Elysa,
Laissons aller nos rêves portés pour les mots de nos poèmes….
Artemisa,
Comme je te comprends, allongé sur l’herbe l’âme dans les étoiles, je rêve souvent pour échapper aux tranchants du diamant de l’absolu. Oui je rêve souvent dans mon ciel de Provence, chargé d’absolu douceurs….
Merci de votre passage dans mes étoiles
Amicalement,
Bernard
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In Topic: Rêves Dans Les étoiles
26 September 2006 - 04:35 PM
In Topic: :mellow:
15 September 2006 - 09:55 AM
Citation (Pritos @ Sep 9 2006, 05:33 AM) <{POST_SNAPBACK}>
Magnifique.
Manon,
Une magnifique prière adressée à ces êtres si chairs, qui maintenant demeurent en nous dans ce flaçon aux senteurs d'absence, parce qu'un jour nous les avons fait rentrer dans notre coeur pour avoir quelqu'un de plus à ne pas perdre.
Amicalement,
Bernard
In Topic: Rêves Dans Les étoiles
13 September 2006 - 03:57 PM
wldp
Il peut se vivre seulement en rêves…
Amicalement
Bernard
Il peut se vivre seulement en rêves…
Amicalement
Bernard
In Topic: Dans le vol des Goélands
29 September 2005 - 11:27 AM
Je sais de clairs instants
De pure certitude
Féconde solitude
Du vol des Goélands
Toujours seuls face aux vents
Seuls, entre mer et terre
Là haut, à la lisière
Du champ des cerfs-volants
Au fil encor unis
Oh ! oui, telle est mon âme
Singulière oriflamme
Et mon corps racorni
La vie, nous ne saurons
Jamais, Dieu m’a laissée,
Pour une autre odyssée
Me voilà vagabond
Par une nuit de mai
D’âme et chair déchirées
Comme étoiles aspirées
Dans ce Ciel, je renais
Il appartient à ceux
Qui ont dans leurs oreilles
Cette voix sans pareille
Leur mort ; « je ne te veux »
Aujourd’hui, je vais seul,
La voix de mon amie
Des ondes s’est tarie,
Celée dans son linceul
Elle m’a quitté séant
Pour me délivrer d’elle,
Sans son vol d’hirondelle
C’est enfin le printemps
Il fallait bien qu’un jour
L’inutile présence
Sur nos lèvres l’absence
De mots soit pour toujours
Pour aller tout en haut
Sa force, ell’m’a donnée,
Sa vie en fleur fanée
M’est un bien lourd fardeau
Incapable je suis
Navré et bien trop triste
De ne pouvoir altruiste
Enluminer ses nuits
Oui, aujourd’hui je sais,
Je suis et me sens libre
Et rien pour m’interdire
Les chemins où je vais
Je peux apercevoir
Ma vie enfin sans ombre
Sevrée de toute encombre
Et la paix pour espoir
Et mes vies …
Là, sur ce palimpseste
Au relent bien funeste
Je les écris …
De pure certitude
Féconde solitude
Du vol des Goélands
Toujours seuls face aux vents
Seuls, entre mer et terre
Là haut, à la lisière
Du champ des cerfs-volants
Au fil encor unis
Oh ! oui, telle est mon âme
Singulière oriflamme
Et mon corps racorni
La vie, nous ne saurons
Jamais, Dieu m’a laissée,
Pour une autre odyssée
Me voilà vagabond
Par une nuit de mai
D’âme et chair déchirées
Comme étoiles aspirées
Dans ce Ciel, je renais
Il appartient à ceux
Qui ont dans leurs oreilles
Cette voix sans pareille
Leur mort ; « je ne te veux »
Aujourd’hui, je vais seul,
La voix de mon amie
Des ondes s’est tarie,
Celée dans son linceul
Elle m’a quitté séant
Pour me délivrer d’elle,
Sans son vol d’hirondelle
C’est enfin le printemps
Il fallait bien qu’un jour
L’inutile présence
Sur nos lèvres l’absence
De mots soit pour toujours
Pour aller tout en haut
Sa force, ell’m’a donnée,
Sa vie en fleur fanée
M’est un bien lourd fardeau
Incapable je suis
Navré et bien trop triste
De ne pouvoir altruiste
Enluminer ses nuits
Oui, aujourd’hui je sais,
Je suis et me sens libre
Et rien pour m’interdire
Les chemins où je vais
Je peux apercevoir
Ma vie enfin sans ombre
Sevrée de toute encombre
Et la paix pour espoir
Et mes vies …
Là, sur ce palimpseste
Au relent bien funeste
Je les écris …
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