Caresse légère
Dans la nuit tu éclaires
Un réel panel de rêve.
Lentement, un court instant
Telle une plume blanche
Arc-en-ciel en est le thème.
Folle danse de mes espérances
D’un vain touché indécent
Tu me laisses palpitante.
D’un parfum lancinant
De nos chères, tendres attentes
Ce matin le souffle du vent
Emmène sur l’océan
Le seul naufragé du temps
Qui contre toute attente
Reste en suspend…
- Poésie - Archives de Toute La Poésie - 2005 - 2006
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Reste
27 September 2006 - 09:39 PM
Different
23 September 2006 - 01:51 PM
Notre regard te gène, Il t’évalue, te juge.
Dans le fauteuil
de ton handicap,
tu le sens comme
une présence constante.
Tu te trompes, c’est nous
pauvres normaux.
Qui face à ton courage,
ta fierté, ton image.
Tu nous réduis en cafard.
Esclave à plein temps,
De ton handicap.
Il est temps que tu saches.
Derrière ton regard
Le courage.
Si le mien est fuyant,
C’est par crainte, que tu lises.
Ma détresse.
Je n’aurai pas la force,
Ni ton courage, si j’étais
Dans ton cas.
Je serai inerte d’espérance,
Je ne pourrai pas faire face.
Dans le fauteuil
de ton handicap,
tu le sens comme
une présence constante.
Tu te trompes, c’est nous
pauvres normaux.
Qui face à ton courage,
ta fierté, ton image.
Tu nous réduis en cafard.
Esclave à plein temps,
De ton handicap.
Il est temps que tu saches.
Derrière ton regard
Le courage.
Si le mien est fuyant,
C’est par crainte, que tu lises.
Ma détresse.
Je n’aurai pas la force,
Ni ton courage, si j’étais
Dans ton cas.
Je serai inerte d’espérance,
Je ne pourrai pas faire face.
Histoire
14 September 2006 - 07:50 PM
A toi tout seul tu es un nom.
De ton grand âge, on veut refaire l’histoire.
Pour dénoncer, pour dire ;
Jamais, plus jamais !
Concentration, déportation.
A-t-on dit Yougoslavie ?
Mais, c’est des on dits… !
A la veille de l’an 2000,
Excusez-moi, je le redis
<<C’est l’histoire qui se répète>>
Mais comment se nomme t-il ?
On n’a pas compris ?
Au nom de la religion
Et de l’ethnique !
Tous les coups sont permis
Nul besoin de pardon
Pour nos ennemis
Ni responsable, ni coupable
Cela s’appelle l’histoire.
De ton grand âge, on veut refaire l’histoire.
Pour dénoncer, pour dire ;
Jamais, plus jamais !
Concentration, déportation.
A-t-on dit Yougoslavie ?
Mais, c’est des on dits… !
A la veille de l’an 2000,
Excusez-moi, je le redis
<<C’est l’histoire qui se répète>>
Mais comment se nomme t-il ?
On n’a pas compris ?
Au nom de la religion
Et de l’ethnique !
Tous les coups sont permis
Nul besoin de pardon
Pour nos ennemis
Ni responsable, ni coupable
Cela s’appelle l’histoire.
Mon Ecole
14 September 2006 - 07:47 PM
Belle école d’Apremont,
qui a vu défiler, tant de nom.
Belle école de campagne,
Nichée, près de l’église, à l’ombre.
Protégée par quelques monts
Pour ne pas dire montagne.
Tu as diffusé tant de savoir,
que son parfum s’en exalte.
Lorsque je pénètre dans ta classe,
Il remue au fond de moi,
Des images d’autrefois.
Et, sur le visage de tes enfants
on respire, le plaisir de ton existence.
Je voudrais tant qu’ils comprennent
ton importance.
qui a vu défiler, tant de nom.
Belle école de campagne,
Nichée, près de l’église, à l’ombre.
Protégée par quelques monts
Pour ne pas dire montagne.
Tu as diffusé tant de savoir,
que son parfum s’en exalte.
Lorsque je pénètre dans ta classe,
Il remue au fond de moi,
Des images d’autrefois.
Et, sur le visage de tes enfants
on respire, le plaisir de ton existence.
Je voudrais tant qu’ils comprennent
ton importance.
A Toi L’ami
30 July 2006 - 01:31 PM
Du fond des âges, l’amour a tout âge.
A l’aube de l’an 2000, vit le sida.
Multiplié par 1000, il se propage.
L’amour te condamne.
Je ressens ton calvaire, de mon corps sain,
Je perçois ta souffrance, d’être malsain.
Ta vie dérive, pourquoi vivre pour rien ?
Fidèle ou libre, Plus rien n’est permis.
Pour vivre une maladie qui choisit ?
Pour toi, quel avenir ? Si ce n’est mourir.
Rien n’est jamais fini.
Se battre encore, avec quel effort ?
De vivre l’instant présent jusqu’à la mort.
Pour l’amour quelque qu’il soit.
Pourquoi toi ? Et pas moi ?
L’ami apprivoise ta peur, ta force.
L’amour qui t’entoure te garde sa foi.
Je pense à toi l’ami.
A l’aube de l’an 2000, vit le sida.
Multiplié par 1000, il se propage.
L’amour te condamne.
Je ressens ton calvaire, de mon corps sain,
Je perçois ta souffrance, d’être malsain.
Ta vie dérive, pourquoi vivre pour rien ?
Fidèle ou libre, Plus rien n’est permis.
Pour vivre une maladie qui choisit ?
Pour toi, quel avenir ? Si ce n’est mourir.
Rien n’est jamais fini.
Se battre encore, avec quel effort ?
De vivre l’instant présent jusqu’à la mort.
Pour l’amour quelque qu’il soit.
Pourquoi toi ? Et pas moi ?
L’ami apprivoise ta peur, ta force.
L’amour qui t’entoure te garde sa foi.
Je pense à toi l’ami.
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