Les pas d'hier
Sur les pas de nos mots glisse la pensée de nos songes oubliés.
Tendres souvenirs de ces pas effacés .
De ces papiers jaunis de nos mots anciens s'envolent poussières de secondes passées.
S'en irise la profondeur de nos âmes.
La quiétude chaleureuse de ce passé révolu anime nos jours avenirs.
Des pas de nos hiers naissent nos pas devenirs .
Philippe Traoumad
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les pas d'hier
22 January 2006 - 08:14 PM
Emile
19 January 2006 - 08:49 PM
Emile
Sur le vieux port,
passent les grains, tape la houle,
il est là, en bout de digue,
adossé à ses jour sans mer.
Sur ses joues coulent
des bouts de mer , des déchirures d’altitude.
Sur ses joues coulent
Les éclats de son âme, les incertitudes de son être.
Ses jours de mer se sont perdus dans ses hiers,
il ne sait plus la mer.
Sous ce grain qui passe en bout de digue,
se pleurent ses souvenirs perdus.
Sous ce dernier paquet de houle,
s’écoule le dernier éclat de son âme.
Sur le vieux port,
Passent les grains, tape la houle.
Salut, Emile ….. !
Sur le vieux port,
passent les grains, tape la houle,
il est là, en bout de digue,
adossé à ses jour sans mer.
Sur ses joues coulent
des bouts de mer , des déchirures d’altitude.
Sur ses joues coulent
Les éclats de son âme, les incertitudes de son être.
Ses jours de mer se sont perdus dans ses hiers,
il ne sait plus la mer.
Sous ce grain qui passe en bout de digue,
se pleurent ses souvenirs perdus.
Sous ce dernier paquet de houle,
s’écoule le dernier éclat de son âme.
Sur le vieux port,
Passent les grains, tape la houle.
Salut, Emile ….. !
Mettre des mots
15 January 2006 - 07:34 PM
Mettre des mots
sur cette douleur sans larme
sur cette angoisse au nom raturé
sur cette fragilité au baume oublié
laisser couler des larmes
sur des sentiment enfouis
sur des raisons occultés
laisser couler des larmes
sur les profondeurs de son âme
fléchir un instant
en accepter l'expression
dans ses méandres intimes
laisser les larmes se rependre
un instant
et au coin d'un de tes plus beaux sourires
y retenir la dernière
et repartir
épurée et grandie
Philippe Traoumad
sur cette douleur sans larme
sur cette angoisse au nom raturé
sur cette fragilité au baume oublié
laisser couler des larmes
sur des sentiment enfouis
sur des raisons occultés
laisser couler des larmes
sur les profondeurs de son âme
fléchir un instant
en accepter l'expression
dans ses méandres intimes
laisser les larmes se rependre
un instant
et au coin d'un de tes plus beaux sourires
y retenir la dernière
et repartir
épurée et grandie
Philippe Traoumad
sarah
12 January 2006 - 09:08 PM
Balle perdue dans une guerre oubliée
Sarah,
Pommier en fleur, tourbillon de pétales.
Virevolte le printemps dans ces nuées chatoyantes
virevolte Sarah dans cet étourdissant ballet
l’instant se fige dans cette lumière trop vive ..
Mille pétales sur son corps se posent,
virevolte le printemps, et déjà la quittent.
Dans sa main qui s’entrouvre les printemps de sa vie
Virevolte le printemps et à leur tour s’envolent,
emportés par cette vie trop courte .
Virevolte le printemps, ce pommier ne fleurira plus .
Sarah,
Pommier en fleur, tourbillon de pétales.
Virevolte le printemps dans ces nuées chatoyantes
virevolte Sarah dans cet étourdissant ballet
l’instant se fige dans cette lumière trop vive ..
Mille pétales sur son corps se posent,
virevolte le printemps, et déjà la quittent.
Dans sa main qui s’entrouvre les printemps de sa vie
Virevolte le printemps et à leur tour s’envolent,
emportés par cette vie trop courte .
Virevolte le printemps, ce pommier ne fleurira plus .
vague
09 January 2006 - 06:33 PM
Vague
Dans cette rue marche le temps qui passe,
à la recherche de mots perdus.
car de la grève il s’en retourne orphelin ,
d’un rire d’enfant jouant avec la vague
de la trace de vie que dépose sur le sable l’être qui y passe
de pensées oubliées sur le laisse de mer.
Pas une vague sur cette mer,
pas une irisation,
seulement le reflet du temps qui passe sur mon vague à l’âme.
Dans cette rue marche le temps qui passe,
sous ses pas s’amenuise celui que j’ai à l’âme.
Demain sur le sable courront des rires d’enfants.
Je les entends déjà .. !
Demain arrive toujours
Philippe Traoumad
Dans cette rue marche le temps qui passe,
à la recherche de mots perdus.
car de la grève il s’en retourne orphelin ,
d’un rire d’enfant jouant avec la vague
de la trace de vie que dépose sur le sable l’être qui y passe
de pensées oubliées sur le laisse de mer.
Pas une vague sur cette mer,
pas une irisation,
seulement le reflet du temps qui passe sur mon vague à l’âme.
Dans cette rue marche le temps qui passe,
sous ses pas s’amenuise celui que j’ai à l’âme.
Demain sur le sable courront des rires d’enfants.
Je les entends déjà .. !
Demain arrive toujours
Philippe Traoumad
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