tire de: Etre et devenir (general)
IGNORER LA MALEDICTION
Ignorer la malediction
qui fait se tromper de visage
oublier l'instant d'abandon
vite reprime et cete rage
interieure maitrisee surface
le mot blessure est a sa place
savoir que ca n'irait pas loin
de toute facon que c'est tres bien.
S'interdire moindre reaction
regarder le corps feliner
retrouver le sens la raison
arreter d'etre illumine
par une simple apparition
retrouver ce calme apparent
se satisfaire du comme avant
et puis rentrer a la maison.
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- Poésie - Archives de Toute La Poésie - 2005 - 2006
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poesie et chanson, strategie, marketing
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Barbara et desnos, supervielle, louise de vilmorin (poemes), verlaine. "Vie et destin" de Vassili Grossman.
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Ignorer La Malediction
28 January 2006 - 07:33 PM
Images un peu passees
07 January 2006 - 06:51 PM
tire de: Barbarimes et Verlainiennes
IMAGES UN PEU PASSEES
Images d'Epinal au soleil confondues
neige de baiser bancal cette nuit a fondu
les mains ont la peau reche des caresses endormies
et la terre est bien seche la ou nous avons cueilli
les fleurs de la jeunesse insouciante et reveuse
Les larmes dans les larmes et le sourire aux levres
eternellement jointes cette periode fut breve
les secondes sans elles qui passaient sans finir
j'ai du casser mes ailes je n'ai plus souvenir
de l'infinie tendresse enrobee savoureuse
Images de campagne et de dimanche matin
sous la pluie le soleil c'etait toujours printemps
reste la couverture et la peau de chagrin
pardon mon coeur hier tu etais si content
plonges dans l'allegresse de fete religieuse
Les mains les doigts croises dans les yeux tout un monde
attends je les revois en memoire seconde
je n'ai meme pas mal de ne plus le pouvoir
on croit qu'on ne peut plus qu'on ne pourra plus croire
aux merveilles des promesses par trop aventureuses
Pourquoi je te dis ca dis pourquoi je te blesse
de quoi es-tu coupable que je ne le sois pas
est-ce la mauvaise humeur ou le temps qui me laisse
par trop indifferent recouvrant drap de soie
les fleurs de la jeunesse insouciante et reveuse
Nous prendrons des vacances au petit bout du monde
a Eilat nous reprendrons tout le temps pour nous
nous referons briller les eternelles secondes
nous saurons retrouver le gout de l'amour fou
je prefere quand la fin du poeme est heureuse.
accents: le lecteur ajoutera
IMAGES UN PEU PASSEES
Images d'Epinal au soleil confondues
neige de baiser bancal cette nuit a fondu
les mains ont la peau reche des caresses endormies
et la terre est bien seche la ou nous avons cueilli
les fleurs de la jeunesse insouciante et reveuse
Les larmes dans les larmes et le sourire aux levres
eternellement jointes cette periode fut breve
les secondes sans elles qui passaient sans finir
j'ai du casser mes ailes je n'ai plus souvenir
de l'infinie tendresse enrobee savoureuse
Images de campagne et de dimanche matin
sous la pluie le soleil c'etait toujours printemps
reste la couverture et la peau de chagrin
pardon mon coeur hier tu etais si content
plonges dans l'allegresse de fete religieuse
Les mains les doigts croises dans les yeux tout un monde
attends je les revois en memoire seconde
je n'ai meme pas mal de ne plus le pouvoir
on croit qu'on ne peut plus qu'on ne pourra plus croire
aux merveilles des promesses par trop aventureuses
Pourquoi je te dis ca dis pourquoi je te blesse
de quoi es-tu coupable que je ne le sois pas
est-ce la mauvaise humeur ou le temps qui me laisse
par trop indifferent recouvrant drap de soie
les fleurs de la jeunesse insouciante et reveuse
Nous prendrons des vacances au petit bout du monde
a Eilat nous reprendrons tout le temps pour nous
nous referons briller les eternelles secondes
nous saurons retrouver le gout de l'amour fou
je prefere quand la fin du poeme est heureuse.
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Le con de quelqu'un
17 September 2005 - 09:19 PM
tire de: Portrait du monde
LE CON DE QUELQU'UN
On est toujours
le con d'un autre
et pas un jour
sans une faute
on est toujours
quoi que l'on fasse
au cote cour
quand c'est en face
car toujours le con de quelqu'un
si ca console de se le dire
pourtant c'est vrai on le sait bien
le mieux c'est savoir en sourire.
LE CON DE QUELQU'UN
On est toujours
le con d'un autre
et pas un jour
sans une faute
on est toujours
quoi que l'on fasse
au cote cour
quand c'est en face
car toujours le con de quelqu'un
si ca console de se le dire
pourtant c'est vrai on le sait bien
le mieux c'est savoir en sourire.
Sourire interieur
10 September 2005 - 08:38 PM
tire de: Interieurs
SOURIRE INTERIEUR
Il rit a l'interieur de ces choses de la vie
de ces choses ou l'on pleure tellement ca suffit
il regarde incredule les liquides cervicaux
et vit en funambule apaisant ses credo
Pres du nez il respire et le vent le deplace
dans les yeux fatigues il y a un jardin
de vert clair frissonnant poussieres du temps qui passe
comme flocons de neige d'un paradis lointain
c'est tout dans la prunelle que la joie se dessine
le sourire de la belle en reflet se devine
viens dans ma tete viens voir que je pense a toi
c'est la que se decident et la faim et le froid
Pensees de l'interieur a regarder sa vie
le monde immensement dans sa microscopie
les rigueurs du dehors nous semblent ridicules
les travers et les torts la connerie qui pullule
voyage a l'interieur du cerveau en latence
sans alcool et sans drogue la pensee en partance
dans les recoins des os sous les muscles saillants
se continue le flot de l'assaut du vivant
la matiere et l'esprit en si peu de volume
on su faire la nuit mais l'aube aussi quand meme
l'impression de tenir entre marteau enclume
et puis le flot soudain qui fait dire je t'aime
adrenaline douce et hormones benites
pensees destructurees a construire demain
la vie est ce melange etonnant qui invite
d'un recoin de la tete a faire lever la main
Et toi tu te ballades et toi tu te promenes
aux plateaux gris en rade aux plaines noires de peine
aux flots ivres de bleu et de vert et d'ailleurs
quelques gouttes unies font ce gout de bonheur
C'est pourquoi il faut rire n'etre jamais surpris
des mouvements profonds composent notre silence
viens dans ma tete viens nos flots se sont compris
viens dans ma tete viens c'est a toi que je pense
accents: le lecteur ajoutera.
SOURIRE INTERIEUR
Il rit a l'interieur de ces choses de la vie
de ces choses ou l'on pleure tellement ca suffit
il regarde incredule les liquides cervicaux
et vit en funambule apaisant ses credo
Pres du nez il respire et le vent le deplace
dans les yeux fatigues il y a un jardin
de vert clair frissonnant poussieres du temps qui passe
comme flocons de neige d'un paradis lointain
c'est tout dans la prunelle que la joie se dessine
le sourire de la belle en reflet se devine
viens dans ma tete viens voir que je pense a toi
c'est la que se decident et la faim et le froid
Pensees de l'interieur a regarder sa vie
le monde immensement dans sa microscopie
les rigueurs du dehors nous semblent ridicules
les travers et les torts la connerie qui pullule
voyage a l'interieur du cerveau en latence
sans alcool et sans drogue la pensee en partance
dans les recoins des os sous les muscles saillants
se continue le flot de l'assaut du vivant
la matiere et l'esprit en si peu de volume
on su faire la nuit mais l'aube aussi quand meme
l'impression de tenir entre marteau enclume
et puis le flot soudain qui fait dire je t'aime
adrenaline douce et hormones benites
pensees destructurees a construire demain
la vie est ce melange etonnant qui invite
d'un recoin de la tete a faire lever la main
Et toi tu te ballades et toi tu te promenes
aux plateaux gris en rade aux plaines noires de peine
aux flots ivres de bleu et de vert et d'ailleurs
quelques gouttes unies font ce gout de bonheur
C'est pourquoi il faut rire n'etre jamais surpris
des mouvements profonds composent notre silence
viens dans ma tete viens nos flots se sont compris
viens dans ma tete viens c'est a toi que je pense
accents: le lecteur ajoutera.
Virevolte
03 September 2005 - 08:18 PM
tire de: Barbarimes et Verlainiennes
VIREVOLTE
"Marienbad" - Barbara
Badinerie de Bach comme musique de fond
petites amours et couples se font et se defont
s'amusent a badiner a flaner c'est gentil
tu viens elle part revient et allez c'est parti.
Arabesque de pensees cotillons dans le parc
la vie laisse l'empreinte ton souvenir le marque
on s'amuse a parler mensonges sans importance
amourettes decues rires de bienseance
Livresques et farandoles ribambelles doucerettes
tu me donnes des jonquilles voila les paquerettes
et puis le soir venu les bougies nous diront
ce qu'il faudra jurer oui mais nous nous tairons
petits coeurs petits mots qui s'ouvrent a la vie
des animaux rieurs mais besoins ou envies
douceurs d'automnes roux ou de printemps de soie
je parle et m'abandonne je joue a toi et moi
clown froisse dans un bois de saules et de cascades
de balades en rosees de soirs en promenades
de sourires diaphanes en contraste splendeur
il y a des sourires bien plus beaux que les fleurs.
accents: le lecteur ajoutera
VIREVOLTE
"Marienbad" - Barbara
Badinerie de Bach comme musique de fond
petites amours et couples se font et se defont
s'amusent a badiner a flaner c'est gentil
tu viens elle part revient et allez c'est parti.
Arabesque de pensees cotillons dans le parc
la vie laisse l'empreinte ton souvenir le marque
on s'amuse a parler mensonges sans importance
amourettes decues rires de bienseance
Livresques et farandoles ribambelles doucerettes
tu me donnes des jonquilles voila les paquerettes
et puis le soir venu les bougies nous diront
ce qu'il faudra jurer oui mais nous nous tairons
petits coeurs petits mots qui s'ouvrent a la vie
des animaux rieurs mais besoins ou envies
douceurs d'automnes roux ou de printemps de soie
je parle et m'abandonne je joue a toi et moi
clown froisse dans un bois de saules et de cascades
de balades en rosees de soirs en promenades
de sourires diaphanes en contraste splendeur
il y a des sourires bien plus beaux que les fleurs.
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