La mer veille sur son petit monde
Et plaque ses reflets sur notre grosse balle ronde.
La mer se rit, de se voir si belle, en son brillant miroir.
Elle a, comme joli teint, la couleur de l’espoir.
La mer cure ses dents de corail aux sabres des espadons,
Affûte ses récifs, sur la ligne d’horizon.
La mer, le cœur léger, irise son éther,
Et, les yeux mouillés, installe son atmosphère.
La mer, lent camarade, nous promène sur son huile,
Rechercher un trésor, enfoui au creux d’une île.
La mer, où se couche-t-elle, dans un baldaquin de varech ?
A-t-elle trouvé un havre, quelque part, au sec ?
La mer de mazout trop souvent est souillée.
Elle avorte alors de toute vie, martyrisée.
La mer, aux vingt chiens, parfois aboie.
Qu’il est donc mauvais celui-là !!
Et plaque ses reflets sur notre grosse balle ronde.
La mer se rit, de se voir si belle, en son brillant miroir.
Elle a, comme joli teint, la couleur de l’espoir.
La mer cure ses dents de corail aux sabres des espadons,
Affûte ses récifs, sur la ligne d’horizon.
La mer, le cœur léger, irise son éther,
Et, les yeux mouillés, installe son atmosphère.
La mer, lent camarade, nous promène sur son huile,
Rechercher un trésor, enfoui au creux d’une île.
La mer, où se couche-t-elle, dans un baldaquin de varech ?
A-t-elle trouvé un havre, quelque part, au sec ?
La mer de mazout trop souvent est souillée.
Elle avorte alors de toute vie, martyrisée.
La mer, aux vingt chiens, parfois aboie.
Qu’il est donc mauvais celui-là !!