Le poète aveugle dans ses jeunes fureurs, Fuyant l’amour tristement de ses bassesses obscures,Il se meut en conscience dans les races futures,Me promenant tout triste et solitaire. Des poètes vertueux relisent leurs vers sacrés.Triomphe, fugitifs qui n'ont point abattu leurs courages.Ils estiment leur vol qui vole à travers les ages. L'ardeur de s...

bernardo Blog
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Le poète aveugle dans ses jeunes fureurs,02 avril 2007
Monologue
D’un coeur las. Dans votre ultime illusion morte
Je penserai à l’éternel mort.
Et j’en sentirais, cette suprême vérité,
Pas un seul espoir, pas un seul désir
Pour une si chère illusion, qui a disparu.
Reposez-vous donc ! À jamais.
Vous, qui aviez labouré la vie
Car enfin, pas une seule chose se vaut
Dans votre votre battement de vie :
Ou le monde, n'est pas digne
De vos plaintes. Âcre et fatigante,
La vie n’est rien de plus : qu’un monde de boue.
Vous étiez maintenant, abattu de désespoir
Pour la dernière fois.
Votre Destin, dans sa dernière chevauchée
Offert seulement à la mort.
Désormais, je voyais l’image du mépris,
Dans cette force de la brute, et de la guerre
Qui souterrainement, commande le mal universel,
Et toujours ce vide,si infini de tout.
Je penserai à l’éternel mort.
Et j’en sentirais, cette suprême vérité,
Pas un seul espoir, pas un seul désir
Pour une si chère illusion, qui a disparu.
Reposez-vous donc ! À jamais.
Vous, qui aviez labouré la vie
Car enfin, pas une seule chose se vaut
Dans votre votre battement de vie :
Ou le monde, n'est pas digne
De vos plaintes. Âcre et fatigante,
La vie n’est rien de plus : qu’un monde de boue.
Vous étiez maintenant, abattu de désespoir
Pour la dernière fois.
Votre Destin, dans sa dernière chevauchée
Offert seulement à la mort.
Désormais, je voyais l’image du mépris,
Dans cette force de la brute, et de la guerre
Qui souterrainement, commande le mal universel,
Et toujours ce vide,si infini de tout.