On se teste,
on se déteste,
c'est une histoire de souffrance
qui nous réunis à outrance
plus que l'amour ne l'a jamais fait...
Encore une autre danse,
tournent mes robes,
quand tes mains s'y dérobent
à ta merci sans défense.
Sans lien, sans laisse,
sans qu'on ne se délaisse
sans qu'on ne se lasse
d'un plaisir qui nous délasse.
Comme une drogue néfaste
qui me décompose
quand tu me composes:
un désir bien faste...
J'ai écris notre épitaphe
pour ne plus me noyer dans tes affres:
on se déteste,
c'est une histoire de souffrance
qui nous réunis à outrance
plus que l'amour ne l'a jamais fait...
Encore une autre danse,
tournent mes robes,
quand tes mains s'y dérobent
à ta merci sans défense.
Sans lien, sans laisse,
sans qu'on ne se délaisse
sans qu'on ne se lasse
d'un plaisir qui nous délasse.
Comme une drogue néfaste
qui me décompose
quand tu me composes:
un désir bien faste...
J'ai écris notre épitaphe
pour ne plus me noyer dans tes affres:
A tes lèvres
je n'irai plus boire
Là où mes rêves
s'empoisonnent en déboire!
Dans tes yeux,
je cesserai de lire,
car mes vœux
s'y traduisent en délires
Dans mon corps
tu ne donneras pas ton lys,
et tant pis pour le délice!
je n'irai plus boire
Là où mes rêves
s'empoisonnent en déboire!
Dans tes yeux,
je cesserai de lire,
car mes vœux
s'y traduisent en délires
Dans mon corps
tu ne donneras pas ton lys,
et tant pis pour le délice!
Nous cuisions c'est affreux
Aux sourires de papoux
Et nos cuisses, nous deux !
Ainsi dans la soupe
Mijotons, nos meilleurs jeux
Assis sur ta croupe
Oublions, le sort affreux
Et toi, et toi, et toi... le remarqueras-tu ? L'enfant de mauvaise mine, au teint de bois, qui erre et qui boit les mots à même la source du caniveau ?
C'est un jus de ville, un extrait de soirées froides et noires, pour les jeux que l'on reserve aux bonnes gens, de toi à moi.
Sinon ça va, ça va ?
A nous régaler, le pain complet : partout !