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[L.A. Lunik]

Avant la nuit

Imagine cet instant
A l’orée de la nuit
Où le soleil couchant
Pas encore endormi
Et la lune nacrée
Sont presque à se toucher.

Les rayons du soleil
Crépuscule en éveil
Effleurent encore la plage
Merveilleux paysage
Où la lune dépose
Juste au pied d’une rose
Sourire dans le cœur
Ses toutes premières lueurs

Une ombre sur le sable
Se dessine, admirable
Telle une œuvre connue
Généreuse et charnue
Immobile et gracieuse
Nue et silencieuse.
Tu voudrais l’approcher
En caresse l’idée
Vois où tu es niché ?
Que d’eau à traverser !

[L.A. Lunik]

Chaude déception que de n'inspirer aucune critique de quelque nature qu'elle soit !

[bohemia]

c'est souvent comme ça, les textes passent vite et difficile de tout commenter

En tout cas, j'aime bien ton texte

Amitiés
Bohémia

[pallio]

me v'là! c super lune r ! chouette quoi!

[L.A. Lunik]

Merci à vous deux, je me sens maintenant moins desoeuvrée !

[irena]

Ton texte est magnifique !!!

Amitiés,

Valérie

[L.A. Lunik]

Merci Valérie ! Je suis heureuse d'apporter un peu du plaisir immense que j'ai lorsque je saisis ma plume !

[Trémaouézan]

Bien agréable à la lecture, si on lit ton poème comme si on employait le langage parlé. Mais si on le lit avec l'intention de lire l'ensemble des syllabes qui comptent dans la métrique des demi-alexandrins, 3 vers n'en sont pas.. et ça perturbe le rythme de la lecture. (Mais c'est surement de ma part le défaut d'être vigilant sur ce point... et notamment sur les "e" qui ne sont pas toujours muets).

Ceci étant, un peu réflexion et tu devrais pouvoir améliorer le tout assez facilement sans changer le sens de ton poème.

Cordialement

Trémaouézan

[L.A. Lunik]

Remarque pertinante ! Il est vrai que je n'ai pas ici pris le temps d'élider...
Je comptais sur vos oreilles averties pour le lire comme je l'interprêtais,
si j'avais dû le soumettre à des professeurs de littérature,
j'aurais sans doute évité de commettre une telle gageure !

C'est promis, je ferai plus attention !