Matins oniriques
Que nos paupières se closent,
Sans crainte ni remords,
Sur des présents à venir
Soigneusement enveloppés
Par de scintillants papiers de rêves.
Pour protéger ces précieux mystères :
Quelques rubans d’or,
Empruntés à des chevelures féeriques.
Qu’ils s’ouvrent, à l’heure encore frileuse,
Sur des jours nouveaux,
Comme tant et tant
D’étrennes merveilleuses
En apparats assortis
A nos plus chers espoirs !
Arwen Gernak
Que nos paupières se closent,
Sans crainte ni remords,
Sur des présents à venir
Soigneusement enveloppés
Par de scintillants papiers de rêves.
Pour protéger ces précieux mystères :
Quelques rubans d’or,
Empruntés à des chevelures féeriques.
Qu’ils s’ouvrent, à l’heure encore frileuse,
Sur des jours nouveaux,
Comme tant et tant
D’étrennes merveilleuses
En apparats assortis
A nos plus chers espoirs !
Arwen Gernak
D'autant que je tombe sur ces quelques vers tout en douceur...
Amitiés,
NH
http://delencre.canalblog.com/
Nous voilà deux à errer au fil des poèmes et à aimer retrouver de vieilles plumes. Pour beaucoup, le temps passé n'a pas enlevé leur attrait. Le temps n'a pas d'influence sur le poète? Paradoxal ceci car il mûrit tout en restant ce qu'il est....mais c'est long à exposer tout ça.
Kiss, Margod