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Sur la route émerveillée, sur les sentiers battus de tous nos amours perdus, sur le chemin de graviers qui émet, une longue plainte sous nos pieds, je me branle. Et je m’égare, mes yeux remplis de vide contemplant la splendeur d’un nouveau cul. Le sperme ruisselle sur mon gland rose et le soleil baigne mon visage, caresse ma peau et lui redonne l’éclat effaçant des coups de bites d’une nuit courte et chaude. Mon gland caresse la mer qui, sans retenu, exprime sa jouissance en un son long et mélodieux, jusqu’à s’échouer sur la plage en soupirant du sperme rauque. La brise du large chatouille mes couilles et donne à ma bite un second souffle. Sur le sable brûlant, parsemé de cailloux et de racines, je me branle, descendant douloureusement mon frein pour vous rejoindre et vous dire que je vous aime.
