Le poignard, le pardon, l'un et l'autre opportuns,
Du soulas dégauchi, il en aime l'idée
Quand l'envie se veut naître, elle, avant suicidée
Par ces mânes brûlant de leurs feux importuns...
Noce blanche et drap brun, leurs palais à Venise,
Un lit d'eau sur la joue qui abouche un dégoût,
Si mouvante l'humeur verse aux plages la lise
Dont la fleur hydroïde est l'écume ou l'égoût.
L'un pour l'autre, il dissoud la saison médusée
Affouillant du rocher, la matière fissile
Et crayeuse spirale à l'hélice fossile,
Par delà sa froideur, fait de l'alpe un musée,
Ce lamier en lisière aux ourlets des tendresses
Où silice, ombre et terre, est à lui, va-nu-pied,
Sa jonchée de tessons dont il plie les compresses,
Un doux linge à panser d'autre mort...Et lui sied.
Du soulas dégauchi, il en aime l'idée
Quand l'envie se veut naître, elle, avant suicidée
Par ces mânes brûlant de leurs feux importuns...
Noce blanche et drap brun, leurs palais à Venise,
Un lit d'eau sur la joue qui abouche un dégoût,
Si mouvante l'humeur verse aux plages la lise
Dont la fleur hydroïde est l'écume ou l'égoût.
L'un pour l'autre, il dissoud la saison médusée
Affouillant du rocher, la matière fissile
Et crayeuse spirale à l'hélice fossile,
Par delà sa froideur, fait de l'alpe un musée,
Ce lamier en lisière aux ourlets des tendresses
Où silice, ombre et terre, est à lui, va-nu-pied,
Sa jonchée de tessons dont il plie les compresses,
Un doux linge à panser d'autre mort...Et lui sied.