Ce texte s'adresse lui aussi à la même poétesse; j'ai voulu à travers cette métaphore parler du déchirement engendré par la double appartenance culturelle.
De grâce, laissez ambuler la funambule
Muette, légère et fragile
Glissant sur un fil tendu au-delà de l'infini
De grâce... qu'elle ne tombe et ne s'enracine!
Seul le vide est son asile et sa folie.
Mirant la berge alliciante, se laissant tenter
Elle se brûle les ailes et s'en retourne...
Muette, légère et fragile
Glissant vers le rivage qu'elle a fui...
Seul le vide est son asile et sa folie.
NB : Folie = Riche maison de plaisance
FETHI, le 22 décembre 2008

De grâce, laissez ambuler la funambule
Muette, légère et fragile
Glissant sur un fil tendu au-delà de l'infini
De grâce... qu'elle ne tombe et ne s'enracine!
Seul le vide est son asile et sa folie.
Mirant la berge alliciante, se laissant tenter
Elle se brûle les ailes et s'en retourne...
Muette, légère et fragile
Glissant vers le rivage qu'elle a fui...
Seul le vide est son asile et sa folie.
NB : Folie = Riche maison de plaisance
FETHI, le 22 décembre 2008

