C’est du bout de la plume et sur les feuilles blanches
Que j’aime à composer ma chanson des dimanches
De pluie ou de soleil et je laisse mes traces
En rature sonore, en marquage de places.
Les écrans sont des tiers intrusifs et banals
Dont je vois le regard et les aspects bancals,
Il me faut être seule à l’écoute du vent
Qui vole au gré de page et nourrit mon tourment.
Les ailes des oiseaux ont forgé mes bonheurs
D’écriture éveillée aux songes précieux,
Couchés sur le papier à pas mystérieux.
Et quand dans le silence habité des ailleurs,
Mes mots vont se pressant sur le vélin curieux,
Ils écrivent alors mes vers de camaïeux.
Que j’aime à composer ma chanson des dimanches
De pluie ou de soleil et je laisse mes traces
En rature sonore, en marquage de places.
Les écrans sont des tiers intrusifs et banals
Dont je vois le regard et les aspects bancals,
Il me faut être seule à l’écoute du vent
Qui vole au gré de page et nourrit mon tourment.
Les ailes des oiseaux ont forgé mes bonheurs
D’écriture éveillée aux songes précieux,
Couchés sur le papier à pas mystérieux.
Et quand dans le silence habité des ailleurs,
Mes mots vont se pressant sur le vélin curieux,
Ils écrivent alors mes vers de camaïeux.