Ces vestiges du temps aux aspects vieillissants
Qui montraient la grandeur d’empires florissants
Et survivent encore en des ruines admirables
Sont plaisants à nos yeux et restent vénérables
Que de peines de souffrances de brimades
Se cachent en ces palais aux vastes esplanades
Ils sont l’ oeuvre d’humains d’artistes éminents
Et attirent les curieux en ces lieux fascinants
La nature toujours est du monde maîtresse
Elle est vivante et fière et use de ses droits
Les merveilles créées sont sujettes à ses lois
Elles périssent hélas s’effritent et disparaissent
Ode ou poème lyrique
Les Maissineries VIII.20