Et dans l’absurde ? Une porte de sortie ?
Et dans le pathétique ? Une fenêtre tout court…
Dans le grotesque ? Meilleure issue de secours !
Philosophale ? La pierre que l’on oublie.
Ils sont beaux, ils y croient sans doutes
Ils sont cultivés, et très réfléchis
J’ai vu les Maisons Eric Satie
J’ai vu le reflet réaliste, « somme toute » !
Et toujours, j’y reviens, le sel et le sable
Pour nourrir des papillons, du sucre !
Et pour ma bouche, une groseille âcre
Venue du Nord, empaquetée, raisonnable.
Au Milieu, il y a La Ville, vilaine
Je n’irai plus, promis, à l’aventure
Observer de loin les sculptures
Je garde pour moi l’Ille et Vilaine
Un port, des anglais, et de l’iode
A l’Ouest, à mille lieux d’une frontière
Il ne reste que, pour dire stop, la mer !
Allez, embarquons sur ma petite pagode….
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Honfleur
13 December 2006 - 12:57 PM
Clos
13 December 2006 - 12:41 PM
Des illusions portées aux nues, sur l’autel
Désillusions des âmes nues, du corps malin
Assis sur une pierre plate au fond du jardin
Pensif ? Contemplatif ? Juste bio-artificiel !
Des parfums de l’enfance, âpres, déglutition…
Du bois, je bois, et je ferme les écoutilles
Du vin pour la tête, pas pour les papilles
De l’amour pour plus tard, pour l’absolution
Et quand la caravane passe, encore, je bois
Accords, passé trop présent c’est une habitude
Et la Nature évangélique devient lassitude
Qui croit réinventer son chemin, sa voie ?
Désillusions des âmes nues, du corps malin
Assis sur une pierre plate au fond du jardin
Pensif ? Contemplatif ? Juste bio-artificiel !
Des parfums de l’enfance, âpres, déglutition…
Du bois, je bois, et je ferme les écoutilles
Du vin pour la tête, pas pour les papilles
De l’amour pour plus tard, pour l’absolution
Et quand la caravane passe, encore, je bois
Accords, passé trop présent c’est une habitude
Et la Nature évangélique devient lassitude
Qui croit réinventer son chemin, sa voie ?
Une Mouche Et Une Flûte
12 December 2006 - 10:46 AM
Des rictus, ivoireries pour voyageurs en godasses
Le plomb tombe et rôtit les bousingots dans ce décor
Démarche urbaine, et le macadam vire à la mélasse
La flûte a déchanté, mais joue pour la danse des corps
Première classe sur les conteneurs la mouche agonise
Dans la cale, la houle traverse la flûte de frissons
Un voyage bien long pour la princesse et les Marquises
Aléatoires, mais peu importe la destination !
C’est sur l’horizon que tout se décide
Entre bleu et bleu un filet d’acide
Et je laisse aux songeurs les Hespérides.
Le plomb tombe et rôtit les bousingots dans ce décor
Démarche urbaine, et le macadam vire à la mélasse
La flûte a déchanté, mais joue pour la danse des corps
Première classe sur les conteneurs la mouche agonise
Dans la cale, la houle traverse la flûte de frissons
Un voyage bien long pour la princesse et les Marquises
Aléatoires, mais peu importe la destination !
C’est sur l’horizon que tout se décide
Entre bleu et bleu un filet d’acide
Et je laisse aux songeurs les Hespérides.
J'attends La Critique
12 December 2006 - 10:03 AM
Sur le côté droit de la route,
Des pigeons voyageurs attendent le car.
Ils roucoulent en fanfare
Tandis que le chauffeur les écoute.
Et les jeunes loups divaguent à bâbord,
Les randonneurs se sont envolés
Sans au revoir, sans coups d’œil jetés,
Les emplumés n’ont jamais de remords.
Qui voudrait d’une meute sans zèle ?
Qui voudrait d’une équation pédestre ?
Décolérez, mammifères terrestres…
Mais où se procurer de bonnes ailes ?
Des pigeons voyageurs attendent le car.
Ils roucoulent en fanfare
Tandis que le chauffeur les écoute.
Et les jeunes loups divaguent à bâbord,
Les randonneurs se sont envolés
Sans au revoir, sans coups d’œil jetés,
Les emplumés n’ont jamais de remords.
Qui voudrait d’une meute sans zèle ?
Qui voudrait d’une équation pédestre ?
Décolérez, mammifères terrestres…
Mais où se procurer de bonnes ailes ?
J'debarque
11 December 2006 - 04:01 PM
Sur le bord du lit, ta main comme sémaphore
Me montre le nord, me guide aux bouches
Mais c’est le Sud qui m’effarouche
Je te murmure : « Serre-moi fort »
Le monstre à deux têtes gît
Cheveux bruns, cheveux blonds
Deux oreillers pour un seul front
Pas de problèmes, j’ai de l appétit.
Toujours le même thème, tandem…
La même référence, toujours
Pour donner le goût du jour
Mon imagination reste blême.
Je m’en remets à vous, mes muses
Pour remplir mon verre à ras bord
Pour réveiller la pensée du mort
Pour sur, tout ça m’amuse.
Me montre le nord, me guide aux bouches
Mais c’est le Sud qui m’effarouche
Je te murmure : « Serre-moi fort »
Le monstre à deux têtes gît
Cheveux bruns, cheveux blonds
Deux oreillers pour un seul front
Pas de problèmes, j’ai de l appétit.
Toujours le même thème, tandem…
La même référence, toujours
Pour donner le goût du jour
Mon imagination reste blême.
Je m’en remets à vous, mes muses
Pour remplir mon verre à ras bord
Pour réveiller la pensée du mort
Pour sur, tout ça m’amuse.
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