On dit que la nuit grise les cha-
mans que croiser la route d’un cha-
noine porte ouverte à la luxure
que le chat rit pourvu que varie
le menu de poubelle et que cha-
cun pour son home On vit dans un drôle
de hip-hop « help !» – pas hourra – où rap-
tor éructe et décape au car-choc
le corps de grande Terre malade
(Chère felice, heureux de vous voir par ici (où je ne viens que pour vous lire) vos essais de sonnets m'amusent, j'en écrivais il fut un temps... je vous bise)
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Divertissement Felici...ien
11 December 2006 - 03:32 PM
Inattention... Sélective
25 September 2006 - 10:11 PM
À ce qui passe ( tout ce qui passe) je n'accorde qu'un instant
d'inattention.
Je cherche en moi le mont d’où essaime l’amour
et contre un vent de sable au cœur d’un champ dunal
je lutte
d'inattention.
Je cherche en moi le mont d’où essaime l’amour
et contre un vent de sable au cœur d’un champ dunal
je lutte
Après La F..
21 August 2006 - 10:10 PM
La mer remontée
je marcherai
( ivre en ce havre asséché)
Au chant de l’enclume
se mêleront
des mélopées marmoréennes
(supposons des ruines symphoniques)
Je ferai mon tour de ronde
à la lueur d’une araignée
et de sa toile éteinte
Sentinelle apatride
je marcherai
( ivre en ce havre asséché)
Au chant de l’enclume
se mêleront
des mélopées marmoréennes
(supposons des ruines symphoniques)
Je ferai mon tour de ronde
à la lueur d’une araignée
et de sa toile éteinte
Sentinelle apatride
Pour Callinira
01 June 2006 - 01:09 PM
Poème supprimé pour cause de désaffection ou de vaniteuse ingratitude calliniresque
Jean-François AGOSTINI : « Presqu'il »
Lors d'une récente soirée poétique je me suis permis de lire quelques de vos sonnets, en vous citant, le thème de la soirée était erostisme et littérature.
Je m'incline respectueusement, chère amie poète et vous baise la main du coeur.
Jean-François AGOSTINI : « Presqu'il »
Lors d'une récente soirée poétique je me suis permis de lire quelques de vos sonnets, en vous citant, le thème de la soirée était erostisme et littérature.
Je m'incline respectueusement, chère amie poète et vous baise la main du coeur.
Pour Hauteur
01 June 2006 - 01:00 PM
Elle m'a pris dans ses yeux…
Elle songeait allongée près d'une natte bleue.
La mer se confondait avec ses verts de rêve.
Immobile étincelle,
Deux fragments de comète plantés sur une parcelle,
Une parcelle de sable recherchant une étoile
Dans une infinité de poussières endormies.
Et puis elle s'est levée, ses longs cheveux bouclés
Dessinant sur son corps un voyage immédiat
Vers un pays marin désertique et sans fin.
Le pays où les ronds se mélangent dans l'eau,
Le pays des couleurs juste avant l'arc en ciel,
Le pays des oublis où naissent les pastels.
Le pays des matins, dans ses cheveux lointains.
Elle a jeté ses yeux sur la plage éblouie,
Sur les lys érigés vers un soleil pâli,
Sur les genévriers et les pins-parapluies.
Il n'y avait plus qu'elle sur la plage envahie
Par mes pensées collées à son demain, déjà…
Elle a senti le Temps, elle s'est tournée vers lui.
Elle m'a pris dans ses yeux,
Je n'en suis plus sorti.
Elle songeait allongée près d'une natte bleue.
La mer se confondait avec ses verts de rêve.
Immobile étincelle,
Deux fragments de comète plantés sur une parcelle,
Une parcelle de sable recherchant une étoile
Dans une infinité de poussières endormies.
Et puis elle s'est levée, ses longs cheveux bouclés
Dessinant sur son corps un voyage immédiat
Vers un pays marin désertique et sans fin.
Le pays où les ronds se mélangent dans l'eau,
Le pays des couleurs juste avant l'arc en ciel,
Le pays des oublis où naissent les pastels.
Le pays des matins, dans ses cheveux lointains.
Elle a jeté ses yeux sur la plage éblouie,
Sur les lys érigés vers un soleil pâli,
Sur les genévriers et les pins-parapluies.
Il n'y avait plus qu'elle sur la plage envahie
Par mes pensées collées à son demain, déjà…
Elle a senti le Temps, elle s'est tournée vers lui.
Elle m'a pris dans ses yeux,
Je n'en suis plus sorti.
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