
"Apostrophe Zéphyrienne". EXTRAITS. 2007.
Posté par Auteur-Photographe02,
02 novembre 2007
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TITRE : "Apostrophe Zéphyrienne" ou "de l'alpha à l'oméga d'une insulte douce".
EN VENTE : 7€.
EXTRAITS :
Naïade Nocturne
Tu es celle à la candeur louée à la hune.
Boucles brunes et boucles blondes,
Serpents d'Eole embrassant l'onde
Qui aiment à troubler les reflets de la lune.
Le Temps
Les défuntes années martèlent les esprits,
En venant les prier, qu'au seuil de leur tombeau,
Ils leur servent le deuil, ce festin d'oripeaux
Qui tressaille de mort quand les regrets s'enfuient.
Sens la longue étreinte des heures qui te pressent
Contre leurs seins polis par la moisson des coeurs.
Sens la plaie du baiser, qui __suintante déesse!__
De ta chair fermentée en tire la liqueur.
Les baisers pénitents étalent leur mollesse ;
Mais, les rumeurs des corps, bruits des âmes sans nom,
Glapissent en l'alcôve où bavent les fanions
D'une vivante ivresse.
POSTFACE écrite par Monsieur Claude LE ROY, Président de la Société des Ecrivains Normands...
"Bourgeons d'effervescence (…) entre le sens et l'essence…
Tout cela compose un univers codé où réalisme et mysticisme se conjuguent au rythme cadencé de l'alexandrin.
Là, le poète veut nous faire partager « la rage des choses muettes », de la « noirceur des coupes » à la « splendeur du Graal ».
Cette quête de la Sagesse passe par l'étrange aux airs parfois d'extravagance, entre rêve et réel, entre le zéphyr qui charme et l'aquilon qui mord.
Le poème, en ces pages, murmure et crie, mais toujours il témoigne."
Claude Le Roy.
Dépôt Légal : fin avril 2007.
N°ISBN : 978-2-9529043-0-8
EN VENTE : 7€.
EXTRAITS :
Naïade Nocturne
Tu es celle à la candeur louée à la hune.
Boucles brunes et boucles blondes,
Serpents d'Eole embrassant l'onde
Qui aiment à troubler les reflets de la lune.
Le Temps
Les défuntes années martèlent les esprits,
En venant les prier, qu'au seuil de leur tombeau,
Ils leur servent le deuil, ce festin d'oripeaux
Qui tressaille de mort quand les regrets s'enfuient.
Sens la longue étreinte des heures qui te pressent
Contre leurs seins polis par la moisson des coeurs.
Sens la plaie du baiser, qui __suintante déesse!__
De ta chair fermentée en tire la liqueur.
Les baisers pénitents étalent leur mollesse ;
Mais, les rumeurs des corps, bruits des âmes sans nom,
Glapissent en l'alcôve où bavent les fanions
D'une vivante ivresse.
POSTFACE écrite par Monsieur Claude LE ROY, Président de la Société des Ecrivains Normands...
"Bourgeons d'effervescence (…) entre le sens et l'essence…
Tout cela compose un univers codé où réalisme et mysticisme se conjuguent au rythme cadencé de l'alexandrin.
Là, le poète veut nous faire partager « la rage des choses muettes », de la « noirceur des coupes » à la « splendeur du Graal ».
Cette quête de la Sagesse passe par l'étrange aux airs parfois d'extravagance, entre rêve et réel, entre le zéphyr qui charme et l'aquilon qui mord.
Le poème, en ces pages, murmure et crie, mais toujours il témoigne."
Claude Le Roy.
Dépôt Légal : fin avril 2007.
N°ISBN : 978-2-9529043-0-8