LE BOUQUET
Loin de moi rose imaginer
Auprès de mon coeur butiné par de longs voyages et naufrages
Un peu de fraicheur comme le pollen l'abeille apporter
De l'horizon n'espérant de mon champ le crépuscule
Boire l'eau de jouvence que les effluves de sagesse des émeraudes
Non sans frémissement au loin perçus
Le roulement phosphorécent des lancinants tambours de la saison
Dés l'ores de la main crucifiée qui se soucierait
Surtout quand une créature aux seins dodus
Que le soleil comble encore de prodige
Qui loin de vivre l'automne ne se souvient du printemps
Fleurit le crime
Loin de moi rose imaginer
Auprès de mon coeur butiné par de longs voyages et naufrages
Un peu de fraicheur comme le pollen l'abeille apporter
De l'horizon n'espérant de mon champ le crépuscule
Boire l'eau de jouvence que les effluves de sagesse des émeraudes
Non sans frémissement au loin perçus
Le roulement phosphorécent des lancinants tambours de la saison
Dés l'ores de la main crucifiée qui se soucierait
Surtout quand une créature aux seins dodus
Que le soleil comble encore de prodige
Qui loin de vivre l'automne ne se souvient du printemps
Fleurit le crime