Impuissants, en effet nous le sommes
Ni ton être éploré de tristesse
Ni tes larmes s'écoulant jusqu'à Rome
Rien n'y fait, ni prière, ni promesse
Ta peine sera là pour toujours
Le temps, certes apaisera ta douleur
La révolte réveillera certains jours
Cher Albert, tes souvenirs du malheur
Elle s'en est allée ta richesse
Ta perle, ton unique chérie
Ton amour dans l'au-delà, partie
Et un jour sonnera, sans nul doute
L'heure de prendre cette route
Là, seulement s'en ira ta tristesse
à AW
Sonnet irrégulier par X Cépygé
Les Maissineries II.19.