Ah ! J’ai rêvé de vous, au milieu des guirlandes !
Sous un sapin givré, à l’heure des offrandes
Naviguant tendrement vers l’été maritime
Qui me fit rencontrer votre image sublime.
Oui, j’ai pensé à vous, en préparant la crèche !
A vous si loin d’ici, émoi, là, sur la brèche
Boulevard des Epines, votre regard si pur
Et mes mains ont tremblé, d’amour je vous assure !
J’ai pleuré doucement, le temps qui m’abandonne
En m’éloignant de vous, pour la fin de mes jours
Puis j’ai souri enfin, au bonheur bien trop court
De croiser en chemin, adorable personne !
Oh ! J’ai rêvé de vous ! L’an nouveau nous talonne
Son cortège de vœux traîne le pas, s’attarde
J’accroche des soupirs aux cloches qui résonnent
Pour vous seul en ce soir, vers la lune blafarde.
Ces longs frissons d’hiver sur ma peau qui se glace
Se meurent près du feu d’un juillet sans audace
Où je n’ai su saisir le trouble captivant
Où je n’ai pu que fuir vos silences brûlants.
Oui, j’ai rêvé de vous !
Et ce secret m’enivre
Oui, j’ai rêvé de nous !
Mais… refermons le livre !
Sous un sapin givré, à l’heure des offrandes
Naviguant tendrement vers l’été maritime
Qui me fit rencontrer votre image sublime.
Oui, j’ai pensé à vous, en préparant la crèche !
A vous si loin d’ici, émoi, là, sur la brèche
Boulevard des Epines, votre regard si pur
Et mes mains ont tremblé, d’amour je vous assure !
J’ai pleuré doucement, le temps qui m’abandonne
En m’éloignant de vous, pour la fin de mes jours
Puis j’ai souri enfin, au bonheur bien trop court
De croiser en chemin, adorable personne !
Oh ! J’ai rêvé de vous ! L’an nouveau nous talonne
Son cortège de vœux traîne le pas, s’attarde
J’accroche des soupirs aux cloches qui résonnent
Pour vous seul en ce soir, vers la lune blafarde.
Ces longs frissons d’hiver sur ma peau qui se glace
Se meurent près du feu d’un juillet sans audace
Où je n’ai su saisir le trouble captivant
Où je n’ai pu que fuir vos silences brûlants.
Oui, j’ai rêvé de vous !
Et ce secret m’enivre
Oui, j’ai rêvé de nous !
Mais… refermons le livre !