Affin, rabats nos joies, ta halte milite
Dans un souffle mortel et dégonfle à l'éxcés.
Peau d'orange ton coeur, et fruit comme l'abcés
Mûrit sous cette robe aux pans de cellulite.
Où l'âme est un détail, se cache le démon,
Son mauvais sang broui dans ses veines de cangue.
Pauvre fagot d'épines, bois mort si exsangue,
Du palis il enclos un comble, le phlegmon.
Monte aux chevaux de frise, et taille les roseaux.
Tes becs ont griffonné, plumes de toi, l'augure,
Lorsque l'enfer nous livre un trait sans envergure,
Cet ouvrage laissant l'empreinte des houseaux...
Guérissons nos mémoires, nos voix rendues graves
Psalmodient un empire hors du mythe où l'on crève
Les phlyctènes cloquant le pois pris pour la fève
Au tortil des couronnes. Et blasonnent, nos braves...
Dans un souffle mortel et dégonfle à l'éxcés.
Peau d'orange ton coeur, et fruit comme l'abcés
Mûrit sous cette robe aux pans de cellulite.
Où l'âme est un détail, se cache le démon,
Son mauvais sang broui dans ses veines de cangue.
Pauvre fagot d'épines, bois mort si exsangue,
Du palis il enclos un comble, le phlegmon.
Monte aux chevaux de frise, et taille les roseaux.
Tes becs ont griffonné, plumes de toi, l'augure,
Lorsque l'enfer nous livre un trait sans envergure,
Cet ouvrage laissant l'empreinte des houseaux...
Guérissons nos mémoires, nos voix rendues graves
Psalmodient un empire hors du mythe où l'on crève
Les phlyctènes cloquant le pois pris pour la fève
Au tortil des couronnes. Et blasonnent, nos braves...