Quand j’étais plus jeune, un jour,
Je me suis noyé dans l’Amour.
Ses vagues étaient intenses,
M’empêchant de remonter à la surface.
Lorsqu’elles se sont retirées
Quelque chose a été balayé !
Elles avaient emportés mon cœur
Et toutes forces à l’intérieur.
Je ne sais plus quoi faire
Puisque je ne peux plus te retrouver !
Sans doute devrais-je m’en aller,
Plonger tête la première dans l’amer
Déception de ne pouvoir te revoir.
L’écume se retire, emmenant mes espoirs
Dans les abîmes de l’Amour
Où je semble m’enfoncer toujours !
Si je pouvais me noyer encore une fois,
J’aimerais sombrer dans l’Amour avec toi !
Être emprisonné dans le tourbillon
Des plaisirs avant d’en atteindre le fond !
J’aimerais caresser tes courbes
Du bout de mes doigts sournois
Et ressentir sur mes lèvres
Le goût amer de tes larmes que je bois.
Je vais m’en retourner à l’intérieur
Espérant retrouver mon cœur.
Avec moi va se noyer ma douleur :
Le glas sonne mes dernières heures.
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Le Mariage du Ciel et l'Enfer - W. Blake
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Flots Amoureux
31 March 2006 - 12:00 PM
Acqua-toffana
30 March 2006 - 07:00 PM
Cette étrange passion qui nous unit
Enflamme peu à peu mon cœur meurtrit
Serais-tu mon espoir ou mon Acqua-toffana ?
Avec l’Acqua, ma douleur, enfin, s’éteindra
Mon amour pour toi, ce sentiment abscons
T’emmènes là-bas, loin de ce poison.
Tes larmes ravivent les blessures de notre passé,
Et m’empêchent de retrouver la marche de notre bonheur voilé.
Serais-tu mon espoir ou mon Acqua-toffana ?
Cela seul notre avenir me le dira.
Les affres de mon amour : sentiment desséché,
Deviennent des blessures éphémères que le vent a emporté.
De douces sensations inondent les fenêtres de mon âme :
L’impression de devenir quelqu’un grâce à cette femme
Serais-tu mon espoir ou mon Acqua-toffana ?
Si je garde espoir, l’Acqua s’en ira.
Tandis que mes larmes le long de mes joues, remontent
Et que devant moi tu te dénudes sans honte,
Je parcours ton corps d’un regard désireux.
Nos deux êtres s’enlacent en cet instant merveilleux.
Sentant alors la chaleur m’envahir,
Ivresse de plaisirs que je ne puis contenir…
Enflamme peu à peu mon cœur meurtrit
Serais-tu mon espoir ou mon Acqua-toffana ?
Avec l’Acqua, ma douleur, enfin, s’éteindra
Mon amour pour toi, ce sentiment abscons
T’emmènes là-bas, loin de ce poison.
Tes larmes ravivent les blessures de notre passé,
Et m’empêchent de retrouver la marche de notre bonheur voilé.
Serais-tu mon espoir ou mon Acqua-toffana ?
Cela seul notre avenir me le dira.
Les affres de mon amour : sentiment desséché,
Deviennent des blessures éphémères que le vent a emporté.
De douces sensations inondent les fenêtres de mon âme :
L’impression de devenir quelqu’un grâce à cette femme
Serais-tu mon espoir ou mon Acqua-toffana ?
Si je garde espoir, l’Acqua s’en ira.
Tandis que mes larmes le long de mes joues, remontent
Et que devant moi tu te dénudes sans honte,
Je parcours ton corps d’un regard désireux.
Nos deux êtres s’enlacent en cet instant merveilleux.
Sentant alors la chaleur m’envahir,
Ivresse de plaisirs que je ne puis contenir…
Souvenir D’antan
28 March 2006 - 11:19 PM
Peu à peu les journées passent,
Laissant derrière cette inconnue.
Mes espoirs dès lors s‘effacent,
Mettant alors mon âme à nue.
Le brouillard refuse de se lever :
Lourd rideau entre moi et mon passé
Ce douloureux souvenir me condamne
À inonder les fenêtres de mon âme.
Laissant derrière cette inconnue.
Mes espoirs dès lors s‘effacent,
Mettant alors mon âme à nue.
Le brouillard refuse de se lever :
Lourd rideau entre moi et mon passé
Ce douloureux souvenir me condamne
À inonder les fenêtres de mon âme.
Wet Dream
28 March 2006 - 01:00 PM
En embarquant dans mon Wet Dream
Nous n’étions que deux juste toi et moi
Folâtrions ensemble avec émoi
Jusqu’à ce que les flots ne priment
Sur notre frêle embarcation
Faisant rouler notre passion
Dans mon tumultueux Wet Dream
Nous voguions paisibles sur le Léman
S’apprenant l’un l’autre tous deux s’aimant
Jusqu’à se perdre dans les abîmes
De nos humides sentiments
Dès lors nos amours chavirant
Nous fîmes sombrer dans mon Wet Dream
Comme notre navire jamais n’abordera
Ainsi tu ne m’aimeras
Les affres de l’Amour à jamais m’oppriment
Au plus profond de mon Wet Dream
Nous n’étions que deux juste toi et moi
Folâtrions ensemble avec émoi
Jusqu’à ce que les flots ne priment
Sur notre frêle embarcation
Faisant rouler notre passion
Dans mon tumultueux Wet Dream
Nous voguions paisibles sur le Léman
S’apprenant l’un l’autre tous deux s’aimant
Jusqu’à se perdre dans les abîmes
De nos humides sentiments
Dès lors nos amours chavirant
Nous fîmes sombrer dans mon Wet Dream
Comme notre navire jamais n’abordera
Ainsi tu ne m’aimeras
Les affres de l’Amour à jamais m’oppriment
Au plus profond de mon Wet Dream
Paysage accort
24 January 2006 - 07:33 PM
Lorsque la pureté recouvre
Ce paysage autrefois mort,
Toutes les pensées s’entrouvrent
Pour s’offrir à cet astre d’or.
Dès lors, tous les anges rient
Leurs gorges douloureuses les étranglent.
La volupté est ce mal
Qui creuse sur les visages un sillon lacrymal.
Les lourdes larmes des dieux
Ont chu, noyant en même temps les yeux
Et submergeant les coeurs.
Révélant ainsi d’exquises splendeurs.
Et là, comme la toute première fois,
Le Ciel chante de sa douce voix.
Cet immense monde de délices fermé par les sens
Excède de munificence.
Ce paysage autrefois mort,
Toutes les pensées s’entrouvrent
Pour s’offrir à cet astre d’or.
Dès lors, tous les anges rient
Leurs gorges douloureuses les étranglent.
La volupté est ce mal
Qui creuse sur les visages un sillon lacrymal.
Les lourdes larmes des dieux
Ont chu, noyant en même temps les yeux
Et submergeant les coeurs.
Révélant ainsi d’exquises splendeurs.
Et là, comme la toute première fois,
Le Ciel chante de sa douce voix.
Cet immense monde de délices fermé par les sens
Excède de munificence.
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