Nuit, ma douce amie toi seule sait me comprendre
Tu me permets toujours les rêves les plus fous
Par ta sombre existence tu me protège de tout
En me cachant de tous tu m'aide à me défendre
Je peux partir ainsi en des contrées lointaines
Ou tout n'est qu'illusion et ou tout est possible
Ou la chaleur est douce sans devenir pénible
Loin de cette cohue si métropolitaine
Mon esprit vagabonde, ignorant le réel
Vers de sombres châteaux, des princesses endormies
Qui attendent un baiser pour retrouver la vie
Je peux planer sans cesse sans remuer les ailes
Et quand le matin vient, que s'estompe le noir
Reviennent les angoisses les peurs et les blessures
Et toutes ces idées qui me rendent la vie dure
Je n'ai plus qu'une hâte, que revienne le soir.
Tu me permets toujours les rêves les plus fous
Par ta sombre existence tu me protège de tout
En me cachant de tous tu m'aide à me défendre
Je peux partir ainsi en des contrées lointaines
Ou tout n'est qu'illusion et ou tout est possible
Ou la chaleur est douce sans devenir pénible
Loin de cette cohue si métropolitaine
Mon esprit vagabonde, ignorant le réel
Vers de sombres châteaux, des princesses endormies
Qui attendent un baiser pour retrouver la vie
Je peux planer sans cesse sans remuer les ailes
Et quand le matin vient, que s'estompe le noir
Reviennent les angoisses les peurs et les blessures
Et toutes ces idées qui me rendent la vie dure
Je n'ai plus qu'une hâte, que revienne le soir.