Certaines fées en Carabosse
Au faux mystère où elles s'embossent
Soutiennent que l'ombre est propice
A leurs histoires de malice.
Moi qui me dis petite abeille
Ne jurant que par la lumière,
Je vis mes joies au grand soleil,
Eclaboussée de vagues fières.
Ramassant les bleus coquillages
A la plage de mes amours,
Je peux sembler être très sage
Mais je suis libre en ce plein jour.
Ma peau se dore au ciel d'été
Et je me pare de jasmin
Quand me sourit mon bien-aimé
Dans la splendeur de nos matins.
Foin de ces prétendues énigmes
Qui se posent en paradigmes,
La vie rayonne en sa clarté
Dans son exacte vérité.
Au faux mystère où elles s'embossent
Soutiennent que l'ombre est propice
A leurs histoires de malice.
Moi qui me dis petite abeille
Ne jurant que par la lumière,
Je vis mes joies au grand soleil,
Eclaboussée de vagues fières.
Ramassant les bleus coquillages
A la plage de mes amours,
Je peux sembler être très sage
Mais je suis libre en ce plein jour.
Ma peau se dore au ciel d'été
Et je me pare de jasmin
Quand me sourit mon bien-aimé
Dans la splendeur de nos matins.
Foin de ces prétendues énigmes
Qui se posent en paradigmes,
La vie rayonne en sa clarté
Dans son exacte vérité.
Les abeilles ne craignent pas l'Ombre.
Sais-tu qu'elle aussi elle est fée ?
Et bien qu'elle soit si sombre
Qu'elle ne fait pas de mal à mes fleurs ?