On écrit
On rit
No angoisse
Pas rimer, petit blanc
Mais l’on è….
Et quoi t’est ce que du « c » ?
C’est un mister « No »
Une phrase à saison
Mars sur terre
La 4 ième dimension
Et quand j’y pense, j’y penche
Qui se déhanche ?
La tante à Louise
Ou le thonthon à Léon ?
Ainsi va la pluie
Et la prétention
In inhalation
Le verbe est adverbe sur le temps
A bien temporiser vos élucubrations
Vous Gionifère l’ennui
C’est dans un roi sans divertissement
Que je neige sur le sang
Alors,
Etre ou ne pas être poète
un détail
Une nuée sur l’odeur forte
Un roucoulement qui ment
Pouët
- Poésie - Archives de Toute La Poésie - 2005 - 2006
- → Viewing Profile: Topics: arpage
Community Stats
- Group TLPsien
- Active Posts 146
- Profile Views 7,228
- Member Title .............................
- Age Age Unknown
- Birthday Birthday Unknown
-
Gender
Not Telling
0
Neutral
User Tools
Topics I've Started
Pouêt
14 January 2006 - 10:40 PM
Hue dia!
08 January 2006 - 08:36 PM
De la conscience û
Du non féminin
Git
L’ X Y
Et double you
Du monde
C’est une tulipe
Ecartelée
Un rouge
Philistin
Peut-être
Un sillon au grain
Comme la bouteille de la Marne
Ou
Ai-je oublié
Le placarde de l’enfance
Le sel marin
L’iode divin
? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ?
Avais-je un nom,
Déjà ?
Qu’en ai-je fait !
Une absence
Chinois rouge
L ‘hiver sonne
Et l’aube descend
On habille la faux
Pour défouler le défaut
Aucun poisson rouge
Par devant
Juste un jasmin
De l’enculine vie
C ‘est beau la certitude
Mais le nœud papillon
Aime l’épée du dernier à…
Et dans mon salon
Les momies de ma vie
Nous regardent !
Amen.
Du non féminin
Git
L’ X Y
Et double you
Du monde
C’est une tulipe
Ecartelée
Un rouge
Philistin
Peut-être
Un sillon au grain
Comme la bouteille de la Marne
Ou
Ai-je oublié
Le placarde de l’enfance
Le sel marin
L’iode divin
? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ?
Avais-je un nom,
Déjà ?
Qu’en ai-je fait !
Une absence
Chinois rouge
L ‘hiver sonne
Et l’aube descend
On habille la faux
Pour défouler le défaut
Aucun poisson rouge
Par devant
Juste un jasmin
De l’enculine vie
C ‘est beau la certitude
Mais le nœud papillon
Aime l’épée du dernier à…
Et dans mon salon
Les momies de ma vie
Nous regardent !
Amen.
Peindre et étreindre
30 December 2005 - 02:13 PM
Un être s’éteint
Et le vieux sage s’affranchit
Sur le blanc de l’homme noir
Les rides coulent comme des rivières
Et dans le puit des pistaches
Il y a cette voix
Qui s’offre
Honorable
Etable
Dans le foin, le point
« illé, illé, bons gens »
mais
L’érable souffre
Et
C’est comme, impossible
La confusion du temps saigne
Les aigles sont en berne
Un albatros se tait !
S’est-il tu ?
Et l’hisotoire reprend sa route
Sur la déplume
Qui git
Ici
Au fond de l’orée du monde.
« N’ai-je donc vécu
Que pour cette infamie ? »
Le lustre hésite
Et se tait.
Le couloir est noir.
Après, le froid
Comme une pieuvre céleste………………………………………………………………………………….
Reste la levure
On appelle ça aussi- peinture
Et le vieux sage s’affranchit
Sur le blanc de l’homme noir
Les rides coulent comme des rivières
Et dans le puit des pistaches
Il y a cette voix
Qui s’offre
Honorable
Etable
Dans le foin, le point
« illé, illé, bons gens »
mais
L’érable souffre
Et
C’est comme, impossible
La confusion du temps saigne
Les aigles sont en berne
Un albatros se tait !
S’est-il tu ?
Et l’hisotoire reprend sa route
Sur la déplume
Qui git
Ici
Au fond de l’orée du monde.
« N’ai-je donc vécu
Que pour cette infamie ? »
Le lustre hésite
Et se tait.
Le couloir est noir.
Après, le froid
Comme une pieuvre céleste………………………………………………………………………………….
Reste la levure
On appelle ça aussi- peinture
Peindre et étreindre
30 December 2005 - 02:08 PM
Un être s’éteint
Et le vieux sage s’affranchit
Sur le blanc de l’homme noir
Les rides coulent comme des rivières
Et dans le puit des pistaches
Il y a cette voix
Qui s’offre
Honorable
Etable
Dans le foin, le point
« illé, illé, bons gens »
mais
L’érable souffre
Et
C’est comme, impossible
La confusion du temps saigne
Les aigles sont en berne
Un albatros se tait !
S’est-il tu ?
Et l’hisotoire reprend sa route
Sur la déplume
Qui git
Ici
Au fond de l’orée du monde.
« N’ai-je donc vécu
Que pour cette infamie ? »
Le lustre hésite
Et se tait.
Le couloir est noir.
Après, le froid
Comme une pieuvre céleste………………………………………………………………………………….
Reste la levure
On appelle ça aussi- peinture
Et le vieux sage s’affranchit
Sur le blanc de l’homme noir
Les rides coulent comme des rivières
Et dans le puit des pistaches
Il y a cette voix
Qui s’offre
Honorable
Etable
Dans le foin, le point
« illé, illé, bons gens »
mais
L’érable souffre
Et
C’est comme, impossible
La confusion du temps saigne
Les aigles sont en berne
Un albatros se tait !
S’est-il tu ?
Et l’hisotoire reprend sa route
Sur la déplume
Qui git
Ici
Au fond de l’orée du monde.
« N’ai-je donc vécu
Que pour cette infamie ? »
Le lustre hésite
Et se tait.
Le couloir est noir.
Après, le froid
Comme une pieuvre céleste………………………………………………………………………………….
Reste la levure
On appelle ça aussi- peinture
Jour numéro 7
29 December 2005 - 02:22 PM
Mourir
Est un rire mou
Et l'amant du septième jour
Est un rire mou
Et l'amant du septième jour
- Poésie - Archives de Toute La Poésie - 2005 - 2006
- → Viewing Profile: Topics: arpage
- Privacy Policy
- Poésie française ·