Trois chemins rouges
le sud
est une étoile.

Sud
Started by (cloud), Jun 14 2006 08:25 AM
5 replies to this topic
#1
Posted 14 June 2006 - 08:25 AM
#2
Posted 14 June 2006 - 08:57 AM
Une jolie porte pour l'imaginaire...
#3
Posted 14 June 2006 - 09:05 AM
Oui
#4
Posted 14 June 2006 - 02:04 PM
Ouvrons-la...
#5
Posted 14 June 2006 - 02:13 PM
oui, une porte en bois qui grince et tout...
mais bon, ce petit texte me laisse une impression mitigée. Les chemins rouges, oui. Mais le reste... j'accroche pas. Je préfère quand tu écris plus long... enfin je sais pas.
non, c'est peut-être juste que j'accroche pas avec celui-là. J'aimerai pouvoir t'en dire plus, voisin (he oui, hein) mais je ne sais pas expliquer pourquoi.
Félice.
mais bon, ce petit texte me laisse une impression mitigée. Les chemins rouges, oui. Mais le reste... j'accroche pas. Je préfère quand tu écris plus long... enfin je sais pas.
non, c'est peut-être juste que j'accroche pas avec celui-là. J'aimerai pouvoir t'en dire plus, voisin (he oui, hein) mais je ne sais pas expliquer pourquoi.
Félice.
#6
Posted 14 June 2006 - 04:10 PM
pas grave , voisine!
des fois ca me prend de noter un haïku
un instantané quoi
et je le retouche pas
pour garder l'idée de ce qu'est un haïku.
bon sinon tiens, un vrai, un maître :
Devant l'éclair_
sublime est celui
qui ne saît rien!
Bashô
"selon Bashô, un poème doit révéler - dans le même temps - l'immuable, l'éternité qui nous déborde et le fugitif, l'éphémère qui nous traverse. Le haiku tremble et scintille alors comme un instant-poème, une étincelle jaillie de la confrontation permanente entre le présent et l'éternité, un minuscule aérolithe de modestie à l'échelle du cosmos. Il suspend, comme en se jouant, la raison discursive qui nous tiens lieu de béquille - avec une ambition souveraine : dire la réalité telle qu'elle est, tracer le territoire d'un aiguisement apaisé des formes et des sensation"
(passage de la préface de 'Anthologie du poème court japonais' )
mais en relisant, toute cette explication un peu compliquée me paraît gâcher avec tant de disséction de genre.
jcrois qu'il faut laisser de coté la réflexion et juste ressentir.
et comme tu ne l'as pas 'ressenti'
alors il n'y a rien a expliquer, voisine!
cloud.
des fois ca me prend de noter un haïku
un instantané quoi
et je le retouche pas
pour garder l'idée de ce qu'est un haïku.
bon sinon tiens, un vrai, un maître :
Devant l'éclair_
sublime est celui
qui ne saît rien!
Bashô
"selon Bashô, un poème doit révéler - dans le même temps - l'immuable, l'éternité qui nous déborde et le fugitif, l'éphémère qui nous traverse. Le haiku tremble et scintille alors comme un instant-poème, une étincelle jaillie de la confrontation permanente entre le présent et l'éternité, un minuscule aérolithe de modestie à l'échelle du cosmos. Il suspend, comme en se jouant, la raison discursive qui nous tiens lieu de béquille - avec une ambition souveraine : dire la réalité telle qu'elle est, tracer le territoire d'un aiguisement apaisé des formes et des sensation"
(passage de la préface de 'Anthologie du poème court japonais' )
mais en relisant, toute cette explication un peu compliquée me paraît gâcher avec tant de disséction de genre.
jcrois qu'il faut laisser de coté la réflexion et juste ressentir.
et comme tu ne l'as pas 'ressenti'
alors il n'y a rien a expliquer, voisine!
cloud.
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