De par les temps de peine, au détour de tristesse,
Lorsque l’âme est au noir ou le souffle en détresse,
Il est un chemin sûr vers où trouver l’instant
Du retour à la mer au ressac apaisant.
Sur la grève tranquille, elle garde les oiseaux
Princesse alanguie et jouant de ses rouleaux,
L’onde grise vibrant de tant de ses messages
Raconte la splendeur de son rêve en mirages.
Le parfum répandu des algues délicates
Se mêle au goût de sel des contes de frégates,
Dont la mémoire vive est le château de sable.
Et dans sa marche lente au rythme des marées
Le promeneur défait le nœud de ses pensées
Et son pas se marie à la vague immuable.
Lorsque l’âme est au noir ou le souffle en détresse,
Il est un chemin sûr vers où trouver l’instant
Du retour à la mer au ressac apaisant.
Sur la grève tranquille, elle garde les oiseaux
Princesse alanguie et jouant de ses rouleaux,
L’onde grise vibrant de tant de ses messages
Raconte la splendeur de son rêve en mirages.
Le parfum répandu des algues délicates
Se mêle au goût de sel des contes de frégates,
Dont la mémoire vive est le château de sable.
Et dans sa marche lente au rythme des marées
Le promeneur défait le nœud de ses pensées
Et son pas se marie à la vague immuable.