux ?
Comprenez, peut être suis-je malade, parce que trop proche du NU. Et j’écris Nu, etc. La maladie étant un signe de santé mentale lorsqu’elle est clairement diagnostiquée par son sujet, la réalité de mon atmosphère ne me dépasse certainement pas. Je suis convaincu que nous sommes des rocs émergeant à la surface des choses. Et quels rocs ! Je ne pourrai les cacher plus de quelques phrases directes… car je fige la substance de l’homme sur chaque visage d’écoute.
Une chose me fut acquise au croisement d’un carrefour : nous n’avons rien à cacher aux singes.
île/ Ironie Suspecte/ Transparence
05 December 2006 - 10:27 AM
Un long et silencieux ciel clair
s’ouvre devant moi.
Nouvelles et anciennes tortues
en spirale sur le sable de mon archipel ;
comme un arrière-goût de palmes
mêlé entre mes dents au musc du soleil.
Et sur la peau des indigènes
je déchiffre tant de symboles ;
tant de miroirs tendus
finissant d’achever ma civilisation.
*****
A l’effigie du souffre
j’érige le parangon de mes paroles.
Un champs de carcasses pourries,
quelques vautours imbus d’orage
piaillant leurs borborygmes mortuaires
et une jeune fille pieds nus
foulant le dernier cercle des pierres.
- Au jardin de mes mots
souffle un vent de peste. -
Les fleurs déchues basculent
vers les portes de la ville agenouillée,
chiures et pistils dans le décombre des trottoirs.
Une rose sur tes genoux
est venue un temps témoigner
de toute l’absurdité de la chose.
Et j’ai broyé la scène
sous le coup de mon ironie suspecte.
*****
M’avez-vous vu marcher
dans ces champs sans couleurs ?
Saisir le bras d’une créature des brumes
et ne rien lâcher, hargneux, déterminé,
de toute ma transparence ?
Car je suis l’homme des pluies.
Car je suis l’homme pâle.
Je suis celui qui traverses vos campagnes,
vos averses et vos fumiers
sans l’ombre d’une résistance.
M’avez-vous vu ? Alors
détournez votre route et
détournez votre suite.
Car je suis l’homme dont la démarche
ne laisse aucune trace.
s’ouvre devant moi.
Nouvelles et anciennes tortues
en spirale sur le sable de mon archipel ;
comme un arrière-goût de palmes
mêlé entre mes dents au musc du soleil.
Et sur la peau des indigènes
je déchiffre tant de symboles ;
tant de miroirs tendus
finissant d’achever ma civilisation.
*****
A l’effigie du souffre
j’érige le parangon de mes paroles.
Un champs de carcasses pourries,
quelques vautours imbus d’orage
piaillant leurs borborygmes mortuaires
et une jeune fille pieds nus
foulant le dernier cercle des pierres.
- Au jardin de mes mots
souffle un vent de peste. -
Les fleurs déchues basculent
vers les portes de la ville agenouillée,
chiures et pistils dans le décombre des trottoirs.
Une rose sur tes genoux
est venue un temps témoigner
de toute l’absurdité de la chose.
Et j’ai broyé la scène
sous le coup de mon ironie suspecte.
*****
M’avez-vous vu marcher
dans ces champs sans couleurs ?
Saisir le bras d’une créature des brumes
et ne rien lâcher, hargneux, déterminé,
de toute ma transparence ?
Car je suis l’homme des pluies.
Car je suis l’homme pâle.
Je suis celui qui traverses vos campagnes,
vos averses et vos fumiers
sans l’ombre d’une résistance.
M’avez-vous vu ? Alors
détournez votre route et
détournez votre suite.
Car je suis l’homme dont la démarche
ne laisse aucune trace.
Sans Titre.
04 December 2006 - 12:09 PM
d'inlassables vivants
se réfugient dans la couleur
avec la précaution
seyant aux ciels fragiles.
ô déchirance des horizons
ô souffle des mains; toute jetée
tellement
se perd.
se réfugient dans la couleur
avec la précaution
seyant aux ciels fragiles.
ô déchirance des horizons
ô souffle des mains; toute jetée
tellement
se perd.
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