djibevito

Entend-tu cet air magnifique ?
Si lent, à l’air mélancolique ?

Et l’on croirai enterrer l’ère d’une vie,
Par des funérailles, dirigées par la magie.
Ainsi je ris, en parcourant mes entrailles !
Une tenaille, libérant ainsi mon esprit.
C’est alors à toi, Ô oui toi, que je pense…
Alors que je n’existe pas, du moins pour toi.
Tristement, toi aussi tu n’es pas, car la loi,
N’interdit pas, mon vieux cœur de ses carences,
N’interdit pas ma peine de sa rengaine…
Ne comprend pas la douleur d’un cœur qui saigne.

Demeurer courageux, même à moins de deux,
Et paraître heureux, même en ouvrant les yeux…
L’être en haut des cieux appréciera tant ce jeu !
La lettre dans le haut d’un creux, moins douloureux.



Merci de l'attention portée, les critiques et les conseils seraient chaleureusement accueilli par mon souci d'evolution
Amicalement