Oh! Jardinier, ne le laisse pas seul.
Mon cœur a besoin du soin
De tes mains douces et habiles.
Dans l’abri de tes paupières
Il se chauffe, il se nourrit, il fleurit.
Sans la lumière de tes regards,
Il n’existera plus, il va à périr.
De ton sourire, son parfum il ramasse.
De tes gestes et tes mots, il s’enivre.
Arrosé par la pluie de ta joie,
Seulement pour toi, il s’épanouit.
Quand tu sors de ce jardin,
Mon cœur deviendra un orphelin,
Pensant à son jardinier absent,
Il pleurera, Il va s’évanouir.
Oh! Jardinier, ne le laisse pas seul.
Mon cœur a besoin du soin
De tes mains douces et habiles.
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Lamentation D’une Fleur
30 April 2006 - 04:16 PM
Une Fille Sans Abri.
30 April 2006 - 07:52 AM
Sur un trottoir, j'épie
avec un petit chien une belle fille
Elle joue ; Elle rit.
La belle fille sans abri.
Elle ne sait rien de la vie.
La soif, la faim, le froid et la chaleur,
Elle sent et elle sait bien leur valeur.
Mais elle joue ; elle rit.
La belle fille sans abri.
Elle sait assez de la vie.
Les saisons changeront ;
Le temps coulera.
La belle fille deviendra une femme.
Luttant contre les ennemis de l’enfance
:La soif, la faim, le froid et la chaleur,
Elle pourrait goûter chaque saveur du malheur.
Jouerait-elle ?
Rirait-elle ?
Elle qui saurait trop de la vie mortelle ?
La joie que l’enfance apporte
le temps emporte quand il sort.
Le temps, qui n’a aucun abri,
qui ne sait pas de l’amour,
de la tristesse, de la tendresse,
de plaisirs de l’enfance,
de l’importance de la chance,
coule et court ; fait son tour.
Il ne joue jamais.
Il ne rit jamais.
Pour une fille et son chien, il ne s’arrête jamais.
Le dieu, lui aussi, est indifférent.
Entourée par les gens dévoués,
Il fête son pouvoir et son existence.
Ses oreilles, qui sont plein de louange,
n’écoutent pas aux plaintes et aux cries de besoin.
Le dieu, qui n’a aucun abri,
qui ne sait pas de l’amour,
de la tristesse, de la tendresse,
de plaisirs de l’enfance,
et de l’importance de la chance,
ne voit rien ; n’entend rien.
Il ne pense jamais de la fille et son chien.
avec un petit chien une belle fille
Elle joue ; Elle rit.
La belle fille sans abri.
Elle ne sait rien de la vie.
La soif, la faim, le froid et la chaleur,
Elle sent et elle sait bien leur valeur.
Mais elle joue ; elle rit.
La belle fille sans abri.
Elle sait assez de la vie.
Les saisons changeront ;
Le temps coulera.
La belle fille deviendra une femme.
Luttant contre les ennemis de l’enfance
:La soif, la faim, le froid et la chaleur,
Elle pourrait goûter chaque saveur du malheur.
Jouerait-elle ?
Rirait-elle ?
Elle qui saurait trop de la vie mortelle ?
La joie que l’enfance apporte
le temps emporte quand il sort.
Le temps, qui n’a aucun abri,
qui ne sait pas de l’amour,
de la tristesse, de la tendresse,
de plaisirs de l’enfance,
de l’importance de la chance,
coule et court ; fait son tour.
Il ne joue jamais.
Il ne rit jamais.
Pour une fille et son chien, il ne s’arrête jamais.
Le dieu, lui aussi, est indifférent.
Entourée par les gens dévoués,
Il fête son pouvoir et son existence.
Ses oreilles, qui sont plein de louange,
n’écoutent pas aux plaintes et aux cries de besoin.
Le dieu, qui n’a aucun abri,
qui ne sait pas de l’amour,
de la tristesse, de la tendresse,
de plaisirs de l’enfance,
et de l’importance de la chance,
ne voit rien ; n’entend rien.
Il ne pense jamais de la fille et son chien.
La Forêt
30 April 2006 - 07:49 AM
Ici, les rayons du soleil ne touchent pas la terre.
Le vent perd sa voie souvent dans le vert.
Les petits ruisseaux coulent autour des chênes,
en murmurant doucement des chansons anciennes.
Les sentiers entrelacés, les fleurs qui cascadent,
et les oiseaux jolis qui chantent l’aubade
accueillent des passants avec de la chaleur
à leur monde plein de joie et de couleur.
Ces arbres vieux de chaque côté des passages,
et ces rochers stoïques avec leurs regards sages
appellent en promettant de révéler le mystère
que la nature cache dans son cœur austère.
Chaque reflet de la lumière brillante,
Chaque vaguelette qui danse dans l’eau éclatante,
Chaque coin et chaque tournant de la forêt
partagent avec nous leur ardeur et leur gaieté.
Le vent perd sa voie souvent dans le vert.
Les petits ruisseaux coulent autour des chênes,
en murmurant doucement des chansons anciennes.
Les sentiers entrelacés, les fleurs qui cascadent,
et les oiseaux jolis qui chantent l’aubade
accueillent des passants avec de la chaleur
à leur monde plein de joie et de couleur.
Ces arbres vieux de chaque côté des passages,
et ces rochers stoïques avec leurs regards sages
appellent en promettant de révéler le mystère
que la nature cache dans son cœur austère.
Chaque reflet de la lumière brillante,
Chaque vaguelette qui danse dans l’eau éclatante,
Chaque coin et chaque tournant de la forêt
partagent avec nous leur ardeur et leur gaieté.
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