M’enivrer du possible
chercher dans un visage
le risque d’un futur
m’ouvrir à l’horizon
lire entre quelques lignes
d’une conversation
prendre les mots d’espoir
craindre le geste en trop
et puis le provoquer
pour ne rien regretter
M’enivrer du possible
d’être votre aujourd’hui
pour n’avoir pas demain
roulé dessous la table
des rendez-vous manqués
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Enivrez-vous... Dit Baudelaire (petit Poème En Prose)
09 July 2006 - 08:39 AM
Dérive
08 July 2006 - 10:43 AM
sautillant sur les vagues
la lumière du jour
emporte le ciel clair
dans l'écume de mes nuits
voilier sans attaches
ballotté de vide en néant
je cherche des amarres
pour ne plus fuir
tempête ou pot-au-noir
navigation à vue
le cœur à fond de cale
du lever au couchant
dérive d’horizon
au large des futurs
sautillant sur les vagues
la lumière du jour
emporte le ciel clair
dans l'écume de mes nuits
la lumière du jour
emporte le ciel clair
dans l'écume de mes nuits
voilier sans attaches
ballotté de vide en néant
je cherche des amarres
pour ne plus fuir
tempête ou pot-au-noir
navigation à vue
le cœur à fond de cale
du lever au couchant
dérive d’horizon
au large des futurs
sautillant sur les vagues
la lumière du jour
emporte le ciel clair
dans l'écume de mes nuits
La Braise
08 July 2006 - 09:33 AM
Allez savoir pourquoi j’avais les larmes aux yeux
Le silence après vous était assourdissant
Les braises agonisaient J’ai vu mourir le feu
Le front tassé au manteau de la cheminée
Une pluie de fraîcheur a envahi mon ciel
Le bruit des gouttes d’eau habitait mon espace
Pas un souffle de vie je restais là sans mots
Et sur un vide immense les larmes d’un stylo
L’averse s’est calmée je vous ai retrouvé
Vous étiez encore là à l’entrée de mon cœur
J’avais votre portrait bourreau victime tueur
Je me suis relevée et je vous ai gardé
Le silence après vous était assourdissant
Les braises agonisaient J’ai vu mourir le feu
Le front tassé au manteau de la cheminée
Une pluie de fraîcheur a envahi mon ciel
Le bruit des gouttes d’eau habitait mon espace
Pas un souffle de vie je restais là sans mots
Et sur un vide immense les larmes d’un stylo
L’averse s’est calmée je vous ai retrouvé
Vous étiez encore là à l’entrée de mon cœur
J’avais votre portrait bourreau victime tueur
Je me suis relevée et je vous ai gardé
Crépuscule
07 July 2006 - 09:47 PM
Un soleil mou et lourd
me glace les os
et puis avec un bruit sourd
se noie dans l'eau
me glace les os
et puis avec un bruit sourd
se noie dans l'eau
Absence
06 July 2006 - 09:42 PM
Un prénom sans l’enfant
Au tréfonds d’un cœur lourd
Un pleur qui dure
Au bord d’une lueur d’espoir
C’est le chagrin profond
Des jours de contre-vie
Au tréfonds d’un cœur lourd
Un pleur qui dure
Au bord d’une lueur d’espoir
C’est le chagrin profond
Des jours de contre-vie
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