Sur les rides de mon visage dorment tes mémoires
Et de l’éclat de mes cheveux jaillit mes espoirs
Tes sourires angéliques emprisonnent mes fureurs
Et ta voix de ténor berce mes profondeurs
Ô sulfureuse reine, mon cœur captif de ta lumière
Ne cesse de t’aimer cherchant ta prière.
Sur les rives de ta vie agglutinent mes tristesses
Et de la clarté de ta peau émanent mes tendresses
Mes pleurs enfantins ornent ta clairvoyance
Et mon chant obscur perturbe ton apparence
Accepte de moi beauté, cette pauvre préface
Signe de ma fidélité à ton charme vivace.
- Poésie - Archives de Toute La Poésie - 2005 - 2006
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Prélude
04 April 2006 - 10:51 PM
Pour que tu restes (prière)
10 September 2005 - 04:31 PM
Ma douleur est grande est je vais périr
La plaie est profonde, je ne veux pas guérir
Laisse moi le temps j’ai tout à t’offrir
Prends ma main et emmène moi sous tes embrages
Fais moi voir que la vie n’est qu’un mirage
Donne moi la foi et arme moi de courage
Pour découvrir tes trésors et chercher tes secrets
Dans le murmures des rivières et les fleurs des près
Dans mes relations intimes et les liens sacrés
Bénie moi en m’offrant ta grâce et ta bonté
Montre moi le chemin dans ta trace et ta loyauté
Pour qu’un jour je puisse voir ta face et ta beauté
La plaie est profonde, je ne veux pas guérir
Laisse moi le temps j’ai tout à t’offrir
Prends ma main et emmène moi sous tes embrages
Fais moi voir que la vie n’est qu’un mirage
Donne moi la foi et arme moi de courage
Pour découvrir tes trésors et chercher tes secrets
Dans le murmures des rivières et les fleurs des près
Dans mes relations intimes et les liens sacrés
Bénie moi en m’offrant ta grâce et ta bonté
Montre moi le chemin dans ta trace et ta loyauté
Pour qu’un jour je puisse voir ta face et ta beauté
Fille de Niels Bohr
05 September 2005 - 07:16 PM
Théorie quantique, jolie petite fille, cantique qui tu es?
Je n'ai rien compris dans ta nature et pourtant tu me plais
Tes attraits sont multiples malgré ton réel voilé
Ouvre moi tes portes pour que je puisse t'envahir
Investiguer tes sentiers étroits, tes recoins ambigüs et ton avenir
Je ne crois pas que tu puisses résister au harcelement d'un souvenir
Un événement qui dure et génére le paradoxe de Zénon
D'après tes postulats, il est devenu trés probable, dis moi oui ou non
Réponds moi franchement, si en toi il y a présence d'un démon.
Je n'ai rien compris dans ta nature et pourtant tu me plais
Tes attraits sont multiples malgré ton réel voilé
Ouvre moi tes portes pour que je puisse t'envahir
Investiguer tes sentiers étroits, tes recoins ambigüs et ton avenir
Je ne crois pas que tu puisses résister au harcelement d'un souvenir
Un événement qui dure et génére le paradoxe de Zénon
D'après tes postulats, il est devenu trés probable, dis moi oui ou non
Réponds moi franchement, si en toi il y a présence d'un démon.
Crépuscule (Portrait de femme)
04 September 2005 - 10:59 PM
A toi ma dulcinée, je t'ai aimée et je t'aimerai tant
Au nombre des étoiles qui scintillent dans le firmament
Au nombre des feuilles habillant les arbres des forêts
Au nombre des grains de sable et des fleurs des prés
Au nombre des atomes habitant mes plus intimes profondeurs.
A toi ma douleureuse histoire de fee et mon tourment
Qui ne cesse de me hanter jours et nuits et pourtant
Ni souvenirs, ni temps n'acclament ta présence auprès
De mon coeur lassant les perpétuelles torpeurs.
A toi charmante séductrice, ravaudeuse de mes instants
Il n'y a pas de doute, c'est toi le messie garant
Des peines et souffrances d'un trophée mordoré
De mes pleurs et tendres gémissements sacrés
Dans les sourds désirs d'un romantique rêveur.
A toi femme, être magnifique, satané et imprévisible
Aimant la luxure au delà des interdits jusqu'à la folie
De toi vient la vie des mesquins, troubles créatures
Et vers toi se dirigent leur frénésie et mésaventure.
Combien j'ai cru en ton essence spontanéee et paisible
Reine de la tendresse, immuable vigile de l'agonie
Fidèle incontournable des messagers de la nature
Tu étais l'étoile par excellence des poètes du futur
Presque un ange envoyé d'un ciel sans divinité
Une sagesse arborant la terre jusqu'à l'infini
Une sueur suave coulant sur le front des innocents
Une douceur s'écoulant sur les lévres des immaculés
Tu étais la somptueuse reine d'un conte de fee.
Et il ne reste de toi que l'odeur d'une turpide vanité
Une inconsciente mémoire d'une socièté proscrite et bannie
Une marchandise aux étales de sordides commerçants
Des jouisseurs orgiaques tous des maculés.
Tu es devenue un crépuscule à l'aube de l'humanité.
Au nombre des étoiles qui scintillent dans le firmament
Au nombre des feuilles habillant les arbres des forêts
Au nombre des grains de sable et des fleurs des prés
Au nombre des atomes habitant mes plus intimes profondeurs.
A toi ma douleureuse histoire de fee et mon tourment
Qui ne cesse de me hanter jours et nuits et pourtant
Ni souvenirs, ni temps n'acclament ta présence auprès
De mon coeur lassant les perpétuelles torpeurs.
A toi charmante séductrice, ravaudeuse de mes instants
Il n'y a pas de doute, c'est toi le messie garant
Des peines et souffrances d'un trophée mordoré
De mes pleurs et tendres gémissements sacrés
Dans les sourds désirs d'un romantique rêveur.
A toi femme, être magnifique, satané et imprévisible
Aimant la luxure au delà des interdits jusqu'à la folie
De toi vient la vie des mesquins, troubles créatures
Et vers toi se dirigent leur frénésie et mésaventure.
Combien j'ai cru en ton essence spontanéee et paisible
Reine de la tendresse, immuable vigile de l'agonie
Fidèle incontournable des messagers de la nature
Tu étais l'étoile par excellence des poètes du futur
Presque un ange envoyé d'un ciel sans divinité
Une sagesse arborant la terre jusqu'à l'infini
Une sueur suave coulant sur le front des innocents
Une douceur s'écoulant sur les lévres des immaculés
Tu étais la somptueuse reine d'un conte de fee.
Et il ne reste de toi que l'odeur d'une turpide vanité
Une inconsciente mémoire d'une socièté proscrite et bannie
Une marchandise aux étales de sordides commerçants
Des jouisseurs orgiaques tous des maculés.
Tu es devenue un crépuscule à l'aube de l'humanité.
L'ILLUSION
31 August 2005 - 12:36 PM
L'illusion est intitulée dune sur dune car elle décrit un amas d'atomes (dune) sur un amas de sable (dune) et elle est aussi désert sur désert. Un monde sans morale ne propageant que le mal. Le monde du bien est un rêve qu'on constitue par des sacrifces, c'est un idéal et une quête inachevée.
Malgré la variation et la varièté des créations et créatures l'homme ne trouve rien de bien à faire que la guerre et la compétition sauvage qui est à l'origine de son malheur. Je me vois alors comme un contemplatif ébahi et consterné par cette grande création venir d'un temps qui a précédé le nôtre, parcourant les âges misérables de l'homme et recherchant l'ultime vérité. Malheureusement, je n'ai vu que guerres et haines. Mesquin alors est l'homme. Je plonge en moi et je trouve une lutte épouvantable qui m'habite mais subsiste un rai de lumière d'un espoir qui se dessine à l'horizon. Le monde à visage humain. Quand et où je ne sais pas.
L'Eden est désert et ce n'est qu'un rêve qui m'apporte des images et des odeurs d'un monde que j'ai laissé derrière moi. Ce fut un temps d'une illusion.
Dune sur Dune
Voyager à travers les myriades
Plus beau que le ciel
Plus subtil que l'atome
De toile en toile sidéré
De paysage en paysage enchanté
Ta création et ta créature sont prisonnières
De ton joug, une perpétuelle illusion.
Telle une platitude déserte
Un infini sans horizon
Je me vois venir d'un âge anté-temps
Parcourir des odyssées sanglantes
Des créatures immondes me traversent
Et je ne fais que résister à la tentation
D'être un jour un jouet de ton illusion.
Poussière pour poussière
Je m'efforce à chercher dans la matière
Un temps, une poésie, une mélodie secrète
Un chant des anges me rappelle
Que je ne suis qu'un homme
Ô faible créature, que cherches-tu
Sinon ta propre destinée, une illusion.
Je me noie au plus profond de moi
Des sensations étranges me hantent
De guerre en guerre essoufflé par la lutte
Je me réveille en plein désert assis
Au sommet d'une dune jambes croisées
Le doigt pointé à l'horizon d'un bleu d'azur
Une silhouette s'érige et me guide vers mon illusion.
Et moi et mon illusion
Nous ne sommes que deux ombres d'un parfait rêve
Suspendues à une colombe embaumée d'un parfum d'Eden
Propageant la fraternité ; l'hymne d'une chimère quantique
Survolons des temps ornés de fleurs, un paradis désert
Dune sur dune, atomes sur atomes que d'amas
De souvenirs et de fantômes empilés aux fins fonds d'un temps.
Une illusion.
Malgré la variation et la varièté des créations et créatures l'homme ne trouve rien de bien à faire que la guerre et la compétition sauvage qui est à l'origine de son malheur. Je me vois alors comme un contemplatif ébahi et consterné par cette grande création venir d'un temps qui a précédé le nôtre, parcourant les âges misérables de l'homme et recherchant l'ultime vérité. Malheureusement, je n'ai vu que guerres et haines. Mesquin alors est l'homme. Je plonge en moi et je trouve une lutte épouvantable qui m'habite mais subsiste un rai de lumière d'un espoir qui se dessine à l'horizon. Le monde à visage humain. Quand et où je ne sais pas.
L'Eden est désert et ce n'est qu'un rêve qui m'apporte des images et des odeurs d'un monde que j'ai laissé derrière moi. Ce fut un temps d'une illusion.
Dune sur Dune
Voyager à travers les myriades
Plus beau que le ciel
Plus subtil que l'atome
De toile en toile sidéré
De paysage en paysage enchanté
Ta création et ta créature sont prisonnières
De ton joug, une perpétuelle illusion.
Telle une platitude déserte
Un infini sans horizon
Je me vois venir d'un âge anté-temps
Parcourir des odyssées sanglantes
Des créatures immondes me traversent
Et je ne fais que résister à la tentation
D'être un jour un jouet de ton illusion.
Poussière pour poussière
Je m'efforce à chercher dans la matière
Un temps, une poésie, une mélodie secrète
Un chant des anges me rappelle
Que je ne suis qu'un homme
Ô faible créature, que cherches-tu
Sinon ta propre destinée, une illusion.
Je me noie au plus profond de moi
Des sensations étranges me hantent
De guerre en guerre essoufflé par la lutte
Je me réveille en plein désert assis
Au sommet d'une dune jambes croisées
Le doigt pointé à l'horizon d'un bleu d'azur
Une silhouette s'érige et me guide vers mon illusion.
Et moi et mon illusion
Nous ne sommes que deux ombres d'un parfait rêve
Suspendues à une colombe embaumée d'un parfum d'Eden
Propageant la fraternité ; l'hymne d'une chimère quantique
Survolons des temps ornés de fleurs, un paradis désert
Dune sur dune, atomes sur atomes que d'amas
De souvenirs et de fantômes empilés aux fins fonds d'un temps.
Une illusion.
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