J'écris sur des cahiers dans une langue étrange
Le fond de mes pensées, pour que je les sublime
Il me faut les coucher sans que l'idée ne change
En choisissant les mots, en en faisant des rimes
L'exercice est ardu, le choix est délicat
Car je ne connais pas ce qu'est la poésie
Pour garder à mon texte son sens et son éclat
Il me faut faire le tri d'un jeu d'homophonies
Et c'est par mon oreille qu'enfin je fais le choix
Que les mots bout à bout expriment mon humeur
Et qu'en lisant le tout et ce à haute voix
Mélodie ainsi faite elle ravisse mon cœur
Le fond de mes pensées, pour que je les sublime
Il me faut les coucher sans que l'idée ne change
En choisissant les mots, en en faisant des rimes
L'exercice est ardu, le choix est délicat
Car je ne connais pas ce qu'est la poésie
Pour garder à mon texte son sens et son éclat
Il me faut faire le tri d'un jeu d'homophonies
Et c'est par mon oreille qu'enfin je fais le choix
Que les mots bout à bout expriment mon humeur
Et qu'en lisant le tout et ce à haute voix
Mélodie ainsi faite elle ravisse mon cœur