Parmi le genre humain il est des spécimens
Dont l'esprit délirant s'en va hors du réel
Se perdre et divaguer. Dès lors ces gentlemen
Errent de délires variés en penchants surréels
Pour doper d'enthousiasme nombres de leurs lecteurs
Les poètes sont friands de phantasmes ces vecteurs
Qui les poussent souvent à chanter l'irréel
De ces amours troublant âmes et rêves idéels
Leur joie est si vive qu'ils jubilent et délirent
Dès lors que leurs desseins et propos sont compris
Ils savourent en leur cœur cette ivresse hors de prix
Et pleurent d'allégresse « in fine » de plaisirs
Ode par
Pierre Fernand CRASSET MAUVIEL dit CéPYGé.X
Les Maissineries V.20