Amour est une musique dont ton corps est violon :
Ton coeur sera la corde et l'aimé ton archet.
Si l'on appuie trop fort le crin se rompt
L'instrument s'est brisé : il a trop accordé !
Prends garde ô mon aimé, ô toi qui joues si bien
La tendre mélodie de mon doux sentiment !
Le désepoir, la honte, mais surtout le chagrin
Ont détruit la symphonie rêvée de l'amant.
L'abandon est une mort, étrange agonie
Ricanant dans le dos qu'elle s'amuse à ployer,
Elle qui ternit le jour, en rallongeant la nuit !
J'ai vu tant de souffrances, je me crus vaccinée
Mais non ! Le son discordant qui a pris la place
De ta dernière note efface ainsi la trace.
Ton coeur sera la corde et l'aimé ton archet.
Si l'on appuie trop fort le crin se rompt
L'instrument s'est brisé : il a trop accordé !
Prends garde ô mon aimé, ô toi qui joues si bien
La tendre mélodie de mon doux sentiment !
Le désepoir, la honte, mais surtout le chagrin
Ont détruit la symphonie rêvée de l'amant.
L'abandon est une mort, étrange agonie
Ricanant dans le dos qu'elle s'amuse à ployer,
Elle qui ternit le jour, en rallongeant la nuit !
J'ai vu tant de souffrances, je me crus vaccinée
Mais non ! Le son discordant qui a pris la place
De ta dernière note efface ainsi la trace.