Merci beaucoup, Félice. Parfois, nous sommes insensibles à la souffrance des autres. Quand nous voyons la misère partout, c’est possible qu’elle cesse de nous toucher. J’ai peur de ça.
Merci pour vos commentaires et suggestions. Félice, J’aime beaucoup votre remarque : « De l'espace entre les mots et les phrases... comme il a y de l'espace entre les arbres de la forêt. » La Nature est le meilleur professeur, n’est-ce pas ?