Divagueur éperdu comme assoiffé de sable
D'une berge à cette autre où le temps va, s'écoule
Entre ses deux mains jointes, il emporte la goule,
Pour ses lèvres, des perles... Un déboire potable.
Et les sources de quartz en diront ses pépies,
Défraichies, peu légères, saumure vandale
Qui ballant les saccades, et au fond si croupie
Y érode les macles sans bruit de scandale...
Maux de plomb, le frelat dans une eau des qui-vive
Immodeste rouleau sous sa crète en couronne
Fait l'aval apaisé dont le large environne
Aux confins, son déclin. Et du deuil nulle esquive...
Merci du conseil.
Il va falloir que je réécoute ma petite musique interieure...