Ce corps là n’existe
Que pour en pourrir la chair
Ce sentiment,
Que pour nourrir des airs
D’absolu et de révolte
Qui jamais ne masquent
Le visage désinvolte
Et grimaçant du primate.
Celui qui s’éveillera
Après la fin du monde
Celui-là le regardera
Faner son enveloppe
Avec audace et ignorance
Et l’autre du fin fond des temps
Rugira de haine et de déplaisir
Alors que sonneront les olifants
Du renouveau
………… du désir
………….du plaisir
Une nouvelle essence
Une nouvelle sentence
Pour celui qui a tant cheminé
Tant donné aux autres
Tant dégusté
De la vie ………..
S’ouvrira l’âge d’or
Qu’il soit cultivé ou impie,
Tiers ou partie,
Encensé ou sali,
A la fin du chemin
Là où tout n’est rien
Se lève un nouvel être humain
Souillé d’or
Lavé d’excréments
Loin du décor
Près du vent
S’élève la conscience
S’apaise le néant
Se révèle la puissance
Se meurt l’indifférent
Toi qui souffres
Aujourd’hui ou demain
Va, vis jusqu’au bout du chemin
Que pour en pourrir la chair
Ce sentiment,
Que pour nourrir des airs
D’absolu et de révolte
Qui jamais ne masquent
Le visage désinvolte
Et grimaçant du primate.
Celui qui s’éveillera
Après la fin du monde
Celui-là le regardera
Faner son enveloppe
Avec audace et ignorance
Et l’autre du fin fond des temps
Rugira de haine et de déplaisir
Alors que sonneront les olifants
Du renouveau
………… du désir
………….du plaisir
Une nouvelle essence
Une nouvelle sentence
Pour celui qui a tant cheminé
Tant donné aux autres
Tant dégusté
De la vie ………..
S’ouvrira l’âge d’or
Qu’il soit cultivé ou impie,
Tiers ou partie,
Encensé ou sali,
A la fin du chemin
Là où tout n’est rien
Se lève un nouvel être humain
Souillé d’or
Lavé d’excréments
Loin du décor
Près du vent
S’élève la conscience
S’apaise le néant
Se révèle la puissance
Se meurt l’indifférent
Toi qui souffres
Aujourd’hui ou demain
Va, vis jusqu’au bout du chemin