Chère âme, Muse, me voilà tout à toi sagesse; mon coeur mourant;
Si tu as un cœur généreux et sincère, plus vaste que ma Douleur,
Chère âme, fait de moi mon amie: si tu le veux bien Cybèle: maintenant,
Une lumière adorée cordiale, aimée de l'Éternité; rêvant l'Aube sans frayeur.
Chère âme de la maternité, serre moi fort que je m'oublie: tend moi la main;
Ton regard brûlant de tendresse, ta voix enflamme de sa douceur mes peurs,
Chère âme, vient, je t'appelle; réchauffe moi, viens me bercer d'un câlin
Enlace moi en ton sein cosmique; mer souveraine, ma nécessaire sœur.
Chère âme, si je cille encore: Aurore tes écailles mordorées réveillant le parfum;
Sa chair est damnée de baisers dévorés, et je suis l'enfant des Chimères;
Chère âme, passiflore, en moi son rayon vague, moire, enfin, s'éteint;
Âme au sommeille des rêves: voit, comme elle dore, heureuse et si légère.
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- Poésie - Archives de Toute La Poésie - 2005 - 2006
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Chère âme
05 October 2006 - 08:46 AM
Marionnettes
02 September 2006 - 02:20 PM
Ici
c'est une jungle sauvage de marionnettes desarticulées, qui "s'enculent"
c'est une jungle sauvage de marionnettes desarticulées, qui "s'enculent"
La Vierge Marie
26 August 2006 - 07:39 PM
Que les fins de journées d'automne sont chiantes! Ah! insignifiante comme cette douleur! car il est de certaines tentations malicieuses dont le sage sophiste n'exclut pas la jouissance; et il n'est pas de sexe plus orgasmique que celle de l'Infini!
Grand vertige que celui de se faire foutre dans ses seins, et dans le trou du Père et de la Mère! Béatitude, suplice, incomparable chasteté de la vierge! une petite lèvre frissonnante à l'horizon, et qui par sa sensualité et son innacessibilité limite ma risible existence, mélodie concubine de ta bouche, toutes ces choses seignent par moi, ou je les cruxifie en elles (car dans la connerie de l'egocentrisme, le moi se perd vite!); elles me singe, que dis-je, chanson d'inceste, cacophoniquement et nudistement, sans habits, sans culotte, avec séductions.
Toutefois, ces désirs, qu'ils acouchent de moi ou violent des femmes, deviennent bientôt trop intenses. L'énergie dans la transe crée un malaise et une monté nirvanesque. Mes nerfs si tendus me donnent, et poilus, des vibrations criardes et sataniques.
Et maintenant la profondeur de sa chatte me consterne; sa limpidité m'exite. Le charme de la mère, l'attrayant spectacle, m'embrase... Ah! faut-il éternellement jouir, ou désirer éternellement le beau? Mère Nature, enchanteresse si délicieuse, muse toujours soumise, caresse-moi! Tirgresse vante mes désirs et mon orgueil! L'étude du sein est un orgasme où l'artiste crie de bonheur sans dêtre déçu.
Grand vertige que celui de se faire foutre dans ses seins, et dans le trou du Père et de la Mère! Béatitude, suplice, incomparable chasteté de la vierge! une petite lèvre frissonnante à l'horizon, et qui par sa sensualité et son innacessibilité limite ma risible existence, mélodie concubine de ta bouche, toutes ces choses seignent par moi, ou je les cruxifie en elles (car dans la connerie de l'egocentrisme, le moi se perd vite!); elles me singe, que dis-je, chanson d'inceste, cacophoniquement et nudistement, sans habits, sans culotte, avec séductions.
Toutefois, ces désirs, qu'ils acouchent de moi ou violent des femmes, deviennent bientôt trop intenses. L'énergie dans la transe crée un malaise et une monté nirvanesque. Mes nerfs si tendus me donnent, et poilus, des vibrations criardes et sataniques.
Et maintenant la profondeur de sa chatte me consterne; sa limpidité m'exite. Le charme de la mère, l'attrayant spectacle, m'embrase... Ah! faut-il éternellement jouir, ou désirer éternellement le beau? Mère Nature, enchanteresse si délicieuse, muse toujours soumise, caresse-moi! Tirgresse vante mes désirs et mon orgueil! L'étude du sein est un orgasme où l'artiste crie de bonheur sans dêtre déçu.
La Vache
26 August 2006 - 04:47 PM
Le champs mouvant autour de moi beuglait
Vaste, obèse, en grand cerceuil, douleur moqueuse
Une vache passa, d'une patte voleuse
Machant, balançant le festin et le bourlet;
Horrible et folle, avec sa jambe de tortue.
Moi, je me goinffrais, crispé comme un adolescent,
Dans son œil, ciel en pétard où gerbe l'ouragan,
L'absurdité qui fascine et le plaisir qui sue.
Un pet... puis la nuit! - Fugitive mocheté
Dont le regard m'a fait soudainement disparaitre,
Ne te verrai-je plus que dans la morbidité?
Ici, si près d'ici! trop pres! jamais peut-être!
Car je devine où tu rumines, je sais où je vais,
O toi que j'eusse haïe, ô toi qui le rêvait!
j'aime bien rire de certains poete, même si je les adore comme vous, il n'empeche que ça me marrer, de pas trop se prendre au serieux, et de savoir rire de la vie!
Le reste je m'en fou!
Vaste, obèse, en grand cerceuil, douleur moqueuse
Une vache passa, d'une patte voleuse
Machant, balançant le festin et le bourlet;
Horrible et folle, avec sa jambe de tortue.
Moi, je me goinffrais, crispé comme un adolescent,
Dans son œil, ciel en pétard où gerbe l'ouragan,
L'absurdité qui fascine et le plaisir qui sue.
Un pet... puis la nuit! - Fugitive mocheté
Dont le regard m'a fait soudainement disparaitre,
Ne te verrai-je plus que dans la morbidité?
Ici, si près d'ici! trop pres! jamais peut-être!
Car je devine où tu rumines, je sais où je vais,
O toi que j'eusse haïe, ô toi qui le rêvait!
j'aime bien rire de certains poete, même si je les adore comme vous, il n'empeche que ça me marrer, de pas trop se prendre au serieux, et de savoir rire de la vie!
Le reste je m'en fou!
Désert
26 August 2006 - 06:01 AM
Désert
Désert, tout agonise sans un bruit sous les branches décharnées
La peau est craquelée, et de ce soleil noir que de poèmes fannés
Rien n'apparaît ici, aucun Oasis lyrique pour étancher ma flamme
Puis, dans cette étourdissement, le mirage bizarre d'une femme
Le temps
Est ce toi mon amie ? vraiment? ton corps ressemble à un arbre écorché !
Tes yeux ne me regardent même pas, étouffés par des paupières ridées !
Tes cheveux en épouvantaille, ternes, tu ressembles à un chat sauvage !
Tu portes à tes lèvres une rose mourante, Oh, c'est la Rose de l'âge !
Possession
Mais qu'ais je fait de toi, fleur de cristal, tu étais la Psyché de l'Amour !
Tu t'es transformée en un puit martyrisé, crevant d'angoisse et d'horreure !
Si tu pouvais te souvenir de la source, mais ta mémoire flanche de douleur
Mon coeur, mon âme, tout t'aveugle, tu n'en vois même plus les contours..
Dieu
Tu as vue comme cette vague est lumineuse, les voiles vibres et résonnent !
Dans le ciel des pluies séchèes, tombent, crépitantes et nous enflamme ,
Dans l'absurde et le rationel, nous sommes des étoiles, poussières d'âmes,
Filantes, et explosants dans l'embrasement des feux célèstes synchronent.
Ame souvient toi tu es immortelle!
Âme, tu ascensionnes vers un jardin d'eden, aux romances voluptueuses !
Chair tu descends dans des abîmes inconnues, ou personne ne s'aime !
Mais éternelles, nous laissons nos carcasses, nos egos, ces blasphèmes,
Et nous montons les marches sacrées de Dieu, de nos déstinnées amoureuses.
Désert, tout agonise sans un bruit sous les branches décharnées
La peau est craquelée, et de ce soleil noir que de poèmes fannés
Rien n'apparaît ici, aucun Oasis lyrique pour étancher ma flamme
Puis, dans cette étourdissement, le mirage bizarre d'une femme
Le temps
Est ce toi mon amie ? vraiment? ton corps ressemble à un arbre écorché !
Tes yeux ne me regardent même pas, étouffés par des paupières ridées !
Tes cheveux en épouvantaille, ternes, tu ressembles à un chat sauvage !
Tu portes à tes lèvres une rose mourante, Oh, c'est la Rose de l'âge !
Possession
Mais qu'ais je fait de toi, fleur de cristal, tu étais la Psyché de l'Amour !
Tu t'es transformée en un puit martyrisé, crevant d'angoisse et d'horreure !
Si tu pouvais te souvenir de la source, mais ta mémoire flanche de douleur
Mon coeur, mon âme, tout t'aveugle, tu n'en vois même plus les contours..
Dieu
Tu as vue comme cette vague est lumineuse, les voiles vibres et résonnent !
Dans le ciel des pluies séchèes, tombent, crépitantes et nous enflamme ,
Dans l'absurde et le rationel, nous sommes des étoiles, poussières d'âmes,
Filantes, et explosants dans l'embrasement des feux célèstes synchronent.
Ame souvient toi tu es immortelle!
Âme, tu ascensionnes vers un jardin d'eden, aux romances voluptueuses !
Chair tu descends dans des abîmes inconnues, ou personne ne s'aime !
Mais éternelles, nous laissons nos carcasses, nos egos, ces blasphèmes,
Et nous montons les marches sacrées de Dieu, de nos déstinnées amoureuses.
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