Son image rembarrerait son dernier soupir
Entre ses froissures, bien vieillarde, ce soir.
Le temps offusquerait sa nonchalance, oisif
D’un somme noir pour fuir le mépris et l’ire
Du vent impertinent qui soufflait sur les rives.
La pluie viderait tristement toutes ses larmes
La nuit, pour éclabousser les éloges du zéphyr
Qui titubait entre ses caresses et ses vacarmes.
Et au vif des douaires, le soleil qui, hardiment
Attendait l’accalmie, rentrerait pour reluire
Et régner avec le jour le pleurant continûment.
L’hiver âpre abandonnerait ses fronces au seuil
Des remontrances quand le vent, sur son empire
Soufflerait fortement pour briser le deuil.
Le temps sourirait sur les lèvres du printemps
Quand le vent récupérerait ses scies et sa lyre
Pour attiédir ses bises infimes d’un doux accent.
Les tendres se chercheraient dans l’apparence
Des jours amoureusement pour les maintenir
Limpides en leurs yeux avec leur quintessence,
Et au seuil de l’été, quand le soleil sur son aloi
Veillerait du matin au soir attrayant, mon désir
Je le dorerai sous ses dores, moi le vent courtois.
moi farid khenat.
erreur ! je n'ai rien avec l'automne, la nuit akli med, slimane yacine, amar et l'oranais.
désolé !
ps: je n'écris pas en dehors de ces pseudos: vent et jongleur, jongleursuite et Ermite sur w.lespoèmes.com
moi farid khenat.
Edited by vent, 08 November 2006 - 07:02 PM.