Je pense de tes baisers,
Si tendre, impossible d'oublier,
Car tu m’envahis mon coeur,
Si précieux,
Que je suis si heureuse,
De te voir si heureux,
Tu me fais rire aux larmes.
Avant, je vivais un mélodrame.
Dans mes rêves les plus fous, tu y es.
Dans le jour, je pense à mes rêves.
Parce que j'ai hâte de te sentir contre moi.
Décembre 1995